A savoir

Dire NON au Linky avant qu’il ne soit trop tard….
Bonjour,
J’ai reçu ce message que je vous fais suivre…appliquer le principe de précaution sur ces émissions pulsées toxiques pour la santé…
Très important : ERDF ne pose pas de compteur Linky aux personnes propriétaires qui s’y opposent.
A ce jour aucune personne qui s’est opposée à l’installation du Linky n’a eu une installation.
Par contre s’il n’y a pas d’opposition explicite, ERDF fait procéder à la pose du Linky, maintenant sans avertir et même en l’absence du propriétaire si l’accès au compteur est possible (extérieur ou dans les parties communes).
Il y a actuellement un seul mot d’ordre, pour les politiques et les industriels, pas de vague, ni de polémique, installons 99,03 % des 35 000 000 de compteurs et pour les 350 000 restants ont verra ensuite.
C’est une stratégie adaptée à la situation du business…c’est pareil pour l’impact sur la santé ou la climatologie, pas d’étude, on verra ensuite lorsque cela sera … irréversible !
Cette politique de voyous nous la connaissons elle a abouti à ce qu’il y a actuellement en France plus de 30 millions de toitures amiantées soit 30 millions de bâtiments à désamianter !!!
Bien cordialement
Serge
Conférence du Professeur D. Belpomme
ARTAC – Conférences des Professeurs Dominique Belpomme Et Romain Gire
Date: 3 septembre 2015
Le mercredi 9 Septembre 2015
Tél : 01.45.78.53.53
La justice française reconnait pour la première fois le handicap dû à l’électrosensibilité
Par Jacques BOYER | AFP – mar. 25 août 2015
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AFP/AFP/Archives – Première reconnaissance en justice de handicap dû à l’électrosensibilité
News à la une
La justice a reconnu, pour la première fois en France, l’existence d’un handicap grave dû à l’hypersensibilité aux ondes électromagnétiques, un dossier sensible dans une société où téléphone mobile et wifi sont omniprésents.
Passé inaperçu lors de sa publication début juillet, un jugement du Tribunal du contentieux de l’incapacité de Toulouse confirme, expertise médicale à l’appui, que Marine Richard, la plaignante, souffre d’un syndrome dont « la description des signes cliniques est irréfutable ».
Le jugement transmis mardi à l’AFP par l’association Robin des Toits, qui milite pour la sécurité sanitaire dans les technologies sans fil, évalue sa déficience fonctionnelle à 85% et estime qu’elle ne peut pas travailler.
Il lui accorde le droit à une allocation pour adulte handicapé – environ 800 euros par mois – pour trois ans, éventuellement renouvelable.
« Cette reconnaissance par la justice est une grande première en France », a commenté à l’AFP Etienne Cendrier, porte-parole de Robin des Toits.
« C’est une percée », a ajouté Mme Richard, 39 ans qui vit dans la précarité et se bat pour la reconnaissance de son handicap.
Cette ancienne dramaturge et réalisatrice de documentaires radio de Marseille vit aujourd’hui de l’aide de sa famille, recluse dans les montagnes de l’Ariège en raison de ses troubles, dans une ancienne grange retapée, sans électricité ni route, avec l’eau d’une source et deux mètres de neige en hiver.
L’hypersensibilité aux ondes magnétiques n’est pas reconnue officiellement en France comme maladie et fait l’objet de controverses entre experts.
Elle se traduit par des maux de tête, picotements, troubles du sommeil, des symptômes divers, transitoires et communs à de nombreuses affections.
Ceux qui se déclarent « hypersensibles » citent souvent les antennes-relais, portables, téléphones sans fil ou wifi comme causes directes de leurs maux.
Pour la première fois, un homme souffrant d’électrosensibilité s’est vu accorder par l’administration une aide financière en 2014 dans l’Essonne. Mais il s’agissait d’un accord à l’amiable et non d’une décision de justice.
– Des milliers de gens désocialisés –
L’avocate de Mme Richard, Alice Terrasse, dit ne pas avoir trouvé de jurisprudence sur le sujet, ce qui semble confirmer que le jugement de Toulouse constitue bien une première en France.
Cette victoire pourrait faire jurisprudence car « des milliers de personnes » sont concernées mais n’ont pas saisi les tribunaux jusqu’à aujourd’hui, dit-elle.
« Elles sont très isolées, ont très peu de contact (avec le monde) et pour elles ce sont des démarches qui sont extrêmement compliquées ».
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a reconnu en 2005 que l’électrosensibilité était « caractérisée par divers symptômes non spécifiques qui diffèrent d’un individu à l’autre » et « ont une réalité certaine et peuvent être de gravité très variable ».
Mais il n’existe ni critères diagnostiques clairs, ni base scientifique permettant de relier les symptômes à une exposition aux champs électromagnétiques, ajoutait-on dans l’étude de l’OMS.
Le phénomène serait cependant plus répandu qu’on ne le croit.
Mme Richard, selon qui une autre association militante, Next-up, a recensé jusqu’à 70.000 cas de personnes électrosensibles à des niveaux variables en France, explique que, « malheureusement, on n’en parle pas parce que ce sont des gens qui vivent dans des caravanes, dans des grottes, sous des tentes dans les bois ».
« On est obligé de se désocialiser et du coup on n’apparait plus dans l’espace public », dit-elle à l’AFP.
Pour M. Cendrier, de Robin des Toits, la décision de Toulouse montre que « la justice – comme souvent – est en avance sur les politiques » qu’il accuse de « protéger les industriels ».
Mme Richard, qui a contracté plus de 50.000 euros de frais et dont l’allocation promise mais toujours pas perçue « ne couvre même pas (mes) traitements », souhaite qu’on abaisse les seuils de toxicité des champs électromagnétiques.
« On sait faire des technologies beaucoup moins polluantes. Après, c’est un choix politique », dit-elle.
Dans l’immédiat, « il faut créer des endroits préservés car il y a des milliers de personnes qui ne savent pas où se mettre », plaide-t-elle.
Une loi de janvier dernier ne prévoit qu’un rapport début 2016 sur l’hypersensibilité aux ondes magnétiques, selon M. Cendrier.
Ondes électromagnétiques : L’application de la loi Abeille dans les espaces jeunesse des bibliothèques parisiennes a été adoptée par le CHSCT

Ce CHSCT a également adopté un avis précisant que « tant pour le personnels que pour les usagers doivent exister des lieux publics et de travail qui protègent les personnes électro-hyper sensibles et ne les excluent ni de la vie professionnelle, ni de la vie sociale »
Le Comité d’Hygiène, de sécurité et des Conditions de Travail (CHSCT) de la Direction des Affaires culturelles (DAC) de la Ville de Paris s’est déclaré à l’unanimité en faveur de la déclinaison de la loi Abeille, relative à la sobriété, à la transparence, à l’information et à la concertation en matière d’exposition aux ondes électromagnétiques. Une mesure qui devrait s’appliquer notamment dans les espaces jeunesses des bibliothèques de la capitale.
Cette instance présidée par le premier adjoint en charge de la culture, Bruno Julliard avait par ailleurs fait appel à plusieurs « personnalités qualifiées » pour éclairer les débats soit un représentant de la direction des services informatiques de le Ville (DSTI), le porte parole de Robin des Toits, Etienne Cendrier mais surtout…. la députée du Val de marne, Laurence Abeille elle même. La députée a ainsi pu exposer tant aux membres représentants les personnels qu’à ceux de l’administration les fondements de la loi qui porte son nom

Laurence Abeille, députée du Val de Marne
Ce CHSCT adoptait également, toujours à l’unanimité de ses membres présents (CGT, CFDT, FO, SUPAP, UCP) un avis précisant que « tant pour le personnels que pour les usagers doivent exister des lieux publics et des lieux de travail qui protègent les personnes électro-hyper sensibles et ne les excluent ni de la vie professionnelle, ni de la vie sociale ».
Cet avis préconise par ailleurs que soit étudiée la mise en place de « zones blanches » au sein de la municipalité, notamment dans les établissements de la direction des affaires culturelles. Il précise que les personnels doivent bénéficier de bureaux protégés sans wifi et d’outils informatiques connectés prioritairement par du filaire.
Les membres du CHSCT se sont également prononcés en faveur d’une baisse générale de l’exposition aux ondes pour tous et de l’utilisation de tablettes filaires dans l’ensemble des établissements de la DAC recevant du jeune public. Enfin un groupe de travail sur cette question des ondes électromagnétiques et de ses répercutions sur la santé des agents a également été voté là encore de manière unanime.
Ne reste plus à la Direction des affaires culturelles et à Bruno Julliard, président de ce CHSCT et premier adjoint à la Maire de Paris, de respecter les avis exprimés dans les instances de la Ville

Lire aussi
Santé-environnement : pour l’application de la loi « Abeille » dans toutes les bibliothèques jeunesse de la ville de Paris

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Les ondes électromagnétiques émises par les smartphones déstabilisent les dispositifs cardiaques
Thomas 24 juin 2015
Dû au Wi-Fi, au Bluetooth, aux réseaux mobiles nos smartphones émettent des ondes magnétiques qui selon des études s’avèrent être dangereuses. Selon des recherches récentes, les ondes magnétiques a un effet négatif sur les dispositifs cardiaques à citer les pacemakers, les défibrillateurs automatiques.
Les ondes electromagnétiques émises par les
smartphones déstabilisent les dispositifs cardiaques
Les smartphones et les dispositifs cardiaques ne vont pas ensemble
Les smartphones sont devenus depuis quelques années les appareils inséparables à notre quotidien, une personne au minimum touche 150 fois son smartphone par jour. Mais ces appareils dus à la présence du Wi-Fi, du Bluetooth, des réseaux mobiles émettent des ondes électromagnétiques qui peuvent avoir des effets négatifs sur notre cerveau, c’est pour cela qu’il est interdit de placer son smartphone au-dessous de son oreiller la nuit. Mais il paraît que ce n’est pas l’unique argument pour dire que les ondes électromagnétiques sont dangereuses, selon une étude publiée menée par le congrès commun de l’Association européenne du rythme cardiaque ou EHRA avec la société européenne de cardiologie accompagnée du Cardiostim. Selon l’étude les pacemakers pourront confondre le signal cardiaque et les interférences électromagnétiques et pourront s’arrêter brusquement.
Cet arrêt entraînerait donc une syncope du porteur, mais ce n’est pas tous les défibrillateurs automatiques aussi pourront interpréter les ondes magnétiques émises par les smartphones comme un rythme cardiaque irrégulier et anormalement rapide ce que les cardiologues définissent par tachyarythmie ventriculaire. Le dispositif enverrait donc dans ce point un choc électrique douloureux qui aurait un impact très négatif sur la santé du patient qui le porte.
Le risque du danger est faible mais mieux vaut prévenir
Pour appuyer ces découvertes, les associations citées ci-dessus ont effectué un test sur pas moins de 308 personnes. Le test a donc montré que parmi ces 308 personnes, une seule a été victime d’un trouble après la perturbation des dispositifs cardiaques causés par les ondes électromagnétiques. Nous pouvons donc dire que le risque de perturbation des appareils cardiaques est assez faible mais tout de même, cela pourrait donc arriver à n’importe comme dit le proverbe « mieux vaut prévenir que guérir ».
Mobilisons nous contre l’installation obligatoire du Linky
Bonjour, (MERCI DE BIEN VOULOIR TRANSFERER CE MAIL A VOTRE CARNET D'ADRESSES) La loi de transition énergétique, qui sera votée « avant l'été 2015 », prévoit de rendre obligatoire le Linky, un nouveau compteur électrique qui émet des radiofréquences, sous peine d'amende de 1.500 euros. Les radiofréquences qu?émet le Linky sont classées « cancérogènes possibles » depuis le 31 mai 2011 par le Centre international de recherche sur le cancer, qui dépend de l'OMS. Après l'installation d'un compteur Linky, tous les appareils électriques ré-émettent ces radiofréquences sur une distance de 2,50 mètres. (voir la vidéo de mesures réalisée par l'association Next-up, en ligne sur http://www.santepublique-editions.fr/loi-de-transition-energetique-linky-3-mois-de-sursis-pour-les-victimes-c.html#videonext). Si la loi de transition énergétique est adoptée en l'état par les députés et les sénateurs lors de son deuxième examen « avant l'été 2015 », personne ne pourra échapper aux radiofréquences. De plus, le système Linky prévoit que des « opérateurs d'effacement » éteindront à distance nos appareils électriques pour lisser les « pointes » de consommation. Mais cette non-consommation ne diminuera pas nos factures, ce sont les « opérateurs d'effacement » (des sociétés privées) qui s'en mettront « plein les poches » selon l'expression toute crue utilisée en séance par un sénateur UMP le 18 février 2015. La presse reste muette sur le sujet alors que 2.500 journalistes ont reçu par mail, entre le 3 février et le 3 mars 2015, des informations détaillées sur les raisons supplémentaires de ne pas déployer 35 millions de compteurs Linky en France : - l'augmentation des cas d'électro-hypersensibilité - la surveillance, à distance et en temps réel, de l'activité des occupants des logements - l'augmentation de 10 à 20 % de la consommation mesurée (et facturée), car le compteur Linky mesure la consommation réelle des appareils électriques munis de moteur, comme le lave-linge, l'aspirateur, les robots ménagers, l'outillage pour le bricolage, les ventilateurs, les climatiseurs, les pompes à chaleur, les appareils munis de tranformateurs et/ou de batteries rechargeables -téléphone portable, ordinateur fixe et portable, imprimante, scanner, hifi, etc. (Tous les appareils électriques sont munis de moteurs, à l'exception de ceux qui produisent de la chaleur au moyen d'une résistance : radiateur, ballon d'eau chaude, four, plaque de cuisson, grille-pain, bouilloire, fer à repasser.) Quant aux ampoules basse consommation fluocompactes, dont le Cosinus Phi est de 0,5, leur consommation mesurée (et facturée) va doubler. De plus, il faut savoir qu'après avoir été rendues obligatoires, ces ampoules sont d'ores et déjà interdites au niveau mondial à l'horizon 2020 par la Convention de Minimata, signée le 19 janvier 2013 à Genève par 140 Etats dont la France, en raison de leur teneur en mercure. Tout ce qu'il faut savoir est en ligne sur le site http://www.santepublique-editions.fr Voici des idées d?actions à mettre en oeuvre avant l?été 2015 afin de faire pression sur le gouvernement et sur le parlement pour qu'ils renoncent au déploiement du compteur Linky (le mode d'emploi détaillé de chaque action est en ligne sur le site http://www.santepublique-editions.fr) 1. Transférer ce mail à tout votre carnet d?adresses pour alerter un maximum de personnes avant le prochain réexamen de la loi de transition énergétique, en demandant à vos correspondants de transférer eux aussi le mail à tout leur carnet d'adresse, afin de créer une chaîne d'information par mail. Il faudrait que toute personne qui dispose d'une adresse mail en France reçoive cette information avant le 15 mai 2015, puisque la presse n'en parle pas. 2. Signer et faire signer la pétition contre le compteur Linky et l'envoyer à Madame Ségolène Royal, ministre de l'Ecologie et de l'Energie. (Il est certes facile de cliquer sur une pétition en ligne, mais l'impact sera plus fort si des milliers de pétitions "papier" lui parviennent chaque matin par la poste.) 3. Prendre rendez-vous avec votre député et votre sénateur pour leur apporter des informations et leur demander de déposer des amendements contre le système Linky lors de l'examen de la loi en deuxième lecture. 4. Envoyer en quelques clics un mail à tous les députés et sénateurs (le mode d'emploi et toutes les adresses mail sont en ligne sur www.santepublique-editions.fr) 5. Envoyer un mail ou une lettre à François Hollande. L'envoi du courrier au président de la République est gratuit (franchise postale). 6. Demander aux journalistes des médias que vous lisez ou auxquels vous êtes abonné-e de révéler sans délai toutes les informations disponibles sur les nombreux inconvénients du Linky. *** Dans un premier temps, l'obligation du compteur Linky s'appliquera à tous les bénéficiaires des minima sociaux et à ceux qui procèderont à une rénovation thermique de leur logement. L'obligation sera ensuite étendue par voie d'ordonnance aux autres catégories de population. C'est maintenant qu'il faut manifester notre opposition au Linky ! Merci de bien vouloir diffuser largement cette information autour de vous. Bien sincèrement à vous, Annie Lobé Journaliste scientifique indépendante http://www.santepublique-edtions.fr SantéPublique éditions 20 avenue de Stalingrad 94260 FRESNES
Mobilisation contre le Compteur Linky – exposé débat
Bonjour,
Mardi 5 Mai 2015
à 19 h
Avec
Annie Lobé
Journaliste scientifique
Réservation souhaitée : 01 40 53 93 47

Le cerveau de bébé serait plus vulnérable aux ondes wifi
Une étude publiée en décembre dernier alerte les parents sur les dangers des ondes wifi pour le cerveau des enfants et des fœtus. Et si les opinions sur de tels risques divergent, le constat des chercheurs reste potentiellement alarmant. Explications.
Publiée en décembre 2014 dans le Journal Of Microscopy and Ultrastructures, une étude révèle que le cerveau des enfants est bien plus vulnérable aux ondes wifi que celui des adultes. Les chercheurs clament en effet que leurs cerveaux absorberaient plus de radiations et que les fœtus, vulnérables entre tous, devraient être tenus à l’écart du wifi. Relayé par le Dailymail ce 14 janvier, ce constat est inquiétant, mais encore à vérifier.
Le tissu cérébral des enfants est plus absorbant
Les chercheurs ont déduit de leurs recherches que le tissu cérébral des enfants, plus absorbant que celui des adultes, serait particulièrement vulnérable aux ondes wifi. Ce dernier aurait en effet un caractère potentiellement cancérigène pour les petits. L’exposition d’un fœtus à de telles ondes serait par ailleurs une pratique à haut risque et les chercheurs déconseillent aux femmes enceintes de porter leur téléphone près du corps.
L’opinion est divisée sur le danger des ondes wifi
Si les chercheurs s’alarment, c’est en partie parce que le nombre de cancers infantiles a considérablement augmenté ces dernières décennies. Cette augmentation, selon l’étude, pourrait être liée au nombre grandissant d’appareils dotés du wifi. Mais l’utilisation domestique du wifi implique un signal faible et la recherche est divisée sur les risques qu’elle représente pour la santé. La piste reste donc à creuser et des études supplémentaires devront être menées pour déterminer la gravité de ce type d’exposition.
http://news.google.fr/news/url?sr=1&ct2=fr%2F2_0_s_0_1_a&sa=t&usg=AFQjCNEPPz18WQj__MyMq4NdGHOUsfFwRw&cid=null&url=http%3A%2F%2Fwww.magicmaman.com%2F%2Cpk-le-cerveau-de-bebe-serait-plus-vulnerable-aux-ondes-wifi%2C2525960.asp&ei=Iuq2VOC7NeTyiAaY-4DoCQ&rt=HOMEPAGE&vm=STANDARD&bvm=section&did=1708885669996953038&sid=3428803177175808898

Questionnaire ANSES (projet création Zone Blanche)
Bonjour,
Tout d’abord, nous vous souhaitons une bonne année 2015. Nous espérons une amélioration de nos conditions de vie. En cette période hivernale, nous avons une pensée pour les plus atteints d’entre nous qui vivent dans des conditions indignes dans notre beau pays des droits de l’homme…
L’année s’annonce forte en rebondissements, projet de loi Abeille, rapport ANSES sur l’EHS, avis du Comité Économique et Social Européen sur l’EHS, rapport final du Scenihr sur les radiofréquences, projet de recherche à venir…
Comme vous le savez, depuis 2011, nous participons très activement au comité de dialogue de l’ANSES sur le thème Radiofréquences et santé.
Nous avons réussi à crédibiliser notre problématique par des réunions de travail et des contributions sur l’ensemble de notre problématique : travaux en dosimétrie, relecture critique d’études, proposition de voies de recherche, réflexions sur les mécanismes biologiques et sensibilisations par nos appels à témoignage, colloque et création de l’Alliance des Maladies Environnementales Émergentes …
Au fil du temps, nous avons pu sortir du circulez y a rien à voir ! Fort de notre crédibilité, nous avons été reçus par le ministère de la santé… à plusieurs reprises. Vous l’aurez compris, en ce moment, il existe un contexte qui nous est relativement favorable, quoique toujours fragile (un exemple récent : l’article orienté de Que choisir sur lequel nous reviendrons dans une prochaine lettre).
Projet de zone blanche soutenu par Michèle Rivasi
Comme vous le savez sans doute, Michèle Rivasi œuvre depuis plusieurs années pour créer un centre refuge en zone blanche dans des locaux d’une ancienne colonie de vacances à Durbon dans les Hautes-Alpes.
Michele Rivasi insiste sur 3 faits concernant la création d’un centre à Durbon:
1) dans la mesure du possible, les bâtiments seront également compatibles avec le MCS ;
2) il est évident que tout le problème de l’EHS (ou du MCS) ne se limite pas à la création de zones blanches;
3) ce lieu doit permettre la mise en place de recherches scientifiques.
L’ANSES serait susceptible de financer des projets de recherches mis en place dans le cadre du projet Durbon. Le Professeur Jean-Pierre Marc-Vergnes, expert auprès de l’ANSES, a élaboré un questionnaire pour évaluer la perspective de participation des électrosensibles à de telles recherches, ce qui conditionnera leur faisabilité et les financements de l’Agence.
Il permet d’évaluer votre capacité et votre volonté à participer à des projets de recherche. Merci de bien vouloir y consacrer 5 minutes en le renseignant directement en ligne :
http://www.electrosensible.org/questionnaires/durbon/ (Si vous y avez déjà participé par ailleurs, n’y répondez pas à nouveau.)
Nous compilerons vos réponses anonymement (sans email). Elles seront envoyées à l’ANSES le 20 janvier 2015.
En ce moment l’ANSES effectue une expertise spécifique à l’EHS. Ce questionnaire est une évaluation du « terrain ». Nous vous remercions de prendre le temps de répondre, quel que soit votre intérêt pour participer ou non à des études.
Electrosensibles de France – Membre et référent de l’Association nationale P.R.I.A.R.Té.M
Correspondance : PRIARTéM – Collectif des Electrosensibles de France; 5, Cour de la Ferme Saint-Lazare ; 75010 Paris
Email : Cliquez – Tél : 01 42 47 81 54
www.electrosensible.org – www.priartem.fr.
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Objet : Zone blanche sur Public sénat le 17 janvier
https://drive.google.com/folderview?id=0B2SO_UqFAFYqU1EyQUFTWkVWY2c&usp=sharingDes liens pour voir (ou revoir):
la bande annonce:
http://youtu.be/fWxrUgKRHjg