Témoignages vidéos d’EHS

Archive pour juin 2013

UN GITE SANS MAUVAISES ONDES

 

GITE de L’HUBAC

L’adret des cades

26170 LA ROCHE SUR LE BUIS

T : 04 75 28 58 70

Kity vous accueille dans une propriété de 2 ha avec ruisseau, loin des ondes,

sans wifi ni DECT, avec blindage électrique.

Téléphone portable, tablettes et autres accessoires électroniques interdits.

Elle met à votre disposition un appartement de type F1 de 30 m2 avec terrasse, composé :

  • d’une chambre avec lit double, lavabo et baignoire d’angle (eau chaude à gaz),

  • d’un WC séparé,

  • d’un salon avec un couchage simple et coin cuisine (évier, plaque 2 feux gaz, table et 2 chaises),

  • et d’une terrasse équipée d’1 table, de 2 chaises, de 2 bains de soleil et d’1 table basse.

Réfrigérateur et point téléphonique fixe situés dans une annexe à 40 m.

Capacité : 2 personnes (conseillé), 3 p. maxi. Linge de maison fourni (draps, serviettes de toilette, torchon)

Tarifs (hors taxe de séjour)

La semaine de 7 nuitées avec petit déjeuner bio complet : 1 personne : 350 euros

2 personnes : 400 euros

3 personnes : 450 euros

Arrêt de car le plus proche situé à 11 kms. Possibilité de navette à la demande.

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« Le mal des ondes » – France Culture

Un documentaire de Jonas Pool et Bruno Seribat

« Depuis 1997 et le début de la téléphonie GSM, les antennes cellulaires ont fait de plus en plus leur apparition dans des quartiers de par le monde pour répondre à une demande sans arrêt grandissante de la part des utilisateurs de téléphones portables. »

 

Affiche de "Full signal", un documentaire de Talal Jabari, (2009) © Radio France

Affiche de « Full signal », un documentaire de Talal Jabari, (2009) © Radio France

C’est sur ce constat que Talal Jabari avait conçu en 2009 le film « Full Signal ». Avec les télévisions, téléphones, écrans, ordinateurs, radios en tous genres, les rayonnements électromagnétiques inondent nos corps mystérieusement, nous connectent et nous perforent. Les ondes se propagent, rebondissent invisibles, pulsées ; partout, sauf en zone blanche où elles n’entrent pas. Ce sanctuaire sera la destination de ce documentaire.

 

 

 

Avec :

Scillia Lorage et Yves Denys, électrosensibles,

Samuel Oberli et Vincent Steulet, maire et ex-maire du village de Soubey (Jura),

Rodolphe Saint-Louis, président de l’association Stop Antenne,

 

Marc Fitterman, chercheur indépendant,

 

André Aurengoet Bernard Veyret, ex-conseillers scientifiques de Bouygues Telecom,

Nicolas Barth, agriculteur à Masesselin,

Talal Jabari, réalisateur du documentaire Full Signal.
Production : Jonas Pool

Réalisation : Bruno Seribat

Source : http://www.franceculture.fr/emission-sur-les-docks-le-corps-14-%C2%AB-le-mal-des-ondes-%C2%BB-2013-06-03

Voir également :

– Informations scientifiques sur l’électrosensibilité

– Synthèse pro-innocuité du Pr Aurengo – « La licorne et le hérisson » – Déc 2010

– ‘Bouygues active ses relais pour sauver ses antennes’ – Le Canard Enchaîné – 11/03/2009

– « Mais qui est ce professeur Aurengo ? » – Planète sans visa – 19/06/2008

– A propos d’Aurengo d’EDF : « Une campagne de lobbying intensif » – Le Parisien – 21/03/2008

– « Antennes relais: conflits d’intérêts? » – L’Express – 09/11/2012

– « Ondes électromagnétiques : vers un nouveau scandale sanitaire ? » – Bastamag – 25/10/2011

– Révélation par l’IGAS du manque d’indépendance de l’AFSSE – JT France 2 + i>Télé Juillet 2006

– Avant la téléphonie mobile en janvier 1991 : Pr Bernard VEYRET – Etudes expérimentales portant sur les actions biologiques des radio-fréquences

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Débat sur les ondes

Le 6 juin 2013

Le 31 janvier dernier, les députés ont, en séance plénière, reporté sine die l’examen de la proposition de loi EELV visant à instaurer un principe de précaution pour limiter les risques sanitaires liés à l’exposition aux appareils sans fil, après avoir assez largement vidé de son contenu le texte en commission. La proposition de la députée Laurence Abeille avait pourtant le mérite d’avancer certaines solutions à la question épineuses des risquées liés aux ondes électromagnétiques pour les humains : définition d’un nouveau seuil basé sur le principe « As Low As Reasonably Achievable », c’est-à-dire aussi bas que possible ; interdiction du Wifi en crèche et préférence au filaire dans les lieux publics ; étude d’impact obligatoire avant la mise en œuvre de toute nouvelle technologie provoquant des rayonnements électromagnétiques (dont la 4G).

Réagissant à la dénaturation de son texte, sa principale signataire a dénoncé l’opposition du gouvernement et notamment de la ministre déléguée à l’économie numérique, Fleur Pellerin, qui selon Mme Abeille cherche avant tout à préserver les intérêts économiques et à ne « pas froisser les opérateurs et fabricants de téléphonie ». On ne peut que lui donner raison lorsque l’on sait les enjeux économiques derrière l’industrie des télécommunications, en particulier avec le déploiement de la 4G aujourd’hui, qui représente, selon les mots mêmes de Mme Pellerin, « un investissement de 3 milliards sur les cinq prochaines années et des dizaines de milliers d’emplois ».

 

Pris entre deux feux – impératifs de santé publique et impératifs économiques – la plupart des responsables politiques bottent donc en touche, affirmant attendre pour se décider les résultats de deux études qui devront être publiées prochainement sur le sujet :

 

– L’Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) doit actualiser, d’ici à juin, l’avis qu’elle avait rendu en 2009, alertant sur les dangers des ondes et recommandant la mise en œuvre du principe de précaution.

 

– Le Copic (comité d’expérimentation sur l’abaissement de l’exposition du public), mis en place lors du Grenelle des ondes organisé en 2009, doit également se prononcer sur la faisabilité d’un abaissement du seuil d’exposition du public à 0,6 V/m et sur ses conséquences non seulement sur la qualité du service mais sur l’exposition globale liée notamment aux récepteurs (des antennes moins puissantes supposent des récepteurs plus puissants). Ce comité est présidé par le député (PS) de l’Isère François Brottes, réunit tous les acteurs du secteur et a déjà organisé plusieurs expérimentations grandeur nature dans certaines collectivités.

 

Or l’association Robin des toits, membre initialement du Copic, en dénonce désormais les travaux. Selon elle, les dés seraient en effet « pipés » depuis que l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences), qui pilote les travaux, ne respecterait plus le cahier des charges des expérimentations définit en 2009-2010 par l’ensemble des acteurs. En conséquence, l’association a quitté le 28 janvier dernier le Copic et a adressé une lettre ouverte aux parlementaires le 14 mai leur demandant un arbitrage.

 

Le débat technique actuel concernant l’expérimentation technologique sur la puissance des antennes relais ne doit toutefois pas occulter l’enjeu principal qui est la réduction de l’exposition de la population aux ondes électromagnétiques. Cette exposition est la combinaison des émissions des antennes relais, donc de leur puissance et de leur nombre, des émissions wifi et des émissions des « récepteurs » c’est à dire nos téléphones mobiles.

ONDES

S’il n’y a que des soupçons – et non pas des certitudes – concernant les risques sanitaires induits par les ondes, leurs effets biologiques sont eux avérés. Pour la première fois, une étude sur des jeunes rats, conduite par l’Institut national de l’environnement industriel et des risques (Ineris) et l’université de Picardie Jules-Verne, publiée par la revue Environnement Science and Pollution Research et rendue publique mercredi 3 avril 2013, conclut à des effets biologiques des radiofréquences sur les fonctions de l’équilibre énergétique. Le sommeil, la régulation thermique et la prise alimentaire sont perturbés. Les chercheurs soulignent en outre que les rongeurs ont un comportement alimentaire et suivent des rythmes biologiques assez similaires à ceux des nouveau-nés et que leur régulation thermique est transposable à l’homme. Dans son avis de 2009, l’ANSES avait rappelé que le principal risque d’exposition et de doutes quant aux effets sanitaires est le récepteur plus que l’antenne. Aussi appelait-elle au principe de précaution pour les publics à risque, et notamment les enfants.

 

Bien que n’aient été démontrés pour le moment que des liens d’association (et non de causalité) entre les ondes électromagnétiques et certaines maladies humaines (cancer notamment), les risques sanitaires liés à l’exposition aux ondes sont pris très au sérieux par la communauté internationale – plus peut-être que par nos responsables nationaux. Ainsi, en juin 2011, le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), structure rattachée à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a classé comme « cancérogènes possibles » les champs électromagnétiques de radiofréquence, dont ceux de la téléphonie mobile. A l’étranger, la Grèce, la Belgique, l’Autriche ont limité l’exposition à 3 V/m (alors que le seuil est de 41 V/m en France). La ville de Salzbourg, en Autriche, est descendue à 0,6 V/m. Ce seuil d’exposition est d’ailleurs recommandé par le Conseil de l’Europe dans sa Résolution 1815. Enfin, en Italie, le 12 octobre 2012, la Cour de cassation a accepté pour la première fois de reconnaitre victime d’une maladie professionnelle un plaignant atteint d’une tumeur à un nerf cérébral du fait de l’utilisation intensive du téléphone portable (5/6h par jour) dans le cadre de son travail. Face à ces avancées à l’échelle internationale, on ne peut que regretter l’attentisme de nos pouvoirs publics.

ONDES-antenne

Au-delà, ce débat de santé environnementale est exemplaire de notre approche des enjeux écologiques. Le téléphone portable est devenu un bien universel et très largement uniformisé. S’il était confirmé que ce totem de la société moderne avait un impact sanitaire, toute une génération serait mondialement affectée. La question n’est pas purement technologique, elle est sociétale. Saurions-nous renoncer au totem de la consommation moderne au nom du principe de précaution qui trouve ici une application potentielle ?

http://ecolo-ethik.org/preambule-2/

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Electrosensibilité : Un combat sans répit pour Chantal Blais

Même si elle ressentait une douleur intense, voire insupportable, liée aux ondes émises par les équipements utilisés par les médias, Chantal Blais a pris le temps d'expliquer l'utilité d'un détecteur de radiofréquence.(Photo: Pierre-Olivier Girard)

Même si elle était bien consciente de tous les maux physiques et mentaux qu’elle devrait endurer en sortant de chez elle, la Magogoise Chantal Blais a une fois de plus pris son courage à deux mains, le 16 janvier dernier. Atteinte d’électrosensibilité, elle a bravé la douleur pour poursuivre sa mission de sensibiliser la population et les acteurs politiques sur les dommages causés par les champs électromagnétiques, dont ceux émis par les nouveaux compteurs intelligents.

Aux côtés de l’électricien de Magog, Jean-Claude Morin, ainsi que du représentant du groupe Estrie, Marc Robert, Mme Blais a raconté avec beaucoup d’émotion le calvaire auquel elle est confrontée quotidiennement, comme des centaines d’autres personnes au Québec. Un témoignage difficile à livrer par sa triste réalité, mais aussi en raison du fait que la conférence de presse s’est déroulée en présence d’une dizaine de membres de la presse, munis pour la plupart d’équipements technologiques émettant des ondes. Des appareils que la résidante de Magog doit, en temps normal, éviter à tout prix afin d’obtenir un certain répit de douleurs somme toute omniprésentes.

«Pour limiter mes souffrances, j’ai dû quitter mon logement à Magog que je partageais avec ma mère de 81 ans que j’aidais depuis sept ans, affirme Chantal Blais. J’ai aussi quitté mon fiancé et mes amis pour me réfugier dans une petite cabane en bois au creux d’une vallée de la région de Sutton, où la présence des ondes est vraiment minime. Cet endroit est sans électricité, avec seulement une toilette sèche, un petit lavabo de cuisine n’ayant que l’eau froide, un poêle de camping au propane pour cuisiner et un petit frigo situé à environ 50 pieds de ma cabane. C’est le seul endroit que j’ai trouvé où mes douleurs diminuent.»

Cependant, Mme Blais ne peut pas demeurer dans ce coin isolé durant l’hiver, ce qui l’a obligé à retourner en sol magogois en novembre dernier. Malheureusement, toutes ses douleurs sont réapparues. «Je m’inquiète terriblement pour ma santé dans les mois à venir. Ce sont des souffrances inhumaines qui sont difficiles à décrire avec des mots tellement elles sont insupportables. Il y a les maux de tête, les nausées, les palpitations au cœur, les problèmes de sommeil, la fatigue omniprésente, la difficulté à respirer, les problèmes de peau, les douleurs musculaires et les tremblements. Parfois, je ne suis même plus capable de marcher et de parler. Je vis un véritable cauchemar», confie-t-elle.

Sachant pertinemment qu’il n’y a pas de remède contre l’électrosensibilité, du moins pour l’instant, Chantal Blais doit accepter que son combat en est un pour le reste de ses jours. La seule chose qu’elle demande est de la compréhension de la part des décideurs politiques, qui ont le pouvoir de ne pas rendre la situation pire qu’elle ne l’est déjà. Ce qui pourrait se traduire notamment par des moratoires pour que les municipalités soient sans compteur émettant des radiofréquences.

Puisqu’en cas contraire, l’espoir d’une vie meilleure serait soudainement anéanti. Et sans espoir, il est difficile d’avoir la force, l’énergie et la volonté nécessaires pour survivre dans un tel chaos.

«J’ai une amie électrosensible qui a décidé de mettre fin à sa souffrance l’été dernier. C’est en sa mémoire que je veux me battre et monter aux barricades, car je souhaite de tout cœur qu’aucune personne ne vive la même chose que nous», conclut-elle la voix tremblante d’émotions.

http://www.lerefletdulac.com/Societe/Sante/2013-01-23/article-3162542/Electrosensibilite%3A-un-combat-sans-repit-pour-Chantal-Blais/1
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Prix du concours « jeunes chercheurs »

Voilà une trouvaille qui leur a valu le prix du concours  « Jeunes Chercheurs« . Cinq lycéennes danoises ont prouvé à quelle point l’exposition au Wifi était nocive aux végétaux. L’idée est partie d’une expérience personnelle : « Nous pensions que les problèmes de concentration à l’école et parfois d’insomnie venaient du fait que nous dormions avec nos téléphones portables à côté de notre tête », raconte l’une d’elles.

Elles sont imaginé un protocole expérimental original et simple à la fois. Elles ont comparé la croissance de graines de cresson exposées au Wifi à celle de graines non exposées. Pendant douze jours 6 assiettes comportant des graines de cresson ont été placées à proximité d’ondes d’un routeur Wifi de la norme IEEE 802.11g. En guise de groupe « contrôle », 6 autres assiettes ont été isolées de toute forme de radiation.

Résultat :  les graines de cresson exposées aux ondes Wifi ne se sont pas développées et ont même parfois muté ! Les graines protégées, de leur coté, ont germé tout à fait normalement.

A gauche, le cresson malade, non germé. A droite, le cresson sain

De nombreux chercheurs du Royaume-Uni, de Suède et des Pays Bas se sont intéressés à cette expérience. « Dans les limites de leurs compétences, les filles ont mis sur pied et documenté un travail d’une grande élégance. La richesse de détails et de précisions est exemplaire, le choix du cresson est très intelligent, et je pourrais continuer mes éloges » raconte le professeur Olle Johansson de l’Institut Karolinska de Stockholm.

D’autres détails sur le Daily Geek Show

http://www.atlantico.fr/atlantico-light/wifi-dangerosite-ondes-prouvee-lyceennes-cresson-739130.html

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Cancers d’enfants dans les écoles – coïncidence troublante

La coïncidence est assez curieuse.
A Lyon aussi, sous les antennes de l’école Victor Hugo (1er arrondissement), deux cas de cancers d’enfants de 9 ans de la même classe directement sous une antenne-relais, un des deux enfants est décédé.
L’antenne avait été démontée rapidement (pendant la nuit)…..(le dossier des écoles de Lyon est détaillé sur Next-Up.org.)
Et  dire qu’à Lyon, on installe la 4 G….. en ce moment…….!!

Rexpoëde (près de Dunkerque) : réunion publique ce mercredi

sur les antennes-relais de l’école Victor-Hugo

Publié le 21 mai 2013, par La Voix du Nord
Mercredi, à 18 h, à la salle Colette-Bel, se tient une réunion publique animée par l’association Rexpoëde Environnement et Priartem (Pour une réglementation des implantations d’antennes-relais de téléphonie mobile). Le thème : ces fameuses antennes-relais de téléphonie mobile installées à proximité de l’école Victor-Hugo. En 2009, deux cas de cancer avaient été détectés à cette école. Rexpoëde Environnement et Priartem avaient en 2010 sollicité une enquête sanitaire de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) et de l’Institut national de veille sanitaire (INVS), qui avaient conclu que les antennes n’étaient pas responsables des cancers.
Mais les associations n’en démordent pas. Mercredi soir, l’INVS, l’ANSES et l’Agence régionale de santé (ARS) du Nord – Pas-de-Calais ont accepté de venir à la rencontre des habitants pour en discuter. Les associations en profiteront pour réitérer leurs demandes d’investigations complémentaires.

Ci-joint, le Communiqué de Presse du 16 mai : Deux cas de cancer dans une école : Les Agences en charge de la Santé Publique se déplacent à Rexpoëde et le Communiqué de Preses du 21 mai : Antennes-relais et clusters de cancers infantiles : les Agences en charge de la Santé Publique se déplacent à Rexpoëde. Une première !

http://www.priartem.fr/Antennes-relais-et-clusters-de.html

 

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L’électrosensible bloque l’école

Un « électro-sensible » habitant de Bulle a bloqué l’école ce matin pour alerter l’opinion sur les dangers des ondes.

Hier, un habitant de Bulle (25) qui se dit « électrosensible », a bloqué la classe qui se trouve juste en dessous du logement qu’il occupe au dessus de l’école du village. Il a sorti l’institutrice de sa classe avant de fermer les portes à clef et de couper le courant. Le maire, puis les gendarmes, sont intervenus pour le ramener à la raison. De son côté, le locataire, à qui un certificat médical reconnaît une « électrohypersensibilité explique que « tout a commencé avec l’installation du wi-max au village. L’antenne était d’abord installée sur la mairie, et puis sur l’église. Depuis, une box est installée à la mairie et dans l’école. Moi, j’ai commencé à me réveiller toutes les nuits avec la tête qui explose et des acouphènes insensés. On me dit de déménager, mais pour aller où, au centre-ville avec toutes les box qui vont me charger à mort ? » Hier, le maire a décidé de couper les téléphones sans fil et de débrancher la box pour aller vers l’apaisement.

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