Témoignages vidéos d’EHS

Technologies

Les dangers des radiofréquences sur la santé sont démontrés

 

Précisions du professeur Belpomme ( Paris ) sur la réalité mesurable et reproductible
des dangers pour l’humain de toutes les radiofréquences . ( durée de la vidéo : 8 mn 51 )
Autrement dit, les personnes qui se plaignent de souffrances induites par les nouvelles technologies ( compteur linky et autres bidouilles « connectées » ( à qui ? à quoi ?) ne relèvent pas forcément de traitements psychologiques comme le prétendent bon nombre d’élus,et de responsables d’EDF ou d’Enedis ( ex- Erdf )…

https://youtu.be/wPMoo8ODLFk

Cordialement .
Daniel Caussieu
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Newsletter N° 41 de Michel DOGNA – avez vous le WIFI chez vous ?

AVERTISSEMENT
L’abonnement à cette lettre ne donne pas accès aux conseils gratuits de Michel Dogna.

 

AVEZ-VOUS LE WI-FI CHEZ VOUS ?

L’Agence Européenne de l’Environnement, le Parlement Européen et de nombreux médecins dans le monde ont décrit le Wi-fi comme une technologie toxique. De son côté, le Conseil de l’Europe préconise l’abandon du Wi-fi dans les écoles et recommande depuis 2011 la baisse des seuils d’exposition des antennes-relais de téléphonie mobile.

En effet, les ondes Wi-fi de l’ordinateur (mais également du portable, du sans-fil DECT et du Bluetooth) travaillent sur des bandes de fréquences totalement différentes des ondes radio et télévision hertziennes, car ce sont des micro-ondes pulsées sur des très basses fréquences. Le Wi-fi émet sur une porteuse micro-onde de 2,45 Giga Hertz (exactement la fréquence d’agitation des molécules d’eau utilisée dans les fours micro-ondes dont il est issu) une grande densité de fréquences très basses, qui sont « pulsées par saccades », transmettent ainsi les informations textes, sons et images. Mais cette technologie est totalement incompatible avec la santé, même à 0,1Volt/mètre. En bref, vous vivez ainsi dans une maison transformée en un grand four à micro-ondes !!! En fait, c’est la nature du signal qui est toxique et non l’intensité du Wi-fi, qui même à très faible puissance, désorganise les processus physiologiques et détruit des structures biochimiques, entraînant la perte d’étanchéité de la barrière hémato-encéphalique, une baisse de production de la mélatonine et d’acétylcholine (maitres du sommeil, de la mémoire, de la concentration…) et des dommages génétiques irréversibles.

Il a également été prouvé que l’effet biologique de ces émissions composites se traduit par une production de protéines de stress avec résonance sur les ondes Delta du cerveau. Plusieurs études en double aveugle ont décrit l’EHS comme un trouble neurologique sans aucun lien avec le psychisme. Plusieurs études portent même sur les animaux (cigognes, bovins, grenouilles…) et la flore. Les symptômes communs sont l’insomnie, les maux de tête, la perte de concentration et de mémoire, les troubles cardiaques et de l’humeur.

Le syndrome l’électro-hypersensibilité (EHS) s’étant avéré occasionner un mal être physique sur  une moyenne de 6% des individus, le Conseil de l’Europe, le Parlement Européen, l’OMS et plusieurs Etats aux U.S.A ont classé l’EHS comme un trouble physiologique et non psychologique. L’OMS, en 2011, a même classé ces ondes en “cancérogène possible”. En outre, il existe aujourd’hui de nombreux travaux scientifiques qui démontrent que ce type d’onde peut occasionner le cancer du cerveau, de la thyroïde, de la glande parotide … etc. Depuis les années 60, les militaires appellent ces effets sanitaires le « syndrome des micro-ondes »

Fin 2009 en Italie, un jugement de Cour d’Appel a finalement établi officiellement un lien de causalité entre téléphone mobile et cancer, mais il va falloir, comme à l’époque du tabac et de l’amiante, effectuer des opérations de matraquage pour remettre en question cette technologie que l’on prétend jusqu’alors inoffensive…

A savoir que l’amiante avait cessé d’être couverte par les assurances américaines dès 1919, et les ondes de la téléphonie mobile et du Wi-fi depuis le début des années 2000 ! Or, les informations réelles sont souvent étouffées par des versions officielles à base d’expertises truquées sous influence. Cependant, on peut lire dans les polices courantes des compagnies d’assurance, que font partie des exclusions générales :

– les dommages de l’amiante,
– les dommages du plomb,
– les dommages des ondes électromagnétiques,
– les dommages des OGM.

Malgré cela, on entend dire que si c’était si dangereux ça se saurait, et qu’il n’est pas possible qu’une technologie autant utilisée puisse continuer d’exister en occasionnant tous ces dommages… C’est ignorer qu’en Angleterre, en Allemagne et en Autriche, le Wi-fi a été interdit dans les écoles et que le gouvernement allemand recommande depuis 2007 d’éviter le Wi-fi pour raisons sanitaires.(Mais en France on ne risque rien…..) Il se dit aussi que si le Wi-fi provoquait le cancer, il y aurait déjà des millions de cas vu qu’il a pénétré le monde entier depuis 2005. C’est ignorer que de très nombreux cas existent déjà, et qu’il faut quelquefois 20 ans entre le début d’une exposition et le développement d’un cancer…Et dans ce cas il est bien sûr facile de nier l’existence de la cause à effet.

Ainsi, en attendant la reconnaissance officielle de sa toxicité, nous vous recommandons de désactiver le Wi-fi (activé par défaut sur les Box internet) et d’utiliser un câble de connexion filaire. On comprend que dans un contexte de déni, vous ne serez pas encouragés à arrêter votre Wi-fi, si pratique et si moderne, surtout si vous ne “sentez rien” et avez l’impression de “revenir en arrière”. Mais souvenez-vous que c’est souvent après coup que la vérité éclate.

Nous vous encourageons à prendre cette responsabilité sans attendre, pour vous, vos proches et surtout vos enfants qui sont les plus sensibles. Notez que sur le plan technique, une connexion filaire est plus stable, plus rapide et aussi non accessible aux piratages et interférences avec le voisinage direct. Vous trouverez ici les conseils pour remplacer votre Wi-fi par une connexion filaire, y compris entre deux étages : http://www.robindestoits.org/_a227.html

Mais, évidemment, le prix à payer est d’accepter un « petit bordel » de fils de connexions sur votre bureau au lieu d’avoir une place nette. A ce sujet, je m’étais laissé séduire il y a quelques années par la solution clavier et souris sans fil ; et je m’étonnais que je ne puisse rester plus d’une heure devant mon ordinateur sans subir une poussée de tension et de sévères palpitations. Cela a duré au moins six mois, m’handicapant sérieusement dans mon travail jusqu’à ce qu’un problème technique me poussa à racheter un clavier et une souris 1ier prix… et miracle, plus de problème ! En fait, c’était l’émetteur sur mon bureau qui m’arrosait de plein fouet  . Tout cela, c’est cher payé pour juste un problème pratique de filasse et de place nette !

Paru dans le Contr’Infos n° 27 du mois de septembre 2014

 

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Le WIFI – une technologie peu sure et toxique

Bonjour,

Je travaille dans l’armée. Pour des raisons de sécurité le wifi y est peu utilisé ou alors pour des sujet très peu classifié et encore par l’usage de procédés de chiffrement importants.

Il est assez facile de Hacker un réseau wifi avec un chiffrement standard, plus les échanges sur ce réseau sont nombreux plus il est facile de le forcer en écoute seule (c’est à dire sans laisser de trace.)
Forcer les accès d’un wifi sécurisée de manière standard (clé WPA) demande des cartes matérielle spécifiques, qui sont souvent les mêmes que celle du commerce auxquelles ont aura fait sauter le bridage, dans ce cas avec un simple logiciel ne demandant pas de connaissance particulière il faut compter 3 à 5 min pour forcer l’accès.
La cyberattaque Darkhotel a attiré l’attention sur les faiblesses des connexions Wifi. Les hackers s’introduisent d’abord dans le réseau Wifi d’un grand hôtel. Ils ciblent ensuite une personnalité haut placée d’un gouvernement ou d’une entreprise séjournant dans l’hôtel. Lorsque celui-ci se connecte au Wifi à l’aide de ses noms et numéro de chambre, les pirates envoient sur sa machine une notification l’invitant à mettre à jour un logiciel courant comme Adobe Flash. C’est ainsi qu’ils obtiennent outre les informations stockées,  leur identifiant entreprise.
Quelques entreprises sensible on déjà des solutions LIFI, mais cela reste assez peu connu.

[En juillet dernier, l’institut de CEA Tech présentait un modem bidirectionnel LiFi à haut débit. L’objectif à terme est de remplacer les réseaux Wi-Fi en utilisant l’éclairage électrique pour transmettre de la data, en produisant un signal optique à haute fréquence.Son concepteur met en avant plusieurs avantages, dont la première est son innocuité en matière de santé. « Les ondes lumineuses sont inoffensives pour le corps humain, voire bénéfiques à certaines fréquences », explique la société Lucibel. De quoi adresser les lieux sensibles comme les écoles ou les hôpitaux ou les écoles où le Wi-Fi est strictement encadré.Autre argument, la sécurité, point sensible dans les entreprises. « Alors que le Wifi traverse murs et plafonds, l’information Lifi n’est interceptable que dans le cône de lumière. La connexion reste confinée à l’espace désiré et est donc complètement sécurisée. Le système est donc particulièrement intéressant pour les secteurs dont les données personnelles sont très confidentielles : recherche et développement, défense, banques, sécurité », souligne Lucibel.]

Étant électrosensible, il faut bien expliquer que plus on est exposé aux ondes en puissance et en durée, plus on a des risque de développer une sensibilité. Comme un vieux poste de radio peux avoir des variation pour capter certaines fréquence selon l’humidité ou l’orientation de l’antenne, un électrosensible va être plus ou moins sensible à certaine fréquences et ce en constante évolution. En ce moment commencent à sortir des études sur les  » micro stess oxydatifs », induit pas les courant électriques que produisent les ondes dans notre corps.

Pour les cas de Wifi retiré pour raison de santé, on trouve au ministère des finance des exemples tel que celui ci-dessous.

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Li-Fi : l’Internet haut débit par la lumière arrive sur le marché (MAJ)

Le Li-Fi (acronyme des mots anglais light et fidelity) est une technologie de connexion Internet sans fil qui utilise la partie visible du spectre électromagnétique. Concrètement, un ordinateur, un smartphone ou tout autre appareil compatible peut accéder à la Toile en haut débit en étant simplement placé dans le champ d’éclairage d’un luminaire de type Led (voir nos explications détaillées dans l’article d’origine).

Le Li-Fi a souvent fait l’actualité ces dernières années mais ne s’est jamais concrétisé commercialement. Toutefois, les choses devraient commencer à bouger avec l’annonce par la société française Lucibel de la commercialisation du premier luminaire Li-Fi. Développé en partenariat avec la société écossaise PureLIFI et fabriqué en France, le produit se présente sous la forme d’un éclairage Led pour plafond relié à l’Internet par un câble RJ45 (Ethernet) et à un émetteur-récepteur qui assure la modulation et reçoit le signal envoyé par le terminal connecté. Ce dernier utilise une clé USB Li-Fi pour recevoir les données personnelles.

Voici la version commerciale du dispositif Li-Fi de Lucibel. la photo supérieure nous montre le système d'éclairage Led au plafond dont le cône de lumière diffuse le signal haut débit. La photo du bas présente la "clé USB Li-Fi" qui est en fait un boitier externe encore assez volumineux et sert à recevoir les données. Lucibel fait de la miniaturisation de cet accessoire et son intégration dans les terminaux une priorité pour s'attaquer au marché des particuliers.© Lucibel

Un produit Li-Fi grand public pas avant 2019-2020

Lucibel annonce que le débit bidirectionnel de son système a été multiplié par quatre depuis le test de son premier prototype opérationnel en 2015. « On est passé de 10 Mbit/s à 42,5 Mbit/s », nous a indiqué Édouard Lebrun, directeur Innovation de Lucibel. Dans un premier temps, le dispositif ciblera le marché professionnel avec un tarif de 2.300 euros (hors taxes) comprenant le luminaire et la clé. Les banques, centres de recherche et développement, hôpitaux, crèches, écoles, aéroports, hôtels, espaces de travail font partie des lieux susceptibles de bénéficier des avantages qu’offre le Li-Fi par rapport à son concurrent le Wi-Fi en termes de sécurité des données personnelles et d’émissions d’ondes électromagnétiques.

Notre interlocuteur nous a précisé qu’un certain nombre d’entreprises privées, dont Microsoft France, Nexity et la Sogeprom ont d’ores et déjà adopté la solution Lucibel. Quant à une version grand public du produit, elle est prévue à l’horizon 2019-2020, pas avant. « L’adoption du Li-Fi par le grand public passera pas l’intégration de la technologie de réception (actuellement la clé USB Li-Fi, ndlr) dans les appareils », estime Édouard Lebrun. La baisse du prix public sera aussi déterminante pour favoriser l’adoption de cette technologie par les particuliers. « Courant 2018, nous sortiront la seconde génération de notre produit qui nous permettra de baisser sensiblement nos tarifs », nous a confié le directeur Innovation de Lucibel.

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Article initial de Marc Zaffagni, paru le 24/02/2016

Allumer la lumière pour se connecter à Internet, voici en résumé ce que nous promet le Li-Fi. Apparue il y a une dizaine d’années, cette technologie est régulièrement présentée comme une solution de remplacement pour le Wi-Fi, par rapport auquel elle serait plus sûre. Jusqu’à présent, l’essor du Li-Fi est cependant resté confidentiel. La transmission des données personnelles n’était en effet qu’unidirectionnelle et le système restait tributaire de l’éclairage Led, encore peu répandu. Mais les choses sont en train d’évoluer rapidement…

L’entreprise Lucibel a dévoilé en septembre 2015 un prototype de luminaire Li-Fi qui assure une connexion Internet haut débit bidirectionnelle de 10 Mbit/s. Cette solution est testée depuis juin 2015 dans plusieurs salles de réunion du siège parisien de la Sogeprom, filiale de la Société Générale dédiée à l’immobilier. Lucibel est une société française spécialisée dans la technologie Led sur laquelle repose le Li-Fi.

Le principe du morse

L’acronyme Li-Fi assemble les mots anglais light, pour lumière, et fidelity, pour fidélité. Cette technologie consiste à utiliser la modulation de lumière à haute fréquence pour coder et transmettre des informations, un peu comme du morse. Alors que le Wi-Fi exploite la partie radio du spectre électromagnétique, le Li-Fi travaille avec la partie visible de ce dernier que l’on appelle spectre optique. Si la première démonstration de Li-Fi est attribuée à Alexander Graham Bell dans les années 1880 avec son photophone, c’est l’avènement de l’éclairage Led qui a fait émerger cette technologie.

Les Led peuvent supporter des microvariations d’intensité qui les font commuter jusqu’à plusieurs millions de fois chaque seconde. Cette fréquence très élevée permet d’obtenir un haut débit susceptible de rivaliser en performance avec de l’ADSL et qui est supérieur à celui du Wi-Fi. Actuellement, le débit maximal théorique de dispositifs Li-Fi comme celui que propose Lucibel est de 10 Mbit/s. Mais il y a deux ans de cela, des chercheurs de l’institut Fraunhofer Heinrich Hertz de Berlin ont pu atteindre 3 Gb/s.

Voici à quoi ressemble le prototype de luminaire Li-Fi que Lucibel teste dans les locaux de la Sogeprom. L’éclairage Led est relié par Ethernet au réseau et communique avec les terminaux via l’émetteur-récepteur infrarouge qui ressemble à un gros détecteur de fumée. © Lucibel, Sogeprom

Pour fonctionner, le dispositif Li-Fi de Lucibel nécessite que l’éclairage soit branché au réseau Internet par une connexion filaire de type Ethernet ainsi qu’à un émetteur-récepteur qui assure la modulation et reçoit le signal envoyé par le terminal connecté. Il peut s’agir d’un ordinateur, d’un smartphone ou d’une tablette qui doivent, eux aussi, être dotés d’un émetteur-récepteur.

La connexion Li-Fi est opérationnelle dans la limite du cône de lumière que projette l’éclairage généralement situé au plafond afin d’offrir une couverture la plus large possible. Ceci présente à la fois des inconvénients et des avantages. Des inconvénients car cela restreint l’utilisation à une zone fixe, comme un bureau ou une pièce, et n’offre pas la mobilité que permet le Wi-Fi. Mais l’avantage du Li-Fi est qu’il ne traverse pas les murs opaques, ce qui limite les risques de piratage. Dans son communiqué de presse, Lucibel estime d’ailleurs que son système Li-Fi peut fournir une solution pertinente pour des banques, des centres de recherche et développement et d’autres industries dites sensibles.

Des ondes lumineuses au lieu des ondes radio

L’entreprise met aussi en avant l’argument sanitaire, assurant que les « ondes lumineuses sont inoffensives pour le corps humain, voire bénéfiques à certaines fréquences ». Autrement dit, le Li-Fi pourrait répondre aux problématiques liées à l’électrosensibilité et à la nocivité que l’on prête aux ondes radio, bien que ce dernier point soit sujet à débat. Lucibel considère en tout cas que cette technologie se pose en alternative aux ondes radio dans certains lieux sensibles comme les hôpitaux, les écoles, etc.

L’entreprise hexagonale n’a pas encore communiqué sur le tarif de son équipement Wi-Fi dont elle compte lancer la commercialisation cette année. Cependant, le développement du Li-Fi est tributaire de la démocratisation de l’éclairage Led. Les prix continuent de baisser mais les bénéfices de ce type d’éclairage sont encore mal perçus par le grand public.

Fin août 2015, le gouvernement avait annoncé un plan très ambitieux pour pousser l’adoption des ampoules Led. Ségolène Royal en charge du dossier avait alors déclaré : « J’ai demandé à EDF de mettre en place la distribution d’un million d’ampoules Led », (source : France 2).

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Droit de retrait au Québec

De plus en plus de refus du compteur communicant d’Hydro-Québec

Publié par Mathieu Boivin pour (Québec) FM93 le lundi 21 mars 2016 à
De plus en plus de refus du compteur communicant d'Hydro-Québec
Wikicommons
ExclusifLe nombre de Québécois qui se méfient des compteurs intelligents d’Hydro-Québec continue d’augmenter en flèche.
Selon les plus récentes données personnelles déposées par Hydro-Québec devant la Régie de l’Énergie, quelque 12 270 clients de la société d’État se sont prévalus de leur option de retrait pendant le quatrième trimestre de 2015.
Cela fait passer le total des sceptiques à 74 500, soit une hausse de 20 % par rapport au précédent total enregistré au 30 septembre 2015 ( 62 285 ).
Tous ces gens ont demandé qu’on leur installe un compteur de nouvelle génération non communicant plutôt que le compteur qui peut être lu à distance par Hydro-Québec.
Ils représentent globalement environ 2 % des clients chez qui un compteur a été remplacé.
Les plaintes au sujet des compteurs intelligents ont aussi augmenté de 7 % au quatrième trimestre. Le reproche le plus fréquent demeure la crainte d’interférence des ondes d’émission avec d’autres appareils électroniques.
Le projet de remplacement des compteurs électromécaniques devait coûter 1 milliard $, mais Hydro-Québec prévoit finalement réaliser une économie de 36 M$ d’ici au déploiement complet, en 2017.
Un total de 726 postes seront abolis, la plupart liés à l’abandon de routes de relève.
http://www.985fm.ca/regional/nouvelles/de-plus-en-plus-de-refus-du-compteur-communicant-d-767020.html
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Toujours plus d’ondes toxiques chez vous grâce au LINKY


Technologies et innovations / Emetteur Radio Linky (ERL)
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Technologies et innovations / Emetteur Radio Linky (ERL)
Site français de référence sur les Smart grids favorisant la modernisation des réseaux électriques.
Afficher sur www.smartgrids-cre.fr
Aperçu par Yahoo
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Je vous fait cette lettre…que vous lirez peut-être…si vous avez le temps….

 

Cher Monsieur “Linky”,

Vous m’informez de votre venue chez moi pour m’installer un compteur communicant et, mieux encore, intelligent, d’après vos déclarations. C’est très aimable à vous, de penser à mon bien-être sans aucun frais, mais malheureusement, je ne vais pas pouvoir donner suite à votre proposition, en raison de tout l’intérêt qu’elle ne présente pas.
Pourquoi cela ? Tout simplement parce que j’ai déjà ce qu’il faut.

– Question conteur, mon ami Roland, entre autres, me donne toute satisfaction, et tous les deux, nous communiquons admirablement bien, nous n’avons pas besoin de machine pour cela. Quand il passe me voir, il a toujours une histoire à me raconter et, sans vouloir désobliger, je doute qu’un compteur, aussi communicant soit-il, me parle et m’écoute avec autant d’humanité sensible. C’est une question de bonne connexion avec ses semblables, une manière d’être sur la même longueur d’ondes, autrement dit.

– A propos des ondes justement, je dispose déjà d’une collection assez complète à domicile, et ce, 24 heures sur 24 : la wifi de mes charmants voisins qui aiment beaucoup partager apparemment, les antennes tout près de chez moi et, où que j’aille, la camelote des shootés du selfie, du twitt et du trip d’être “joint” à toute heure et en tous lieux.
Vous me proposez gentiment d’en rajouter une couche, vous m’assurez de l’absence de risque, sans assurance couvrant quoi que ce soit, curieusement… Bref, vous me demandez de vous croire sur parole, vous qui êtes juge et partie. Vous me permettrez d’être libre de mes croyances et de ne pas m’en laisser conter en ce domaine, quelle que puisse être l’intelligence de vos compteurs.

Et voyez-vous, ce que je crois, c’est avant tout ce que je vois : des alertes par milliers, venant de scientifiques, de médecins, de l’Europe, de l’OMS, à propos des dangers de toutes ces ondes nocives. Je vois des sœurs et des frères humains qui doivent quitter tout ce qui donne de la valeur à leur vie : leur maison, leurs amitiés, leur famille, leur travail, la joie simple d’être vivant. Ils le quittent, non par masochisme ou par phobie, mais parce que ces ondes sont devenues une torture pour leur corps et pour leur cerveau. Ce que je vois, ce sont des êtres qui n’ont plus ni refuge, ni lieu où vivre sans douleurs, parce que vous et vos gadgets détruisez ce qui reste de monde habitable.
Alors vraiment, merci, mais je préfère ne pas devenir Alzheimer, même pour mon bien. Désolé, mais finalement, non, je ne vais pas profiter de vos offres de maladies gratuites, j’ai d’autres projets dans ma vie. Je vais peut-être vous paraître rétrograde, mais j’aime autant éviter un cancer, même intelligent.

– Pour l’intelligence, j’essaie de faire avec celle dont je dispose et dont je n’ai exploré qu’une parcelle infime. Je n’ai nullement besoin d’une machine qui pense à ma place, j’ai juste le désir d’avancer dans ma conscience du monde et de la vie, avec d’autres cœurs intelligents, et je doute fort que votre intelligence électronique soit celle de l’âme de notre humanité.

– Ce qui reste d’humanité, précisément, vous le remplacez par des puces, en laissant derrière vous des êtres désœuvrés, seuls avec leurs écrans et, quand ils ne peuvent plus supporter leurs ondes toxiques, seuls avec leurs souffrances.
Personnellement, je n’ai aucune envie d’être pucé, fiché et fliqué, que ce soit par un compteur, un téléphone, des objets connectés ou des machines qui parlent à des machines. Je n’aspire pas à brader ma vie privée à des fins commerciales ou policières, au profit d’escrocs ayant ou n’ayant pas pignon sur rue.

– Vous me certifiez que ces nouveaux compteurs épargneront mes économies et la planète par-dessus le marché. J’ai dû me pincer plusieurs fois car, pour tout vous dire, je ne vous savais pas philanthrope à vos heures.
Enfin, quand même… Vous et votre énergie de destruction massive, vous et vos EPR ruineux et dangereux, vous et vos pertes financières, vos centrales hors d’usage et vos déchets radioactifs dont vous ne savez que faire… Et vous vous voudriez être acclamé comme sauveur de la planète et de nos petites économies ? Permettez-moi juste d’exprimer ma perplexité, pour ne pas dire mon impression d’être pris pour un débile profond qui a décidément besoin d’être assisté de prothèses intelligentes pour comprendre le monde un tant soit peu.

D’ailleurs, je ne suis pas sûr de tout saisir. Un exemple ? En quoi gaspiller plus de 80 millions de compteurs qui fonctionnent parfaitement est-il écologique ? Je pensais naïvement que nous avions à combattre l’obsolescence programmée, mais sans doute, cette résolution est-elle obsolète à son tour, grâce aux dogmatiques de la croissance verte dont vous êtes ?
Un autre exemple ? Vous expliquez doctement que ces compteurs permettront d’avoir enfin des factures précises, non basées sur des estimations, en feignant d’ignorer que, depuis des années, il est possible de communiquer par téléphone l’index de sa consommation réelle.
Quant à vos exhortations sempiternelles à nous connecter à vos pages d’accueil et à vos tableaux de bord, via des smartphones, des ordinateurs et des tablettes, en quoi cela est-il vertueux, quand on sait ce que ces technologies dilapident de ressources rares et d’énergie ? Vous qui avez incité au chauffage nucléaire dans des logements passoires, vous voilà aujourd’hui adeptes de l’hyper-connexion polluante et prédatrice. Franchement, je m’incline.
En matière de cynisme, il faut dire que vous rayonnez au-delà de toute limite. Ainsi, commercialiser des produits et des services liés à ces compteurs – comme des alarmes contre le vol, après avoir rendu nos données personnelles privées piratables par des cambrioleurs, notamment !  – vous appelez ça comment ? Une source d’économie ? Une arnaque au carré ? Avec vous, on n’est jamais déçu. Tant qu’à faire dans l’indécence, autant mettre le paquet en se payant une vertu et nos têtes de nœud par la même occasion.

Cerise sur le gâteau, votre courant, qu’on dit porteur en ligne (CPL), peut provoquer des incendies et endommager les appareils électriques. Comme vous dégagez toute responsabilité, comme les assurances ont exclu de leurs garanties les dommages causés par vos ondes, la facture sera payée par qui ? Par les victimes de ces sinistres ! Chapeau bas. Le doute n’est plus permis : vous êtes hors concours.
Sachez quand même que je ne vous ai pas attendu – et je suis loin d’être le seul –  pour me passer de votre énergie délétère et pour aller vers la sobriété et, même si le mot vous déplaît, vers la décroissance.

Bref, vous l’aurez compris, votre compteur, fût-il intelligent, communicant – ou bienveillant pendant que vous y êtes –, je n’en veux pas. Ne comptez pas sur moi pour faire partie des pigeons que l’on plume et qui finissent cobayes dans les micro-ondes de votre monde-laboratoire.

Je préfère des humains qui comptent pour moi, des êtres de chair et d’âme à qui parler de vive voix, avec qui vivre en bonne intelligence et, si le cœur nous en dit, pourquoi pas, avec qui conter fleurette, un dimanche de soleil, dans les bonnes ondes du printemps.
Inutile de me proposer un moratoire ou je ne sais quelle autre supercherie dilatoire. Vous êtes nuisible sur tous les plans et vous le resterez, moratoire ou pas.
Sans façon, merci de ne pas me refourguer vos mesures d’exposition en millivolt par mètre, fussent-elles scientifiques et indépendantes. Parce qu’enfin, à partir de quel seuil d’irradiation risque-t-on pour sa santé, en fonction de son âge, de ses antécédents et de sa vulnérabilité ? Quels effets cocktails convient-il d’éviter entre les différentes fréquences de Méga-hertz et les millions de molécules chimiques dont nous abreuvent les industriels depuis le jour de notre conception ? Combien faudra-t-il torturer de cobayes de laboratoire pour savoir ce que nous savons déjà : ces technologies sont incompatibles avec la vie. La société de surveillance et de contrainte deviendra-t-elle subitement acceptable parce que nous aurons câblé les circuits électriques de nos habitations ? La dévastation du monde sensible et naturel sera-t-elle recevable parce que vos appareils de mesure n’afficheront aucune valeur critique sur leurs écrans ?
Monsieur “Linky”, Monsieur “Smartphone”, Monsieur “Wifi”, Monsieur “Tablette”, Monsieur “GPS”, Monsieur “RFID”, Monsieur “Restez connecté”, je ne vous salue pas.
Connecté, je le suis, mais pas à vous. Je le suis à la vie, enfin j’essaie, malgré les efforts que vous déployez pour nous éloigner d’elle, vous et vos collègues de l’empoisonnement chimique. Ce que vous incarnez, tous autant que vous êtes, c’est le contraire de la vie et de la liberté. Et j’espère – oh, si peu, mais quand même –, j’ose espérer que l’opposition à Linky fera boule de neige dans les consciences et dans les vies de quelques-uns, de quelques-unes qui le refusent. Verra-t-on un jour émerger des slogans qui diront : « Linky, smartphone, wifi, tablette, gadgets connectés, mêmes nuisances, mêmes refus » ?

Monsieur “Linky”, Messieurs qu’on nomme “intelligents”, je vous prie de ne pas franchir les portes de ma maison et de ne pas croire à ma considération distinguée.

Frédéric Wolff

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Les nouveaux compteurs électriques : une perte de sécurité, d’argent et d’autonomie

 

 

http://antennes31.org/audio/Marc-Cendrier_Sud-Radio.mp3

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LINKY – un collectif réclame un référendum à Grenoble

FOCUS – Les compteurs électriques « intelligents », prévus pour être déployés à Grenoble en 2017, sont dans le collimateur d’un collectif grenoblois qui réclame la tenue d’un référendum à l’échelle de la métropole.
Nocif Linky ? Pour justifier le déploiement de Linky imposé par Bruxelles, Paris se base sur une étude du Criirem… inapplicable. Les compteurs électriques “intelligents” se déploient en Isère. Premières sur la liste, les villes de Fontaine, Échirolles, Saint-Martin-d’Hères. Annoncés à Grenoble pour 2017, ces compteurs rendus obligatoires par la loi sur la transition énergétique sont attendus de pied ferme. Les compteurs électriques communicants Linky se déploient en Isère comme dans toute la France.
A Grenoble, un collectif réclame un référendum. © Séverine Cattiaux – placegrenet.fr Les compteurs électriques communicants Linky se déploient en Isère comme dans toute la France. A Grenoble, un collectif réclame un référendum. © Séverine Cattiaux – placegrenet.fr Et notamment par un collectif, Stop compteur Linky 38, qui a déclaré une guerre ouverte à Linky, réclamant la tenue d’un référendum à l’échelle de la Métropole.
Pour le collectif grenoblois, ces compteurs communicants, prévus pour faciliter les économies d’énergie, seraient « nocifs pour la santé, intrusifs en terme d’analyse des comportements domestiques, inutiles, imposés et chers ». 90 % des foyers français équipés d’ici 2021 Le petit boîtier a été imposé par l’État à la suite d’une directive européenne de 2009 visant à équiper au moins 80 % des foyers d’ici 2020.
En France, l’objectif est de 90 % pour 2021, soit 35 millions de compteurs installés. Un très gros marché pour ERDF évalué à 5 milliards d’euros. Pierre Le Ruz, président du Criirem. DR Pierre Le Ruz, président du Criirem : « l’étude de 2011 n’est pas applicable » © DR Fait étonnant, ce déploiement est soutenu par les pouvoirs publics sur la base d’une étude commandée par le syndicat intercommunal de la mairie de Paris au Centre de recherche et d’information indépendant sur les rayonnements électro-magnétiques non ionisants (Criirem) réalisée en… 2011. Ce qui ne manque pas d’étouffer son président. « C’est scandaleux ! s’insurge Pierre Le Ruz. Cette étude avait été réalisée sur du matériel expérimental qui n’a rien à voir avec la technologie déployée aujourd’hui ! Ce que l’on avait validé n’est pas applicable. » Pour l’association, de nouvelles mesures doivent être entreprises.
En attendant, Linky continue de se déployer sans que finalement, aucune étude de risques adaptée n’ait validé le dispositif. Or pour le Criirem, qui demande que soient au moins respectées des distances de sécurité*, cette nouvelle technologie n’est pas sans risques.
Les compteurs Linky utilisent la technologie des courants porteurs en ligne (CPL) afin de communiquer avec les appareils domestiques pour en relever la consommation. Des radio-fréquences nocives ? Du compteur au concentrateur en passant par le répéteur, de la réception à l’envoi des données personnelles, toute la chaine émet des radio-fréquences, dont le centre international de recherche sur le cancer (CRRC) a reconnu les effets possiblement cancérigènes. Sans parler des problèmes de compatibilité électromagnétique. Linky le nouveau compteur électrique communicant d’ERDF est contesté.
A Grenoble, un collectif réclame un référendum. Crédit ERDF Linky, le nouveau compteur électrique communicant. © ERDF En Europe, des pays freinent. L’Allemagne a ainsi renoncé à généraliser le compteur “intelligent”, quitte à s’attirer les foudres de Bruxelles. En France, la grogne monte. Des communes s’opposent à l’installation des compteurs. Le citoyen, lui, n’y voit pas bien clair. Débat d’experts ? Véritable question de santé publique plombée par des enjeux financiers énormes ? Car le compteur électrique communicant ouvre une porte. Derrière, c’est le marché des compteurs à eau et à gaz qui se prépare. « Nous ne sommes pas contre les technologies mais contre les technologies qui se développent sans gestion des risques », se défend le président du Criirem.
La transparence, c’est ce que réclame le collectif grenoblois : « Nous pensons que les Grenoblois ont le droit d’être informés de manière indépendante et de décider ou non de l’installation des Linky. » Patricia Cerinsek * Deux mètres pour le compteur, cinq mètres pour le concentrateur.Source : article Compteurs Linky : un collectif réclame un référendum à Grenoble | Place Gre’net – Place Gre’net
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Nancy : Linky fait disjoncter le porte-monnaie

Les compteurs Linky sont beaucoup moins tolérants que les anciens. D’où des coupures fréquentes, qui posent le problème de réadaptation des abonnements. Au profit de qui ?

23/01/2016 à 05:02 , actualisé le 22/01/2016 à 20:30
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Un compteur précis et beaucoup moins tolérant qu’auparavant. Photo Alexandre MARCHI

 


 

 

Un compteur précis et beaucoup moins tolérant qu’auparavant. Photo Alexandre MARCHI

Vous n’avez pas changé vos habitudes de consommation électrique, mais le disjoncteur saute dans votre logement. Et comme par hasard on a changé votre compteur pour le remplacer par un Linky ? Ce n’est peut-être pas un hasard. ERDF déploie depuis plusieurs semaines son plan de remplacement de compteurs sur le Grand Nancy, via son prestataire, la société OTI. Les nouveaux compteurs, dits intelligents, sont aussi beaucoup plus précis qu’auparavant, ce que confirme un technicien ERDF chargé du déploiement, et qui souhaite rester anonyme : « Quand votre ancien compteur tolérait plus ou moins 15 % de puissance, celui-ci coupe net directement au compteur. Un certain nombre de clients devront revoir la puissance de leur abonnement ».

Intrusion

Guy Grandgirard, président de l’Association de défense des consommateurs de Lorraine (ADC54), s’est emparé du sujet dès 2013, avec pour cheval de bataille les risques liés au viol de la vie privée. Linky analyse en effet et télétransmet en direct les données personnelles de votre consommation à votre fournisseur d’énergie (ce qu’on appelle la courbe de charge). Mais Guy Grandgirad a vu aussi très vite, le problème posé par la non-tolérance du compteur : « Effectivement, dans certains cas, les usagers seront contraints de prendre un abonnement plus cher pour encaisser une légère surcharge de puissance. Passer de 6 kw, soit 6.000 watts à 9.000 watts soit 45 A, n’est pas négligeable à l’année en terme d’abonnement. Or, il n’y a pas de paliers de facturation plus fins ». Avec Linky, disjonctant immédiatement quand la puissance est dépassée, le changement de parc compteur peut se révéler une très belle opération pour les fournisseurs d’énergie. On passe ainsi chez EDF de 95,38 € pour 6 KVA à 117,20 € pour 9 KVA. Au plan national, l’UFC Que choisir dénonce sans ménagement le fonctionnement de l’appareil : « 15 millions de foyers risquent d’être pénalisés par le compteur Linky, qui va faire disjoncter le budget des consommateurs ».

Du côté des professionnels, Emmanuel De Sordo, directeur territorial de Meurthe-et-Moselle pour ERDF, conteste fermement les études des associations de consommateurs : « La sélectivité des compteurs Linky est strictement identique à celle d’un disjoncteur normal. Linky enregistre une puissance réelle. Les usagers doivent regarder leurs usages réels et les adapter à la hausse ou à la baisse. Il n’y a aucune tromperie. Le client reçoit l’énergie qu’il paie ».

Mal abonnés

Au-delà du nouveau compteur et de son intrusion dans la vie privée « électrique » des usagers, un autre constat s’impose : selon les associations de consommateurs, plus de la moitié des ménages français_des milliers dans le Grand Nancy_ souffriraient d’un « mal-abonnement » : 5 millions paieraient plus cher qu’ils n’en ont besoin, et 10 millions de ménages auraient souscrit une puissance inférieure à leur consommation exacte. Cette situation était plus ou moins tolérée par l’ancien matériel, mais ne l’est plus avec Linky. Dont la vague d’installation ne s’est pas accompagnée d’une grande campagne d’informations. Dommage.

Pascal SALCIARINI

source: http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2016/01/23/nancy-linky-fait-disjoncter-le-porte-monnaie

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