Témoignages vidéos d’EHS

A savoir

Dire NON au Linky avant qu’il ne soit trop tard….

 

Bonjour,

J’ai reçu ce message que je vous fais suivre…appliquer le principe de précaution sur ces émissions pulsées toxiques pour la santé…

 

Très important : ERDF ne pose pas de compteur Linky aux personnes propriétaires qui s’y opposent.

A ce jour aucune personne qui s’est opposée à l’installation du Linky n’a eu une installation.

Par contre s’il n’y a pas d’opposition explicite, ERDF fait procéder à la pose du Linky, maintenant sans avertir et même en l’absence du propriétaire si l’accès au compteur est possible (extérieur ou dans les parties communes).

Il y a actuellement un seul mot d’ordre, pour les politiques et les industriels, pas de vague, ni de polémique, installons 99,03 % des 35 000 000 de compteurs et pour les 350 000 restants ont verra ensuite.

C’est une stratégie adaptée à la situation du business…c’est pareil pour l’impact sur la santé ou la climatologie, pas d’étude, on verra ensuite lorsque cela sera … irréversible !

Cette politique de voyous nous la connaissons elle a abouti à ce qu’il y a actuellement en France plus de 30 millions de toitures amiantées soit 30 millions de bâtiments à désamianter  !!!

 

Bien cordialement

Serge

 

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Conférence du Professeur D. Belpomme

 ARTAC – Conférences des Professeurs Dominique Belpomme Et Romain Gire

Date: 3 septembre 2015

 

Le mercredi 9 Septembre 2015

Les Professeurs Dominique Belpomme et Romain Gire, donneront deux conférences sur les thèmes suivants :
« Les effets du changement climatique sur le vivant »
et
« La santé en danger, un crime contre l’humanité ».
Les conférences auront lieu de 19h à 21H à la Maison des Associations de Paris. 22, rue de la Saïda, 75015 Paris.
Entrée libre sous réserve de confirmation par email ou téléphone:
Mail : 
Tél : 01.45.78.53.53
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La justice française reconnait pour la première fois le handicap dû à l’électrosensibilité

AFPPar Jacques BOYER | AFP – mar. 25 août 2015

  • Première reconnaissance en justice de handicap dû à l'électrosensibilité

    AFP/AFP/Archives – Première reconnaissance en justice de handicap dû à l’électrosensibilité

News à la une

La justice a reconnu, pour la première fois en France, l’existence d’un handicap grave dû à l’hypersensibilité aux ondes électromagnétiques, un dossier sensible dans une société où téléphone mobile et wifi sont omniprésents.

Passé inaperçu lors de sa publication début juillet, un jugement du Tribunal du contentieux de l’incapacité de Toulouse confirme, expertise médicale à l’appui, que Marine Richard, la plaignante, souffre d’un syndrome dont « la description des signes cliniques est irréfutable ».

Le jugement transmis mardi à l’AFP par l’association Robin des Toits, qui milite pour la sécurité sanitaire dans les technologies sans fil, évalue sa déficience fonctionnelle à 85% et estime qu’elle ne peut pas travailler.

Il lui accorde le droit à une allocation pour adulte handicapé – environ 800 euros par mois – pour trois ans, éventuellement renouvelable.

« Cette reconnaissance par la justice est une grande première en France », a commenté à l’AFP Etienne Cendrier, porte-parole de Robin des Toits.

« C’est une percée », a ajouté Mme Richard, 39 ans qui vit dans la précarité et se bat pour la reconnaissance de son handicap.

Cette ancienne dramaturge et réalisatrice de documentaires radio de Marseille vit aujourd’hui de l’aide de sa famille, recluse dans les montagnes de l’Ariège en raison de ses troubles, dans une ancienne grange retapée, sans électricité ni route, avec l’eau d’une source et deux mètres de neige en hiver.

L’hypersensibilité aux ondes magnétiques n’est pas reconnue officiellement en France comme maladie et fait l’objet de controverses entre experts.

Elle se traduit par des maux de tête, picotements, troubles du sommeil, des symptômes divers, transitoires et communs à de nombreuses affections.

Ceux qui se déclarent « hypersensibles » citent souvent les antennes-relais, portables, téléphones sans fil ou wifi comme causes directes de leurs maux.

Pour la première fois, un homme souffrant d’électrosensibilité s’est vu accorder par l’administration une aide financière en 2014 dans l’Essonne. Mais il s’agissait d’un accord à l’amiable et non d’une décision de justice.

– Des milliers de gens désocialisés –

L’avocate de Mme Richard, Alice Terrasse, dit ne pas avoir trouvé de jurisprudence sur le sujet, ce qui semble confirmer que le jugement de Toulouse constitue bien une première en France.

Cette victoire pourrait faire jurisprudence car « des milliers de personnes » sont concernées mais n’ont pas saisi les tribunaux jusqu’à aujourd’hui, dit-elle.

« Elles sont très isolées, ont très peu de contact (avec le monde) et pour elles ce sont des démarches qui sont extrêmement compliquées ».

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a reconnu en 2005 que l’électrosensibilité était « caractérisée par divers symptômes non spécifiques qui diffèrent d’un individu à l’autre » et « ont une réalité certaine et peuvent être de gravité très variable ».

Mais il n’existe ni critères diagnostiques clairs, ni base scientifique permettant de relier les symptômes à une exposition aux champs électromagnétiques, ajoutait-on dans l’étude de l’OMS.

Le phénomène serait cependant plus répandu qu’on ne le croit.

Mme Richard, selon qui une autre association militante, Next-up, a recensé jusqu’à 70.000 cas de personnes électrosensibles à des niveaux variables en France, explique que, « malheureusement, on n’en parle pas parce que ce sont des gens qui vivent dans des caravanes, dans des grottes, sous des tentes dans les bois ».

« On est obligé de se désocialiser et du coup on n’apparait plus dans l’espace public », dit-elle à l’AFP.

Pour M. Cendrier, de Robin des Toits, la décision de Toulouse montre que « la justice – comme souvent – est en avance sur les politiques » qu’il accuse de « protéger les industriels ».

Mme Richard, qui a contracté plus de 50.000 euros de frais et dont l’allocation promise mais toujours pas perçue « ne couvre même pas (mes) traitements », souhaite qu’on abaisse les seuils de toxicité des champs électromagnétiques.

« On sait faire des technologies beaucoup moins polluantes. Après, c’est un choix politique », dit-elle.

Dans l’immédiat, « il faut créer des endroits préservés car il y a des milliers de personnes qui ne savent pas où se mettre », plaide-t-elle.

Une loi de janvier dernier ne prévoit qu’un rapport début 2016 sur l’hypersensibilité aux ondes magnétiques, selon M. Cendrier.

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Ondes électromagnétiques : L’application de la loi Abeille dans les espaces jeunesse des bibliothèques parisiennes a été adoptée par le CHSCT

Ondes électromagnétiques : L’application de la loi Abeille dans les espaces jeunesse des bibliothèques parisiennes a été adoptée par le CHSCT

Ce CHSCT a également adopté un avis précisant que « tant pour le personnels que pour les usagers doivent exister des lieux publics et de travail qui protègent les personnes électro-hyper sensibles et ne les excluent ni de la vie professionnelle, ni de la vie sociale »

Le Comité d’Hygiène, de sécurité et des Conditions de Travail (CHSCT) de la Direction des Affaires culturelles (DAC) de la Ville de Paris s’est déclaré à l’unanimité en faveur de la déclinaison de la loi Abeille, relative à la sobriété, à la transparence, à l’information et à la concertation en matière d’exposition aux ondes électromagnétiques. Une mesure qui devrait s’appliquer notamment dans les espaces jeunesses des bibliothèques de la capitale.

Cette instance présidée par le premier adjoint en charge de la culture, Bruno Julliard avait par ailleurs fait appel à plusieurs « personnalités qualifiées » pour éclairer les débats soit  un représentant  de la direction des services informatiques de le Ville (DSTI), le porte parole de Robin des Toits, Etienne Cendrier mais surtout…. la députée du Val de marne, Laurence Abeille elle même. La députée a ainsi pu exposer tant aux membres représentants les personnels qu’à ceux de l’administration les fondements de la loi qui porte son nom

Ondes électromagnétiques : L’application de la loi Abeille dans les espaces jeunesse des bibliothèques parisiennes a été adoptée par le CHSCT

                                              Laurence Abeille, députée du Val de Marne

Ce CHSCT adoptait également, toujours à l’unanimité de ses membres présents (CGT, CFDT, FO, SUPAP, UCP) un avis précisant que « tant pour le personnels que pour les usagers doivent exister des lieux publics et des lieux de travail qui protègent les personnes électro-hyper sensibles et ne les excluent ni de la vie professionnelle, ni de la vie sociale ».

Cet avis préconise par ailleurs que soit étudiée la mise en place de « zones blanches » au sein de la municipalité, notamment dans les établissements de la direction des affaires culturelles. Il précise que les personnels doivent bénéficier de bureaux protégés sans wifi et d’outils informatiques connectés prioritairement par du filaire.

Les membres du CHSCT se sont également prononcés en faveur d’une baisse générale de l’exposition aux ondes pour tous et de l’utilisation de tablettes filaires dans l’ensemble des établissements de la DAC recevant du jeune public. Enfin un groupe de travail sur cette question des ondes électromagnétiques et de ses répercutions sur la santé des agents a également été voté là encore de manière unanime.

Ne reste plus à la Direction des affaires culturelles et à Bruno Julliard, président de ce CHSCT et premier adjoint à la Maire de Paris, de respecter les avis exprimés dans les instances de la Ville

 

Ondes électromagnétiques : L’application de la loi Abeille dans les espaces jeunesse des bibliothèques parisiennes a été adoptée par le CHSCT

 

 

Lire aussi

Santé-environnement : pour l’application de la loi « Abeille » dans toutes les bibliothèques jeunesse de la ville de Paris

 

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Published by CGT Culture DAC Ville de Paris – dans santé au travail
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Les ondes électromagnétiques émises par les smartphones déstabilisent les dispositifs cardiaques

Thomas 24 juin 2015

Dû au Wi-Fi, au Bluetooth, aux réseaux mobiles nos smartphones émettent des ondes magnétiques qui selon des études s’avèrent être dangereuses. Selon des recherches récentes, les ondes magnétiques a un effet négatif sur les dispositifs cardiaques à citer les pacemakers, les défibrillateurs automatiques.

Les ondes electromagnétiques émises par les smartphones déstabilisent les dispositifs cardiaques

Les ondes electromagnétiques émises par les
smartphones déstabilisent les dispositifs cardiaques

Les smartphones et les dispositifs cardiaques ne vont pas ensemble

Les smartphones sont devenus depuis quelques années les appareils inséparables à notre quotidien, une personne au minimum touche 150 fois son smartphone par jour. Mais ces appareils dus à la présence du Wi-Fi, du Bluetooth, des réseaux mobiles émettent des ondes électromagnétiques qui peuvent avoir des effets négatifs sur notre cerveau, c’est pour cela qu’il est interdit de placer son smartphone au-dessous de son oreiller la nuit. Mais il paraît que ce n’est pas l’unique argument pour dire que les ondes électromagnétiques sont dangereuses, selon une étude publiée menée par le congrès commun de l’Association européenne du rythme cardiaque ou EHRA avec la société européenne de cardiologie accompagnée du Cardiostim. Selon l’étude les pacemakers pourront confondre le signal cardiaque et les interférences électromagnétiques et pourront s’arrêter brusquement.

Cet arrêt entraînerait donc une syncope du porteur, mais ce n’est pas tous les défibrillateurs automatiques aussi pourront interpréter les ondes magnétiques émises par les smartphones comme un rythme cardiaque irrégulier et anormalement rapide ce que les cardiologues définissent par tachyarythmie ventriculaire. Le dispositif enverrait donc dans ce point un choc électrique douloureux qui aurait un impact très négatif sur la santé du patient qui le porte.

Le risque du danger est faible mais mieux vaut prévenir

Pour appuyer ces découvertes, les associations citées ci-dessus ont effectué un test sur pas moins de 308 personnes. Le test a donc montré que parmi ces 308 personnes, une seule a été victime d’un trouble après la perturbation des dispositifs cardiaques causés par les ondes électromagnétiques. Nous pouvons donc dire que le risque de perturbation des appareils cardiaques est assez faible mais tout de même, cela pourrait donc arriver à n’importe comme dit le proverbe « mieux vaut prévenir que guérir ».

 
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Mobilisons nous contre l’installation obligatoire du Linky

ERDF Linky Courant 50 Hz Sinusoïdal Normal Propre Courant pollué impulsion CPL-3 Irradiantes Linky









Bonjour, (MERCI DE BIEN VOULOIR TRANSFERER CE MAIL A VOTRE CARNET D'ADRESSES)

La loi de transition énergétique, qui sera votée « avant l'été 2015 »,  
prévoit de rendre obligatoire le Linky, un nouveau compteur électrique  
qui émet des radiofréquences, sous peine d'amende de 1.500 euros.

Les radiofréquences qu?émet le Linky sont classées « cancérogènes  
possibles » depuis le 31 mai 2011 par le Centre international de  
recherche sur le cancer, qui dépend de l'OMS.

Après l'installation d'un compteur Linky, tous les appareils  
électriques ré-émettent ces radiofréquences sur une distance de 2,50  
mètres.

(voir la vidéo de mesures réalisée par l'association Next-up, en ligne  
sur  
http://www.santepublique-editions.fr/loi-de-transition-energetique-linky-3-mois-de-sursis-pour-les-victimes-c.html#videonext).

Si la loi de transition énergétique est adoptée en l'état par les  
députés et les sénateurs lors de son deuxième examen « avant l'été  
2015 », personne ne pourra échapper aux radiofréquences.

De plus, le système Linky prévoit que des « opérateurs d'effacement »  
éteindront à distance nos appareils électriques pour lisser les «  
pointes » de consommation. Mais cette non-consommation ne diminuera  
pas nos factures, ce sont les « opérateurs d'effacement » (des  
sociétés privées) qui s'en mettront « plein les poches » selon  
l'expression toute crue utilisée en séance par un sénateur UMP le 18  
février 2015.

La presse reste muette sur le sujet alors que 2.500 journalistes ont  
reçu par mail, entre le 3 février et le 3 mars 2015, des informations  
détaillées sur les raisons supplémentaires de ne pas déployer 35  
millions de compteurs Linky en France :

- l'augmentation des cas d'électro-hypersensibilité

- la surveillance, à distance et en temps réel, de l'activité des  
occupants des logements

- l'augmentation de 10 à 20 % de la consommation mesurée (et  
facturée), car le compteur Linky mesure la consommation réelle des  
appareils électriques munis de moteur, comme le lave-linge,  
l'aspirateur, les robots ménagers, l'outillage pour le bricolage, les  
ventilateurs, les climatiseurs, les pompes à chaleur, les appareils  
munis de tranformateurs et/ou de batteries rechargeables -téléphone  
portable, ordinateur fixe et portable, imprimante, scanner, hifi, etc.  
(Tous les appareils électriques sont munis de moteurs, à l'exception  
de ceux qui produisent de la chaleur au moyen d'une résistance :  
radiateur, ballon d'eau chaude, four, plaque de cuisson, grille-pain,  
bouilloire, fer à repasser.)

Quant aux ampoules basse consommation fluocompactes, dont le Cosinus  
Phi est de 0,5, leur consommation mesurée (et facturée) va doubler. De  
plus, il faut savoir qu'après avoir été rendues obligatoires, ces  
ampoules sont d'ores et déjà interdites au niveau mondial à l'horizon  
2020 par la Convention de Minimata, signée le 19 janvier 2013 à Genève  
par 140 Etats dont la France, en raison de leur teneur en mercure.

Tout ce qu'il faut savoir est en ligne sur le site  
http://www.santepublique-editions.fr

Voici des idées d?actions à mettre en oeuvre avant l?été 2015 afin de  
faire pression sur le gouvernement et sur le parlement pour qu'ils  
renoncent au déploiement du compteur Linky (le mode d'emploi détaillé  
de chaque action est en ligne sur le site  
http://www.santepublique-editions.fr)

1. Transférer ce mail à tout votre carnet d?adresses pour alerter un
maximum de personnes avant le prochain réexamen de la loi de  
transition énergétique, en demandant à vos correspondants de  
transférer eux aussi le mail à tout leur carnet d'adresse, afin de  
créer une chaîne d'information par mail. Il faudrait que toute  
personne qui dispose d'une adresse mail en France reçoive cette  
information avant le 15 mai 2015, puisque la presse n'en parle pas.

2. Signer et faire signer la pétition contre le compteur Linky et  
l'envoyer à Madame Ségolène Royal, ministre de l'Ecologie et de  
l'Energie. (Il est certes facile de cliquer sur une pétition en ligne,  
mais l'impact sera plus fort si des milliers de pétitions "papier" lui  
parviennent chaque matin par la poste.)

3. Prendre rendez-vous avec votre député et votre sénateur pour leur  
apporter des informations et leur demander de déposer des amendements  
contre le système Linky lors de l'examen de la loi en deuxième lecture.

4. Envoyer en quelques clics un mail à tous les députés et sénateurs  
(le mode d'emploi et toutes les adresses mail sont en ligne sur  
www.santepublique-editions.fr)

5. Envoyer un mail ou une lettre à François Hollande. L'envoi du  
courrier au président de la République est gratuit (franchise postale).

6. Demander aux journalistes des médias que vous lisez ou auxquels vous êtes
abonné-e de révéler sans délai toutes les informations disponibles sur  
les nombreux inconvénients du Linky.

***

Dans un premier temps, l'obligation du compteur Linky s'appliquera à  
tous les bénéficiaires des minima sociaux et à ceux qui procèderont à  
une rénovation thermique de leur logement.  L'obligation sera ensuite  
étendue par voie d'ordonnance aux autres catégories de population.

C'est maintenant qu'il faut manifester notre opposition au Linky !

Merci de bien vouloir diffuser largement cette information autour de vous.

Bien sincèrement à vous,

Annie Lobé
Journaliste scientifique indépendante
http://www.santepublique-edtions.fr

SantéPublique éditions
20 avenue de Stalingrad
94260 FRESNES
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Mobilisation contre le Compteur Linky – exposé débat

Bonjour,

Venez vous informer et pensez à transmettre cette information aux personnes
intéressées ou concernées dans votre entourage.
Appel à la mobilisation générale contre le compteur Linky !

Mardi 5 Mai 2015

à 19 h

Avec

Annie Lobé

Journaliste scientifique

Exposé-débat avec dîner à la crêperie bio
Armoric-Saveurs
95, rue de Saussure
75017 PARIS
Métro Wagram, Villiers ou Malesherbes (ligne 3)
Bus 31 ou 53 (arrêt Pont Cardinet) Gare SNCF Pont Cardinet

Réservation souhaitée : 01 40 53 93 47

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Le cerveau de bébé serait plus vulnérable aux ondes wifi

Date de publication : 14/01/2015

Une étude publiée en décembre dernier alerte les parents sur les dangers des ondes wifi pour le cerveau des enfants et des fœtus. Et si les opinions sur de tels risques divergent, le constat des chercheurs reste potentiellement alarmant. Explications.

Publiée en décembre 2014 dans le Journal Of Microscopy and Ultrastructures, une étude révèle que le cerveau des enfants est bien plus vulnérable aux ondes wifi que celui des adultes. Les chercheurs clament en effet que leurs cerveaux absorberaient plus de radiations et que les fœtus, vulnérables entre tous, devraient être tenus à l’écart du wifi. Relayé par le Dailymail ce 14 janvier, ce constat est inquiétant, mais encore à vérifier.

Le tissu cérébral des enfants est plus absorbant

Les chercheurs ont déduit de leurs recherches que le tissu cérébral des enfants, plus absorbant que celui des adultes, serait particulièrement vulnérable aux ondes wifi. Ce dernier aurait en effet un caractère potentiellement cancérigène pour les petits. L’exposition d’un fœtus à de telles ondes serait par ailleurs une pratique à haut risque et les chercheurs déconseillent aux femmes enceintes de porter leur téléphone près du corps.

L’opinion est divisée sur le danger des ondes wifi

Si les chercheurs s’alarment, c’est en partie parce que le nombre de cancers infantiles a considérablement augmenté ces dernières décennies. Cette augmentation, selon l’étude, pourrait être liée au nombre grandissant d’appareils dotés du wifi. Mais l’utilisation domestique du wifi implique un signal faible et la recherche est divisée sur les risques qu’elle représente pour la santé. La piste reste donc à creuser et des études supplémentaires devront être menées pour déterminer la gravité de ce type d’exposition.

 

http://news.google.fr/news/url?sr=1&ct2=fr%2F2_0_s_0_1_a&sa=t&usg=AFQjCNEPPz18WQj__MyMq4NdGHOUsfFwRw&cid=null&url=http%3A%2F%2Fwww.magicmaman.com%2F%2Cpk-le-cerveau-de-bebe-serait-plus-vulnerable-aux-ondes-wifi%2C2525960.asp&ei=Iuq2VOC7NeTyiAaY-4DoCQ&rt=HOMEPAGE&vm=STANDARD&bvm=section&did=1708885669996953038&sid=3428803177175808898

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Questionnaire ANSES (projet création Zone Blanche)

Bonjour,

Tout d’abord, nous vous souhaitons une bonne année 2015. Nous espérons une amélioration de nos conditions de vie. En cette période hivernale, nous avons une pensée pour les plus atteints d’entre nous qui vivent dans des conditions indignes dans notre beau pays des droits de l’homme…

L’année s’annonce forte en rebondissements, projet de loi Abeille, rapport ANSES sur l’EHS, avis du Comité Économique et Social Européen sur l’EHS, rapport final du Scenihr sur les radiofréquences, projet de recherche à venir…

Comme vous le savez, depuis 2011, nous participons très activement au comité de dialogue de l’ANSES sur le thème Radiofréquences et santé.

Nous avons réussi à crédibiliser notre problématique par des réunions de travail et des contributions sur l’ensemble de notre problématique : travaux en dosimétrie, relecture critique d’études, proposition de voies de recherche, réflexions sur les mécanismes biologiques et sensibilisations par nos appels à témoignage, colloque et création de l’Alliance des Maladies Environnementales Émergentes …

Au fil du temps, nous avons pu sortir du circulez y a rien à voir ! Fort de notre crédibilité, nous avons été  reçus par le ministère de la santé… à plusieurs reprises. Vous l’aurez compris, en ce moment, il existe un contexte qui nous est relativement favorable, quoique toujours fragile (un exemple récent : l’article orienté de Que choisir sur lequel nous reviendrons dans une prochaine lettre).

 

Projet de zone blanche soutenu par Michèle Rivasi

Comme vous le savez sans doute, Michèle Rivasi œuvre depuis plusieurs années pour créer un centre refuge en zone blanche dans des locaux d’une ancienne colonie de vacances à Durbon dans les Hautes-Alpes.

Michele Rivasi insiste sur 3 faits concernant la création d’un centre à Durbon:

1) dans la mesure du possible, les bâtiments seront également compatibles avec le MCS ;
2) il est évident que tout le problème de l’EHS (ou du MCS) ne se limite pas à la création de zones blanches;

3) ce lieu doit permettre la mise en place de recherches scientifiques.

L’ANSES serait susceptible de financer des projets de recherches mis en place dans le cadre du projet Durbon. Le Professeur Jean-Pierre Marc-Vergnes, expert auprès de l’ANSES, a élaboré un questionnaire pour évaluer la perspective de participation des électrosensibles à de telles recherches, ce qui conditionnera leur faisabilité et les financements de l’Agence.

Il permet d’évaluer votre capacité et votre volonté à participer à des projets de recherche. Merci de bien vouloir y consacrer 5 minutes en le renseignant directement en ligne :

http://www.electrosensible.org/questionnaires/durbon/ (Si vous y avez déjà participé par ailleurs, n’y répondez pas à nouveau.)

Nous compilerons vos réponses anonymement (sans email). Elles seront envoyées à l’ANSES le 20 janvier 2015.

En ce moment l’ANSES effectue une expertise spécifique à l’EHS. Ce questionnaire est une évaluation du « terrain ». Nous vous remercions de prendre le temps de répondre, quel que soit votre intérêt pour participer ou non à des études.

Electrosensibles de France – Membre et référent de l’Association nationale P.R.I.A.R.Té.M
Correspondance : PRIARTéM – Collectif des Electrosensibles de France; 5, Cour de la Ferme Saint-Lazare ; 75010 Paris
Email : Cliquez –  Tél : 01 42 47 81 54
www.electrosensible.org – www.priartem.fr.

Vos adhésions sont essentielles pour nous donner les moyens d’agir ! Cliquez ici pour Adhérer.

 

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Objet : Zone blanche sur Public sénat le 17 janvier

 

Bonjours chers amis,
Une bonne nouvelle concernant notre film
Cherche zone blanche désespérément
Il va être diffusé par la chaine “Public Sénat” le samedi 17 janvier 2015  à 22 heures, et cela sera suivi d’un débat avec quelques intervenants politiques ou scientifiques choisis en commun entre nous et l’émission mais que nous ne connaissons pas encore au moment où est envoyé ce message. Le film sera multi-diffusé les jours suivants puis de nouveau au mois de juin.
Nous vous repréciserons tout ça début janvier.
Nous allons bien sûr tout faire pour essayer de profiter de cette occasion pour apporter un coup de projecteur sur la problématique des pollutions électromagnétiques et sur les souffrances endurées par les personnes électro-hypersensibles. Nous avons donc réalisé un dossier de presse à cet effet. De plus, profitant de l’expérience d’une année de diffusion modeste mais nécessaire, nous avons apporté un “coup de jeune” à notre affiche afin d’essayer de toucher un public non averti. (voir document joint)
En espérant que vous serez intéressés pour relayer largement cette diffusion qui j’espère, jointe à vos actions, vos réunions, vos messages et publications, apportera une pierre de plus à la prise de conscience d’un plus grand nombre de personnes sur ces problèmes.
Ci-joint : Le dossier de presse  que nous allons envoyer
https://drive.google.com/folderview?id=0B2SO_UqFAFYqU1EyQUFTWkVWY2c&usp=sharingDes liens pour voir (ou revoir):
la bande annonce:
http://youtu.be/fWxrUgKRHjg
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