Témoignages vidéos d’EHS

Archive pour mai 2014

Lettre ouverte au Premier Ministre


ROBIN DES TOITS
Correspondance : 33 rue d’Amsterdam 75008 Paris – Tél. : 33 1 47 00 96 33
E-mail : contact@robindestoits.org
http://www.robindestoits.org

Confirmation du lien entre cancer du cerveau et utilisation du portable

Demande de l’application de la Loi n° 2010-788 du 12 Juillet 2010

Monsieur Manuel VALLS    
Premier Ministre

 

Copie à :
Madame Marisol TOURAINE, Ministre des Affaires sociales et de la Santé
Monsieur Benoît HAMON, Ministre de l’Education nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche

Monsieur le Premier Ministre,

La revue Occupationnal and Environmental Medecine a publié, au début de ce mois de Mai, les résultats d’une enquête épidémiologique menée par une équipe française qui confirme les résultats des travaux de Hardell et du programme Interphone. Pour les utilisateurs dits intensifs du téléphone portable le risque est plus que doublé.

Précisons que l’usage « intensif » commence, pour cette étude, à 836 heures par an, soit 15 heures par mois, soit encore… un peu moins d’une demi-heure par jour, seuil dépassé par une majorité des utilisateurs et notamment les jeunes. Or, cette dernière population est plus exposée encore du fait de la moindre épaisseur des tissus et d’un usage plus long au cours de la vie.

 

Cette étude vient corroborer de nombreux travaux d’origine étrangère (publiés notamment sur le site de notre association), mais qui avaient tendance, comme le nuage de Tchernobyl, à s’arrêter à la frontière…

Impossible, cette fois, d’ignorer ces travaux bordelais sans remettre en cause la qualité de la recherche nationale !!

 

Cette parution doit enfin conduire les pouvoirs publics à sortir de l’indifférente indulgence qui a toujours été la leur vis-à-vis de l’industrie des technologies sans fil. Il est temps, en particulier, de donner leur véritable portée à des dispositions déjà existantes :

 

– Article L.511-5 du code de l’éducation issu de l’article 183 de la loi n° 2010-788 du 12 Juillet 2010 qui interdit les portables dans les établissements scolaires : disposition restée lettre morte faute de texte d’application et d’instructions aux chefs d’établissements ;

 

– Article L.5231-3 issu de l’article 183 de la loi n° 2010-788 – Article 183, Art. L. 5231-3 – du 12 Juillet 2010 qui interdit toute publicité, quel qu’en soit le moyen ou le support, ayant pour but direct de promouvoir la vente, la mise à disposition, l’utilisation ou l’usage d’un téléphone mobile par les enfants de moins de 14 ans ; cette disposition est d’application directe mais elle est allègrement contournée, voire violée par les opérateurs pour qui les jeunes représentent une cible de choix ;

 

– Article 184 de la loi n° 2010-788 du 12 Juillet 2010 qui impose « Pour tout appareil de téléphone mobile proposé à la vente sur le territoire national, le Débit d’Absorption Spécifique [ndlr : DAS]* est indiqué de façon lisible et en français. Mention doit également être faite de la recommandation d’usage de l’accessoire permettant de limiter l’exposition de la tête aux émissions radioélectriques lors des communications, prévu au cinquième alinéa du I de l’article 183 de la présente loi ». Cette disposition est très inégalement appliquée.

 

– Article L5231-4 issu de l’article 183 de la loi n°2010-788 du 12 juillet 2010 : « La distribution à titre onéreux ou gratuit d’objets contenant un équipement radioélectrique dont l’usage est spécifiquement dédié aux enfants de moins de six ans peut être interdite par arrêté du ministre chargé de la santé, afin de limiter l’exposition excessive des enfants. » : cette disposition n’a jamais été mise en oeuvre alors que les jouets « communicants » se multiplient dangereusement.

 

Plus largement, il est temps de délivrer enfin une communication claire et nette en direction des parents, déconseillant l’achat d’un téléphone portable pour les enfants.

En effet, les portables sont plus toxiques aujourd’hui.

Plus en puissance, un smartphone ayant un DAS de 1W/m² env. contre 0,5 pour un portable NOKIA de 1995.

La 4G lancée sur le marché sans aucune étude d’impact sanitaire préalable (malgré les demandes répétées de Robin des Toits depuis 2009) ajoute encore au nombre de fréquences utilisées et accroît d’environ 50% l’exposition du public.

 

Enfin, la parution de cette étude doit être l’occasion d’accélérer l’examen par le Sénat et la promulgation de la proposition de loi portée par Mme Laurence Abeille, députée, et d’en renforcer le contenu, notamment pour la protection des enfants des écoles primaires et des collèges contre les ondes électromagnétiques.

 

Dans cette attente,

Et nous tenant naturellement à votre disposition pour tout complément d’information,

 

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Premier Ministre, l’expression de nos sentiments les plus respectueux.

 

Etienne CENDRIER

Porte-Parole national

 

 


.

Pollution par les appareils radio-relevés

Ne laissez pas cette nouvelle pollution d’ondes rentrer chez vous , de nombreuses villes refusent

 

 

 

 

Voyez les sites:

http://ccarra.revolublog.com

 

Voir-les-pollutions-interieure-wifi-et-wimax

http://www.robindestoits.org/

 

En plus des appareils il faut rajouter l’antenne émettrice/réceptrice de collectage sur le toit de l’immeuble ou ailleurs, puis celles collectrices/répétitrices du quartier, etc… qui pour ainsi dire sont en émissions permanentes radiatives en fonction du nombre de compteurs en télé relève.

Ce qui est malheureux, c’est que jamais cet aspect n’est abordé, donc certains copropriétaires qui sont au dernier étage ou ailleurs ont évidemment sur leurs têtes ou en face une antenne relais collectrice et Répétitrice (collectage), donc en sus de leurs compteurs à RF ils subissent une très importante source de rayonnements en permanence…mais ça, dans les réunions de copropriétés cela n’est jamais abordé, donc ils ne le savent pas !

Copier et coller ce lien :

http://www.robindestoits.org/Lettre-type-de-REFUS-d-installation-du-compteur-d-eau-ou-gaz-a-telereleve-Robin-des-Toits-Nov-2013_a2102.html

 

 

 

 

 

 

.

FORMATION

Il reste de la place pour la formation intitulée :
« Santé et environnement : quelles pollutions et solutions ?« 
qui aura lieu les 9 et 10 juillet 2014 à Orléans.

Je vous précise que dans le cadre de cette formation, nous aurons la chance d’accueillir
le Professeur Dominique BELPOMME qui présentera l’impact des champs électro-magnétiques sur la santé.Lors de cette formation, nous traiterons également des impacts de l’eau, du bruit et de l’air sur la santé avec l’ARS Centre, Lig’Air et la FRAPS Centre.

 

Plus d’infos sur le Professeur BELPOMME en cliquant ici

 

Pour toutes informations : sylvain.toullec@grainecentre.org

Bonne réception et à bientôt

Eric SAMSON
eric.samson@grainecentre.org
.

Proposition de loi « Abeille » – Ecrire à son Sénateur

A toutes et à tous,

Le 17 juin prochain sera discutée au Sénat la proposition de loi « Abeille » relative à la sobriété, la transparence et la concertation en matière d’exposition aux ondes électromagnétiques.

 

 

En l’absence d’impulsion gouvernementale claire, et en présence de l’immense pression des lobbies, il est important que les sénateurs sentent qu’il y a une vraie préoccupation sociale.

 

 

Pour cela, nous vous recommandons d’écrire à votre sénateur.

 

Vous pouvez trouver le nom de « votre » sénateur sur le site internet du Sénat :

 

http://www.senat.fr/senateurs/sencir.html

 

Votre mairie peut aussi vous donner cette information, y compris par téléphone.

 

 

Nous avons fait le choix de ne pas vous proposer une lettre « toute faite », dont l’origine associative serait vite repérée. Dites les choses avec vos mots, y compris très simplement, y compris sous une forme très courte. Vous pouvez, si vous le souhaitez, vous inspirer du canevas suivant :
– Monsieur le Sénateur/Madame la Sénatrice…- le 17 juin prochain sera débattue au Sénat une proposition de loi dont l’auteure est la députée Laurence Abeille. Ce texte promeut la sobriété, la transparence et la concertation en matière d’exposition aux ondes électromagnétiques.- ce texte intervient à un moment où les preuves de la toxicité des ondes s’accumulent, avec en dernier lieu les résultats d’un laboratoire bordelais, ISPED (Institut de santé publique), montrant la multiplication par 4 des risques de tumeurs cérébrales après plusieurs années d’usage du portable à raison d’une demi-heure par jour ; il est donc urgent d’agir ;

 

– il est particulièrement important que ce texte soit voté et que ses dispositions soient renforcées.- les points les plus importants sont la protection des enfants : le WIFI doit être interdit dans les crèches, il serait nécessaire qu’il le soit aussi dans les écoles maternelles et primaires, au moins. Pour l’éducation numérique, il faut absolument privilégier les technologies filaires.- de même, les téléphones portables ainsi que tous les « objets connectés » (tablettes, jouets « communicants ») pour les enfants doivent être interdits ;- une vraie protection doit être offerte aux personnes électrosensibles, de plus en plus nombreuses au fur et à mesure de l’envahissement de notre environnement par les technologies sans fil. Pour cela, il est indispensable de sanctuariser des zones blanches ou très faiblement irradiées ;- je vous remercie par avance de m’indiquer précisément si vous avez voté en faveur de ce texte, et le cas échéant avec quelles propositions d’amendement.

 

Si vous êtes électrosensible, vous pouvez bien entendu ajouter votre témoignage personnel. Il vous est également loisible de joindre tout document de votre choix.Ecrire à l’adresse suivante :

 

M/Mme X, Sénateur/Sénatrice du (Nom du département),

 

Sénat

 

Palais du Luxembourg

 

15 rue de Vaugirard

 

75291 Paris Cedex 06.Il est important de se mobiliser massivement sur cette proposition de loi, même si vous avez peu d’énergie. Une fois qu’une loi est votée, c’est pour longtemps, et une telle occasion ne se représentera pas de sitôt.
Bien cordialement.
Etienne CENDRIER
Porte-Parole national
Permanences téléphoniques de Marc CENDRIER :

Tél. : 33 1 47 00 96 33

– le matin entre 8h00 et 9h00 (sauf samedi et dimanche matin)
– le soir entre 21h00 et 22h00

 

.

Ondes :  » On est en exil en permanence « 

 

Indre-et-Loire – Loches – Santé

Ondes :  » On est en exil en permanence  »

16/05/2014 05:35

Laurence Dumortier est équipée d’un appareil de mesure qui détecte les champs électriques émis par les appareils électriques. Il n’y a pas que les ondes wifi qui la font souffrir… Laurence Dumortier est équipée d’un appareil de mesure qui détecte les champs électriques émis par les appareils électriques. Il n’y a pas que les ondes wifi qui la font souffrir…

ELECTROSENSIBLE 3H

 

 

 

 

Mardi est organisée une soirée consacrée à l’impact des ondes électromagnétiques sur la santé. Rencontre avec deux Lochoises qui vivent un “ enfer ”.

Une vie sociale amputée

 » C’est de la torture !  »

 

Laurence Dumortier s’est ravisée. Finalement, elle a préféré que la rencontre se passe chez elle plutôt qu’à la rédaction de La Nouvelle République. Car, pour elle, sortir de sa maison s’apparente souvent à un calvaire, quand ce n’est pas tout bonnement « l’enfer ». Cette Lochoise de 44 ans est atteinte d’électro-hyper-sensibilité (EHS). Autrement dit, elle souffre d’une intolérance aux champs électromagnétiques émis par des technologies sans fil comme les téléphones portables, les antennes-relais, le wifi mais aussi les fours micro-ondes, les babyphones… Il suffit de se figurer combien de réseaux wifi, combien de téléphones portables dans la poche des passants on est susceptible de croiser en flânant dans les rues de Loches. Pas difficile de comprendre ses craintes à l’idée de se déplacer en ville, qui plus est un jour de marché.

 

«  Très mal à la tête…  »

 

Nous voilà donc chez elle. Installé sur une chaise. Pas elle, pas encore. Il lui faut d’abord relier une sorte de coussin fait de fils de cuivre à la prise de terre avant de pouvoir s’asseoir dessus. « On vit dans un bain d’ondes. Cela permet de décharger le trop-plein d’ondes que l’on reçoit », explique Laurence Dumortier. Même chez elle, elle n’est pas à l’abri.

« Au départ, on n’a pas conscience de ce qui nous arrive. On a des insomnies, une fatigue permanente, très mal à la tête… », décrit une de ses amies, Dominique (*), EHS elle aussi. Cette femme de 57 ans (lire aussi ci-dessous) a dû fuir Paris. Impossible de vivre dans un habitat collectif avec la concentration de réseaux wifi et autres téléphones portables que cela implique dans le voisinage. Cap sur la province, la campagne, l’absence de 4 G : elle vit à Loches depuis novembre dernier, dans une maison protégée des ondes par le repli d’un coteau. « En fait, on est en exil en permanence », confirme Laurence Dumortier qui, pour sa part, a dû quitter Tours. Certains EHS sont même devenus SDF tant cet « exil » peut se transformer en déchéance.

Ni Laurence Dumortier ni Dominique n’en sont là, heureusement. Mais toutes deux – la première était réceptionniste dans un hôtel de Tours, la seconde architecte – ont dû cesser de travailler. La vie professionnelle, au contact de toutes les technologies possibles, était devenue insoutenable.

On quitte le domicile de Laurence Dumortier avec un tout autre regard sur son environnement. Sur sa boîte aux lettres est inscrit : « Pour raison de santé, merci d’éteindre votre téléphone portable avant d’entrer. » Heureusement, on l’avait oublié.

 

(*) Elle a souhaité conserver l’anonymat.

 

 

.

Gite en Haute Ardèche

Bonjour,

pour info pour les EHS, nous vous proposons notre gîte en Haute-Ardèche, sans wifi, sans tel DECT à 5 km autour de chez nous ni chez nous, le portable ne passe pas (il faut faire 200 m), entretien avec produits naturels, vieille maison en bois et pierre (murs de 1m de large), en pleine nature, nous sommes sensibilisés au problème depuis une dizaine d’années.

notre adresse web : http://gilbrault.free.fr/

Contact : Guy - magnaudes@free.fr
tel : 04 75 29 32 74.

encore des places libres début ‘août


                      
.

Philosophie Magazine – droit de réponse


 

Madame, Monsieur,

En feuilletant Philosophie magazine de mars 2014, j’ai été stupéfaite d’y découvrir l’article d’Amandine Le Goff intitulé « Faut-il avoir peur des ondes ? » : comment une revue sérieuse a-t-elle pu ouvrir ses colonnes à ce ramassis de contre-vérités ?

1)      Madame Le Goff déclare qu’ « aucune étude n’a confirmé la dangerosité de ces ondes invisibles ». Si elle avait pris la peine d’effectuer quelques recherches, elle aurait constaté qu’un grand nombre de travaux confirment la nocivité desdites ondes. Je vous renvoie au rapport Bioinitiative 2012, méta-analyse de plusieurs centaines d’études aisément accessible sur Internet et dont les conclusions sont sans appel.

2)      Quiconque accepte de se documenter sérieusement sur la question ne manquera pas de noter que la grande majorité des scientifiques indépendants affirment que les micro-ondes pulsées sont dangereuses tandis que leurs collègues inféodés à l’industrie nient ou minimisent leur nocivité.

3)      Lorsque Madame Le Goff écrit qu’ « Il eût été difficilement admis par le gouvernement d’abaisser les seuils réglementaires européens d’exposition de la population », on s’interroge sur la signification de cette phrase sibylline. En effet, les valeurs limites varient considérablement d’un pays européen à l’autre : le seuil italien est de 20 volts par mètre, le seuil polonais, de 6 V/m, le seuil luxembourgeois, de 3 V/m, le seuil français, de…41 V/m (2G) à 61 V/m (3G) ! Quant à la Lituanie, elle a adopté des normes 100 fois plus strictes que celles que recommande l’ICNIRP. A quel « seuil réglementaire » Madame Le Goff croit-elle se référer ?

4)      D’autre part, elle prétend que « Les tests cliniques montrent que les personnes (intolérantes aux ondes) ne sont pas plus que les autres capables de détecter la présence d’un champ magnétique ». Or non seulement les électrosensibles sont nombreux à détecter instantanément cette présence, mais encore leur corps porte les traces visibles de leur souffrance (voir les diagnostics du Professeur Dominique Belpomme, imagerie médicale à l’appui). Je suggère à Madame Le Goff de visionner le film de Marc Khanne intitulé Cherche zone blanche désespérément, de se rendre sur le site de l’ARTAC et de se reporter aux travaux du Professeur Gerd Oberfeld sur la modification de l’électro-encéphalogramme induite par l’exposition aux ondes.

5)      Selon elle, l’intolérance aux ondes serait « un pur effet nocebo ». Les chercheuses Eliane Spitery (auteure d’une symptomatologie de l’exposition aux radiofréquences) et Sandrine Wittmann seraient-elles de douces rêveuses ? Les médecins signataires des Appels de Fribourg et de Bamberg seraient-ils des farceurs ? Les Professeurs Pierre Le Ruz, Roger Santini, George Carlo, Cyril Smith, Henry Lai, Olle Johansson et Lennart Hardell (pour ne citer que quelques noms de scientifiques qui savent que science sans conscience n’est que ruine de l’âme) seraient-ils des illuminés ?

En 2008, le Professeur Gérard Ledoigt (Clermont-Ferrand) démontrait que des végétaux exposés aux ondes d’un téléphone portable se mettaient à fabriquer des protéines de stress. Madame Le Goff considère-t-elle que les plantes sont, elles aussi, en proie à des peurs irrationnelles, et faut-il désormais postuler l’existence d’un psychisme de la tomate ?

Un pigiste ingénu qui se proposait de rédiger un article faisant toute la lumière sur la nocivité des micro-ondes pulsées s’est entendu répondre par un collègue : « Tu as vu la Vierge ou quoi ? » On n’est guère surpris de constater que les journaux dont la survie dépend, entre autres, des annonces publicitaires des opérateurs s’emploient à maintenir la confusion dans les esprits. Sauf erreur de ma part, ce n’est pas le cas de Philosophie magazine. Alors comment comprendre que votre comité de rédaction ait laissé passer un texte aussi faible, rédigé par une journaliste qui ne connaît manifestement rien au sujet qu’elle traite, et qui ne contribue qu’à entretenir la désinformation ambiante ? Si l’incompétence est fâcheuse en toutes circonstances, lorsque des vies humaines sont en jeu, elle est inadmissible.

Bien cordialement,

Natalie Roulon

Université de Strasbourg

P. S. Je remercie le baubiologue Martin Kempf, qui m’a fait l’amitié de relire mon texte.

SI VOUS DECIDEZ DE PUBLIER CETTE LETTRE, MERCI DE LA REPRODUIRE INTEGRALEMENT

.

« Electrosensitivity from a neurological point of view » by M. Griesz-Brisson

 

3 mai 2014

Electrosensitivity from a neurological point of view

Griesz-Brisson M

Neuroepidemiology 2013 41:3-4 (275)

Objective:

The entity of electrosensitivity is still a new and a widely controversial topic in medicine. However, we cannot deny that we are increasingly confronted by patients with a variety of symptoms in the presence of cellphone transmitter masts, computers, cellphones and the like.

Method:

22 electrosensitive patients were tested and treated in a standardised way. The results were audited.

Hair and urine was tested for essential elements (Mg, Se, Zn etc) and toxic heavy metals (Hg, Cd, Pb, etc.), blood was tested for genetic detoxification enzymes (Glutathion S-Transferase M1 and T1 und N-Acethyltransferase), blood was tested in the MELISA Test for hypersensitivity to heavy metals, EEG and brain mapping was performed as a baseline and in the presence of a cellphone held to the ear (but not talking), blood pressure and pulse were measured every 5 minutes with an automated blood pressure machine.

 

Subjective symptoms were recoded in a questionnaire.

 

Results:

There was a deficit in essential elements in 81.8% and an overload of toxic elements in 86.4% in the hair, genetic polymorphysm for GST T1 in 27.3%, GST M1 in 68.0%, GST T1 and M1 in 23% and NAT in 40.9%, hypersensitivity to heavy metals Ni59.1%, Au23.1%, Hg15.4%, Pd7.7%, Ag7.7%, Mo7.7%.

There was evidence of EEG, ECG and blood pressure changes during and after exposure to electromagnetic fields induced by a mobile phone.

 

Conclusion:

The audit provided evidence that in electrosensitive patients there is a deficiency in essential elements and an overload in toxic elements, genetic polymorphysms and hypersensitivities against heavy metals. The EEG/brain mapping showed that the brain reacts promptly in a paradoxical way and the cardio-vascular parameter changes (heart rate and rhythm, and blood pressure) were protracted in time.

The questionnaire showed that the subjective symptoms started during exposure and continued after exposure stop.

 

Correspondence Address

Griesz-Brisson M.: 100 Harley Street, United Kingdom.

.
Langues
EnglishFrenchGermanItalianSpanish
Archives