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capteurs magnétiques et sensibilité à l’électropollution.

« La DECOUVERTE de capteurs magnétiques chez les poissons et les rats peut expliquer pourquoi certaines personnes peuvent «sentir» la wi-fi, les compteurs intelligents, les lignes électriques et l’électropollution » – NaturalNews – 11/07/2012

Il est bien connu que beaucoup de gens sont sensibles à la pollution électromagnétique. La wi-fi leur donne des maux de tête. Être près des lignes électriques à haute tension peut leur provoquer des migraines. Utiliser un téléphone cellulaire génère des symptômes similaires. Jusqu’à récemment, il n’existait aucun mécanisme médicalement compréhensible pour savoir par quelles ondes électromagnétiques les humains pouvaient être affectés. Mais à présent, grâce à une science fascinante résumée ici, ce mystère est peut-être plus près d’être résolu.

Des scientifiques de l’Université de Munich, dirigés par le géophysicien Michael Winklhofer, disent qu’ils ont localisé et identifié « les aiguilles de la boussole interne » dans le nez de la truite arc en ciel. Celles-ci sont appelées cellules magnétosensibles, et se révèlent être beaucoup plus sensibles aux champs magnétiques que quiconque ne le pensait auparavant.

Comme le rapporte TGdaily.com : http ://www.tgdaily.com/general-sciences-features/64572-source-of-anim 

Les cellules détectent le champ par le biais d’inclusions de taille micrométrique composées de cristaux magnétiques, probablement en magnétite. Ces inclusions sont couplées à la membrane cellulaire, modifiant le potentiel électrique de la membrane quand les cristaux se réalignent en réponse à un changement dans le champ magnétique ambiant.

« Cela explique pourquoi des champs magnétiques de basse fréquence générés par les lignes électriques perturbent la navigation par rapport au champ géomagnétique et peuvent induire d’autres effets physiologiques», a déclaré Winklhofer.

L’électrosmog s’amplifie de jour en jour

Bien que l’étude ne recherchât pas des cellules magnétosensibles chez les humains, leur identification chez les poissons prouve que les systèmes biologiques peuvent créer (et le font !) ces « instruments » hautement sophistiqués qui détectent les champs électromagnétiques. Comme tout étudiant en physique le sait, l’électricité et le magnétisme sont la même chose : tournez une bobine de fil autour d’un aimant et il produit un courant électrique. Les lignes à haute tension, à l’inverse, produisent un champ magnétique.

Comme le nombre de dispositifs émettant des champs électromagnétiques modernes continue d’augmenter, les gens sont de plus en plus concernés par les effets cumulatifs sur leur santé mentale et physique. Quelques-unes des sources de pollution électromagnétique – parfois appelé « électrosmog » – qui existent en ce moment comprennent :

• Les compteurs intelligents

• Les téléphones portables

• la wi-fi à haut débit

• Les boîtiers de disjoncteurs

• L’alimentation des ordinateurs et des appareils

• Les tapis roulants et l’équipement d’exercice

• Les tours de téléphonie cellulaire

• La radio commerciale et les transmissions de télévision

• Les sèche-cheveux, les mixeurs et autres appareils électroménagers à haute intensité de courant

Bien que chaque dispositif semble inoffensif à lui seul, leurs effets combinés peuvent dépasser un seuil qui, théoriquement, pourrait être détecté par les humains qui auraient aussi des cellules magnétosensibles.

Certains humains ont aussi une incroyable capacité à toujours savoir où se trouve le Nord, même s’il leur manque des signes environnementaux évidents tels que la position des étoiles (la nuit) ou des indications sur la lumière du soleil (pendant la journée). Est-il possible que certains humains possèdent des cellules magnétosensibles et les utilisent sans le savoir pour « sentir » où est le Nord ?

Des cellules magnétosensibles ont déjà été détectées chez le rat

Il semble y avoir déjà des preuves que ces cellules existent chez les rats. Une étude publiée dans Synapse en 2009 est intitulée «Fonction magnétosensible chez le rat : localisation en utilisant la tomographie par émission de positrons. » 

http ://www.emf portal.de/viewer.phpl=e&aid=16758 ://www.emf-portal.de/viewer.phpl

Elle rapporte que :

L’exposition au champ magnétique stimule l’absorption cérébrale de fluorodésoxyglucose par rapport à l’exposition simulée chez les mêmes animaux. La région activée a été localisée dans le cervelet postérieur central. Les résultats ont indiqué que la sensibilité magnétique potentielle suscitée chez le rat était associée à un accroissement de l’utilisation de glucose dans le cervelet, confirmant ainsi de précédentes preuves que la transduction du champ électromagnétique se produit dans le cerveau.

Il ne s’agit donc pas seulement des poissons et des pigeons, mais aussi des rats et des lapins. C’est la preuve manifeste que des cellules hautement magnétosensibles peuvent être trouvées chez de nombreuses espèces, y compris éventuellement, les humains. Cela peut donc expliquer pourquoi certaines personnes éprouvent des perturbations neurologiques lorsqu’elles sont en présence de champs électromagnétiques persistants.

La réponse à tout cela ? Allez à la campagne, jetez votre téléphone cellulaire, et revenez à la nature.

La société moderne est toxique pour la biologie.

Source en Anglais : http://www.naturalnews.com/036440_magnetosensory_cells_electro-smog_EMF.html

Voir également :

– Electrosensibles – Publications de l’ARTAC – 16/12/2009

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