Témoignages vidéos d’EHS

Archive pour octobre 2012

Le coup de gueule d’Etienne Cendrier sur la Nouvelle Charte Parisienne

BFM : Coup de gueule - "Etienne Cendrier porte-parole de Robin des Toits" / 4G - 19/10/2012

Ecouter le podcast en ligne :

http://www.bfmtv.com/grille/bfmbusiness/podcast-radio/5998/

Ou ci-dessous :


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(11.06 Mo)

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Du poison dans votre smartphone…

DES MÉDECINS ET DES CHERCHEURS AVERTISSENT

«Votre Iphone vous rend malade»

Par Ilham TERKI – Dimanche 21 Octobre 2012 – L'iPhone 5, dernier-né de la marque à la pommeL’iPhone 5, dernier-né de la marque à la pomme

Du poison dans mon smartphone. C’est la conclusion à laquelle sont parvenus des chercheurs américains.

Quand nous utilisons nos téléphones mobiles, nous nous collons au visage un concentré de poisons: plomb, brome, chlore, mercure, cadmium. «Chaque téléphone testé contient au moins un de ces produits toxiques dangereux», constatent les chercheurs de l’Ecologie Centre aux Etats-Unis. Pourtant, les ventes de smartphones explosent et les entreprises se l’arrachent. Ce que 90% des utilisateurs ignorent, est que des risques sanitaires se cachent derrière ce bijou de technologie.

Cette organisation écologiste américaine a publié début octobre, les résultats d’une vaste étude de toxicologie menée sur 36 modèles de téléphones portables mis sur le marché depuis cinq ans par dix constructeurs. Un mobile peut renfermer jusqu’à 40 éléments contenant des métaux lourds et des polluants organiques persistants. Munis de pinces, de ciseaux et de tournevis, les chercheurs de l’Ecology Centre ont intégralement démonté les appareils pour soumettre tous leurs composants, processeurs, circuits imprimés, écrans, touches, batteries, à une analyse par fluorescence de rayons X. Plus de mille échantillons ont été passés au crible à la recherche de 35 éléments ou substances chimiques.

Selon le directeur de recherches à l’Ecology Center, Jeff Gearhart, «la conclusion est que les téléphones mobiles sont toxiques et pleins de produits chimiques à risque» en ajoutant que «même les meilleurs téléphones sont porteurs d’un danger chimique». L’étude tient quant même à rassurer en indiquant que les fabricants tentent de réduire la toxicité de ces composants. Certaines marques tirent leur épingle du jeu. Le trio de tête est formé par Motorola Citrus, l’iPhone 4S d’Apple et le LG Remarq.
L’iPhone 5, dernier-né de la marque à la pomme, est cinquième, tandis que son grand rival, le Samsung Galaxy S III, est en 9e position. Apple enregistre ainsi un net progrès de génération en génération: l’iPhone 2G, premier de la série apparu en 2007, est de loin le plus toxique des 36 modèles, d’après cette étude.

«Les préoccupations des consommateurs amènent les fabricants à dessiner et proposer des produits plus sains», estime Gearhart, qui se complimente aussi du renforcement des réglementations et des vérifications, notamment en Europe et en Asie. L’Afrique est absente de cette étude. Mais ces substances peuvent entraîner des pollutions à chaque étape du cycle de vie du téléphone. Leur extraction suscite des dégradations de l’environnement, parfois des conflits.

Les employés des constructeurs sont exposés aux poisons lors du processus de fabrication. Les éléments polluants des téléphones se retrouvent encore trop souvent dans l’air, les sols et les nappes phréatiques. Une grande partie des téléphones usagés finit dans des décharges ou est exportée vers des sites de recyclage informels en Asie.

 L’Ecology Center appelle à un meilleur encadrement national et international de la gestion des déchets électroniques.«Ces produits chimiques, qui entraînent des malformations congénitales, des difficultés d’apprentissage et d’autres graves problèmes de santé, ont été retrouvés dans le sol à des niveaux dix à cent fois supérieurs à la normale sur des sites de recyclage en Chine», rappelle Jeff Gearhart.

Un médecin algérien spécialiste en neurologie livre son verdict. Selon lui, «des études contradictoires se multiplient pour démontrer les dangers des téléphones portables». Il énumère les désagréments causés aux usagers. Il cite les maux de tête, les troubles auditifs, les picotements de la peau, les clignements oculaires, la perte de mémoire, les troubles de la concentration et les bourdonnements d’oreille. «Il est possible, à terme, que l’ADN cellulaire soit lésé, ce qui provoquerait des tumeurs cancéreuses», ajoute-t-il. «Parmi les dangers liés à l’utilisation de la technologie des ondes radio, deux paraîtraient avoir une incidence directe sur notre cerveau. Les effets thermiques sont les plus palpables», selon le spécialiste.
«L’utilisation continue d’un mobile pendant 20 minutes fait augmenter de 1° Celsius la température des tissus en contact. C’est alors le cortex, la partie la plus sensible du cerveau se trouvant à proximité de l’oreille, qui subit cette fluctuation thermique», dit-il.

Le Centre international de la recherche sur le cancer a observé une augmentation du risque de maladie lorsque les individus et surtout les enfants sont exposés à de grandes quantités d’ondes électromagnétiques.
Les chercheurs commencent tout juste à étudier les effets des ondes dégagées par les téléphones portables utilisés massivement.

http://www.lexpressiondz.com/actualite/162378-%C2%ABvotre-iphone-vous-rend-malade%C2%BB.html

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Téléphonie mobile et tumeurs au cerveau : lien confirmé par la Cour de Cassation d’Italie

Le 18 Octobre 2012, la Cour Suprême de Cassation italienne a confirmé la décision de la Cour d’Appel de BRESCIA, Italie, en référence aux poursuites entamées par M. Innocente Marcolini, cadre supérieur de 60 ans souffrant d’une tumeur au cerveau contractée suite à l’utilisation intense du téléphone cellulaire (mobile et sans fil) au travail – 30 heures par semaine pendant 12 ans.
Les Juges de la Cour Suprême:
1) ont confirmé la validité des références scientifiques citées par le consultant technique de Brescia et par le Pr. Levis, oncologue à l’Université de Padoue et co-fondateur de l’Association italienne pour la prévention contre les nuisances des ondes électromagnétiques A.P.P.L.E.;
2) ont expliqué une fois de plus les raisons des divergences entre les conclusions alarmantes du Groupe Hardell, groupe de scientifiques indépendants, et les études dont les conclusions excluent tout lien entre l’usage du téléphone mobile et la santé, telles l’étude Interphone, ou les études mises en avant par l’IARC, l’ICNIRP, l’OMS, les compagnies internationales et nationales de téléphonie mobile;
3) ont reconnu une fois de plus la présence de conflits d’intérêt dans ces nombreuses études et institutions, et donc de biais créé par des financements provenant d’entreprises, afin de rejeter les résultats des études scientifiques menées dans ces contextes;
4) ont noté le principe général – applicable à toutes les pathologies et leurs causes liées aux conditions de travail – selon laquelle la « certitude raisonnable » du lien de cause à effet peut dans tous les cas être pris en considération.
Ce jugement a rencontré l’opposition des institutions officielles italiennes (Institut National de la Santé de Rome, et le Procureur Général de la République) – oppositions qui furent rejetées lors du procès.
Il établit un précédent pour d’autres cas de tumeurs contractées suite à l’exposition professionnelle, et pourrait ouvrir la voie à la reconnaissance et à l’indemnisation d’une plus large variété de pathologies aiguës résultant de l’exposition aux champs électromagnétiques.
Les technologies concernées:

Les téléphones portables, DECT, GSM, 3G, 4G, WIFI, WIMAX, BLUETOOTH, RFID, compteurs communiquants type LINKY, etc.

L’association nationale Robin des Toits salue le courage et l’indépendance des juges italiens, et celui des scientifiques indépendants de l’association A.P.P.L.E.  –  Ce procès montre les énormes contradictions et prises d’intérêts dans les hautes sphères du pouvoir ; il est urgent que la vérité soit dite au public afin d’enrayer l’épidémie de cancers débutante.
Conséquences :
– Les politiques à tous niveaux sont devant des faits confirmés par la Justice au plus haut rang.
  Des mesures réglementaires de protection de la population, dont les termes sont connus, sont à prendre d’urgence.
– Dans les prises de position publiques, la formule « débat scientifique » est devenue obsolète.
Source : Association italienne A.P.P.L.E
www.applelettrosmog.it
Jugement no. 17438, 3-12.10.12
Etienne CENDRIER

Porte-Parole national


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Tumeur au cerveau et utilisation intensive du mobile sont liées

 

Tumeur au cerveau: il est temps de reconnaître le danger lié à l’utilisation intensive du mobile et de protéger les usagers

 

19 oct 2012

 

La justice italienne vient de reconnaître la tumeur au cerveau d’un ancien salarié comme maladie professionnelle et a condamné l’organisme d’assurance sociale dont il dépend à lui verser une pension d’invalidité. Cet ancien manager utilisait quotidiennement et jusqu’à 6 heures par jour son téléphone mobile dans le cadre de son emploi.Pour Michèle Rivasi, députée européenne EELV et vice-présidente du Criirem (1), il est grand temps de reconnaître les dangers de la téléphonie mobile en France comme ailleurs: « En 2011, les experts du Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) ont conclu que l’usage du portable pouvait être cancérogène pour l’homme. La décision de la cour Suprême italienne conforte également les résultats de l’étude Interphone (2), selon lesquels l’usage intensif du téléphone portable favorise le développement du gliome, un cancer du cerveau ».L’eurodéputée souligne que ce n’est pourtant pas la première fois que la justice reconnaît une tumeur au cerveau comme maladie professionnelle, liée à l’usage intensif du téléphone: « Une class action (recours collectif) aux Etats-Unis a tenté de faire reconnaître fin 2001 la négligence et la responsabilité de l’industrie du téléphone portable pour des cas de tumeurs au cerveau apparus chez des employés de Motorola. Il aura fallu attendre 2006 pour que le système judiciaire américain établisse que la tumeur au cerveau d’une employée – Shareza Price – était une conséquence directe de l’utilisation du téléphone portable », explique Michèle Rivasi.Pour conclure, l’élue écologiste rappelle l’importance de la prévention dans un environnement saturé par les ondes: « Les consommateurs doivent absolument être informés des risques qu’ils encourent lorsqu’ils utilisent un téléphone portable. En Israël, le parlement a récemment voté une loi pour que l’emballage des téléphones portables soit doté d’une mise en garde concernant leur utilisation. De manière plus pratique, il faut tout simplement obliger les opérateurs à fournir une oreillette pour chaque téléphone portable vendu. Enfin, il faut surtout réduire l’exposition générale aux ondes électromagnétiques puisqu’un nombre croissant de nos concitoyens vit un calvaire quotidien du fait de leur électrohypersensibilité ».L’élue rappelle en outre qu’une proposition de loi est en cours de rédaction à l’Assemblée nationale. Le texte, présenté par Laurence Abeille au nom du groupe des écologistes, est relatif à la réduction de l’exposition des personnes aux champs électromagnétiques. Il sera présenté en novembre prochain.

(1) Criirem, Centre de Recherche et d’Information Indépendantes sur les Rayonnements Electromagnétiques

(2) Etude publiée dans l’International Journal of Epidemiology daté du 17 mai 2010.

http://www.michele-rivasi.eu/a-la-une/tumeur-au-cerveau-il-est-temps-de-reconnaitre-le-danger-lie-a-lutilisation-intensive-du-mobile-et-de-proteger-les-usagers/

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Petit topo d’une EHS – comment je suis allée mieux…..

 
Electrosensible depuis toujours, électrohypersensible depuis 2008 et atteinte du SICEM depuis 2010
 
Bonjour, à la demande d’Alain V., je m’attèle à la tâche de vous expliquer par le menu les outils que j’utilise pour aller mieux. Je précise que depuis l’hiver 2010 jusqu’à l’été 2012, j’ai été dans l’impossibilité quasi totale de m’exposer à des micro-ondes pulsées, ainsi qu’à diverses fréquences (hautes et basses). Le diagnostic du Pr Belpomme a été fait en juillet 2011.
Aujourd’hui, je vis dans un endroit relativement préservé des ondes (un seul opérateur de téléphonie passe, pas d’électricité du réseau à proximité). Je peux m’exposer plusieurs jours d’affilée dans des endroits où je ne pouvais plus aller. J’ai dormi deux fois sans cage de Faraday dans des endroits où je ne tenais pas 5 minutes. Le wifi me provoque une simple gêne et je ne sens plus les portables. C’est un retour à la situation d’avant 2010. Par contre, les lampes basse-conso m’affectent beaucoup, ainsi que certains DECT ou ordinateurs si je suis très près.
 
Cependant, je n’ai pas encore essayé de m’aventurer plus de trois ou quatre jours dans le Tout-Micro-Ondes, car je sens que mon corps « mange » ses réserves et que je risque un redéclenchement d’une phase aiguë. En bref, ce qui est reconquis est fragile…
 
Voici ma réflexion sur mon état, partagée par de nombreux électrosensibles avec qui j’ai discuté. L’EHS serait multifactorielle. Au nombre de ces facteurs:
-une prédisposition génétique
– une intoxication à différents toxiques capables de passer la barrière hémato-encéphalique (produits chimiques, métaux lourds…)
-sans doute lié au point précédent : destruction de la flore intestinale et prolifération dans l’organisme de parasites et de bactéries (bactéries anaérobies en tout genre dans l’intestin, lyme, vers, douves…) 
-un épuisement du système immunitaire/émotionnel qui permet le déclenchement de l’hypersensibilité en cas de choc au cours duquel le corps/la personne est submergée
Je pense que ce sont essentiellement les bactéries et les métaux qui réagissent en nous à certaines fréquences. En tout cas, ce sont des éléments sur lesquels on peut agir avec succès. Voilà qui est réconfortant !
 
Voici les aspects sur lesquels je travaille et avec quels outils :
– mise à l’abri le plus possible, vie dans une maison en pierre aux murs épais, peu d’ouvertures, dans une zone le moins polluée possible pour permettre un vrai repos 
– traitement des métaux lourds par chélation (DMPS et DMSA) durant deux ans. ATTENTION, c’est dangereux, je ne recommande pas !! J’ai commencé le traitement en 2009 et je pense que c’est ce qui a accéléré l’EHS. Au vu de mon expérience et de celle de nombreux autres EHS, je pense qu’il faut bannir les traitements chimiques et préférer une détoxication par les voies naturelles, plus longue mais moins traumatisante.
– dépose de tous les métaux en bouche selon un protocole strict pour limiter la ré-intoxication, pareil, je ne recommande pas surtout si on est en phase aiguë d’EHS. Et pose de céramiques. (Ce n’est pas la solution idéale, même si c’est peut-être la meilleure, les dents qui souffraient avant le traitement ne sont pas guéries, notamment les dents mortes dites « dévitalisées ») 
– séances d’ostéopathie régulières pour soulager les symptômes au niveau de la colonne vertébrale (cervicales) et du crâne. Garder une mobilité maximum me semble essentiel. Quand « ça ne circule plus », tout va de mal en pis. 
– séances d’EMDR avec un médecin dûment recensé dans l’annuaire des praticiens, pour assimiler les traumatismes émotionnels et faire baisser le stress (ATTENTION, je ne dis pas que l’EHS est
psychique mais que c’est une pathologie qui induit un stress qu’il faut à tout prix faire baisser. Pour moi, stress physique et psychique ont les mêmes effets et se déclenchent l’un l’autre, d’où l’idée d’agir sur tous les plans à la fois. Il ne s’agit pas du tout de psychothérapie comportementale mais de désensibilisation aux traumatismes subis tout au long de la vie)
– pratique de la méditation et de différents exercices de yoga et de Do In, très efficaces pour atténuer les symptômes et apprendre à surmonter la douleur sans paniquer, voire faire disparaître la sensation d’être « électrifiée » en cas d’exposition : sensation d’apaisement jusqu’au niveau cellulaire, arrête la « vibration » interne désorganisée. Cinq minutes peuvent suffire, une fois qu’on a la pratique. 
– suppression du gluten et de la caséine, ainsi que du maïs et du soja depuis 2009, augmentation significative de toutes sortes de douleurs en cas d’écart du régime. Ces évictions ont fait disparaître les douleurs intestinales notamment
– cuisine dans des récipients sans métaux lourds (inox 18/10, terre cuite brute, verre, bambou, céramique garantie sans nao-particules) 
– supplémentation massive et un peu au pif depuis 2009 en oligo-éléments et vitamines 
– différentes méthodes pour tenter de remettre le système immunitaire en route (enzymes, cures de Clark, jus de grenade fermenté…) pas d’efficacité notable jusqu’à ce que je rencontre Sarah Giet, une toxicologue du groupe suisse STELIOR, qui m’a aidée à mettre en place un protocole de soin qui a l’air de faire ses preuves. Je suis son « traitement » depuis près de six mois et je constate une nette amélioration.
– en cas d’exposition prolongée : papaye fermentée sans additifs + jus de fruits anti-oxydants 
– à la demande, en cas d’exposition prolongée, anti-histaminique de nouvelle génération et garanti sans lactose ni gluten. Celui que je prends s’appelle Alairgix. 
– toujours en cas d’exposition prolongée : manger beaucoup (et beaucoup de gras !!!) dès les premiers symptômes. Dans mon cas, je peux manger 500 g de jambon de pays, par exemple. Si je ne mange pas à temps, les symptômes se déclenchent. Je ne comprends pas trop mais je constate. Quand je suis exposée, je dois manger deux fois plus que chez moi et je ne grossis pas, au contraire.
 
La méthode de Sarah Giet, toxicologue (100 euros de l’heure, consult par téléphone possible) CECI A TITRE INDICATIF, chacun est différent, le protocole peut différer d’une personne à l’autre mais ce sont ici les bases :
– bilans biologiques poussés : vitamines, minéraux, neuro-médiateurs, graisses, état de la flore intestinale, stress oxydatif, allergies alimentaires
– en fonction des résultats : supplémentation en vitamines, minéraux et graisses venant d’un labo qui n’ajoute pas d’excipients (labo suisse Desaturase) (une pleine poignée à chaque repas !) prise régulière de probiotiques et prébiotiques garantis sans lactose (même labo)
– régime d’éviction stricte des aliments qui posent problème : DANS MON CAS (non valable pour d’autres sans avoir fait les analyses) 
NON : viandes rouges, mouton, gluten, maïs, quinoa, produits laitiers, soja, sucre de canne, sucre de betterave, banane, blettes, épinards, miel, roïbos… 
OUI : beaucoup de graisses saturées (graisse de canard, de porc), beaucoup de légumes racines, tout doit être cuit, y compris les fruits. Traitement d’homéopathie sur base de xylitol (sans lactose, sans sucre) qui a pour but de favoriser une bonne flore intestinale.
 
En plus de tout ça, j’ajouterai un élément décisif : faire des projets avec des personnes non- électrosensibles, maintenir un lien avec le monde « des vivants » et entretenir un désir sincère d’y participer à nouveau, d’une manière forcément différente « d’avant », fort(e) de l’expérience de l’exclusion que représente l’électrohypersensibilité. Se battre pour que ce qui nous arrive n’arrive pas à d’autres, se faire entendre, se regrouper, occuper l’espace public comme on peut.
Les personnes que je connais qui vivent l’EHS comme un état définitif ne voient pas d’amélioration de leur condition. Celles qui la vivent comme un passage, une étape dans leur vie, presque une chance de mieux se connaître, se permettent plus facilement d’aller mieux.
Dans mon cas, je peux vous dire que depuis que je peux retourner en ville sans trop souffrir, je regarde le monde avec un détachement encore plus grand qu’avant. Beaucoup de choses me paraissent absurdes. Et sans l’amour de quelques personnes et la reconnaissance de mon travail d’auteure dramatique par différents professionnels et institutions nationales, je n’aurais pas le goût d’ « y retourner ».
 
 Le rejet massif de notre souffrance par la population (y compris les proches, souvent) est tel qu’il peut vite nous faire basculer dans le renoncement ou le cynisme. Dans mon cas, l’amour de la nature et le sentiment d’une unité du monde à travers la méditation sont des outils essentiels pour pardonner sa bêtise à l’humanité et pour tenter de participer à son élévation.
 
J’ai connaissance de deux personnes qui se disent guéries par d’autres méthodes :
– l’une par traitement de la maladie de lyme par le Dr Milbert à Paris (mais cette personne pouvait encore vivre en ville au moment où elle a commencé les soins)
– l’autre par les régimes proposés par Taty Lauwers. Ses bouquins « Les topos de Taty » sont disponibles partout et elle donne des « consultations » par téléphone (70 euros). Cette méthode m’a semblé trop longue et empirique pour moi, mais elle donne parfois des résultats)
 
Voilà. C’est mon expérience. Ce n’est pas terminé, mais je suis sur le chemin. Les méthodes dont je parle ici coûtent cher. J’ai conscience que tout le monde ne peux pas payer ces soins. Je peux essayer d’aider ceux qui voudraient en mettant mon expérience à leur service. Ecrivez à Alain qui fera suivre. Mais ça ne remplacera jamais un médecin. Et surtout votre expérience personnelle. Car à mon avis, comme pour toute atteinte à la santé, notre corps nous dit quelque chose.
Personne d’autre que nous ne sait ce que c’est.
Je vous embrasse
Marine
 
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Appel international des médecins contre les radiations des sans fil

International Doctors´ Appeal 2012 against wireless radiation health hazards.

Over the past decade, the evidence of serious risks has been increasing and accumulating worldwide. As physicians, we observe a clear increase in health symptoms when radio-frequency exposure levels increase with regard to distance and time—especially in the case of heavy cell phone use, and in the vicinity of DECT cordless phones, Wi-Fi, and cell towers

Ten years after the Freiburg Appeal, the Physicians’ Working Group of the Competence Initiative yet again invites all physicians to sign their appeal that calls on governments worldwide to:

  • Protect the inviolability of the home by lowering exposure levels from internal and external sources
  • Stop the expansion of wireless technologies and drastically lower exposure limits
  • Stop the use of continuous wireless transmitters such as cordless phones (DECT), wireless Internet access (Wi-Fi), and wireless meters
  • Switch to shielded wired or fiber-optic technologies in homes, preschools, schools, universities, workplaces, hospitals, nursing homes, and public buildings
  • Ban the use of cell phones by children below the age of 16
  • Attach warning labels on all devices with wireless functions—similar to cigarette packages. Inform the public about the potential risks of wireless technologies and declare radiation on all devices with wireless functions
  • Promote biocompatible communication technologies and electricity use
  • Identify and clearly mark protected zones for electrohypersensitive people; establish public spaces without wireless access or coverage, especially for public transportation, similar to cigarette smoking
  • Provide government funding for industry-independent research that does not dismiss strong scientific and medical indications of potential risks, but rather works to clarify those risks

 

 

For more findings and recommendations and to sign see here:

http://freiburger-appell-2012.info/en/home.php?l

 

 

 

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Et si on vous parlait autrement des effets des ondes sur la santé ?

Ce film présente la cellule vivante sous un nouvel éclairage. Capable de capter et d’émettre des ondes électromagnétiques artificielles et naturelles, elle se comporte comme un véritable circuit électronique. Dans un monde où les ondes sont omniprésentes, ce film va à la rencontre d’experts et de chercheurs qui nous présentent leurs travaux et nous offrent des clefs de compréhension inédites sur les effets des ondes sur le vivant.

De la part de son réalisateur, Serge FRETTO, voir le film gratuitement

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Saint-Cyr-L’Ecole : épidémie de cancers du tronc cérébral

 LE FIGARO

28 janvier 2005

Saint Cyr l’Ecole: Onze cas de cancers pédiatriques recensés depuis l’installation d’un pylône de téléphonie mobile sur le toit d’une école primaire (deux antennes relais).

La recrudescence de cancers pédiatriques observée à Saint-Cyr-l’Ecole (Yvelines) durant les années 90 résulterait d’une simple «variation liée au hasard». C’est la surprenante conclusion qu’ont dévoilée hier les experts dépêchés par le ministère de la Santé, il y a deux ans, au chevetde la commune inquiète.

Un point de vue qui, sitôt rendu public, a été contesté par la municipalité et par certains riverains : ceux-ci sont en effet convaincus que le rôle des pylônes de téléphonie mobile installés, après 1992, sur le territoire municipal n’a pas été étudié d’assez près.

La controverse de Saint-Cyr-l’Ecole a débuté après les décès successifs de deux enfants, en 1996 et 1998. Etrangement frappés par un même type de cancer pourtant rare dans cette classe d’âge – une tumeur du tronc cérébral –, ils avaient pour principal point commun d’être élèves à l’école Bizet. Un bâtiment dont le toit abritait alors deux antennes relais installées, en 1992, par des opérateurs de téléphonie mobile.

Courant 2001, des parents d’élèves du groupe scolaire décident de prendre les choses en main et sondent par questionnaire les familles du quartier. Une démarche payante : sur le millier d’exemplaires distribués, une centaine de réponses évoquent avec une troublante récurrence des symptômes légers – migraine, troubles du sommeil, palpitations… –, tandis que 14 cas plus lourds sont déclarés.

Aussitôt, les riverains demandent la mise hors service des antennes, qu’ils ont depuis lors obtenue. Et peu de temps après, le ministère de la Santé confie à l’Institut national de veille sanitaire (INVS) le soin de tirer l’affaire au clair.

De fait, au cours de leurs investigations, les sept experts ont pour ainsi dire exclu l’«hypothèse antennes relais», pour privilégier la recherche de sources polluantes. Or, après avoir sondé la commune, ainsi qu’une zone élargie de deux kilomètres autour, le Dr Dominique Dejour-Salamanca (Cellule interrégionale d’épidémiologie d’Ile-de-France) assure n’avoir trouvé «ni entreprise classée Seveso, ni sites ou sols pollués, ni incident ou accident actuel ou passé».

En l’état actuel des connaissances, elle ne s’explique donc pas l’apparition dans la ville, entre 1991 et 2001, de onze cancers pédiatriques au total dont cinq tumeurs du tronc cérébral et trois leucémies. «Compte tenu de la rareté de ces maladies et de la faible taille de l’échantillon étudié, l’épidémiologie a du mal à apporter une explication claire à ce problème, détaille Dominique Dejour-Salamanca. En effet, le nombre de cancers observés peut aussi bien résulter d’une cause environnementale à ce jour inconnue que de variations statistiques liées au hasard.»

Une réponse qui, on s’en doute, ne satisfait guère les riverains.

«L’incidence décrite est deux fois supérieure à ce qu’on pourrait attendre dans la population normale – et même quatre fois plus importante si l’on ne retient que les cancers du système nerveux central, relève Anne Balavoine, mère de deux enfants scolarisés à l’école Bizet. Cela est-il dû au hasard ?»

«Quoi qu’il en soit, estime Philippe Lavaud, maire (UMP) de Saint-Cyrl’Ecole, nous avons le sentiment que la gravité du problème n’a pas été convenablement évaluée par l’INVS, qui s’est contenté d’études sporadiques, sans se donner les moyens d’enquêter sur les effets de ces antennes – alors que nous proposions d’apporter notre concours à la recherche de la vérité.»

Cyrille Louis

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Lettre ouverte à Monsieur François Hollande….

Président de la République Française
 
« Urgence d’une protection des personnes hypersensibles aux champs électromagnétiques et prise en charge du Syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques »
 
Le 8 octobre 2012
 
Monsieur le Président de la République,
Je viens par ce courrier vous informer du fait que des milliers de vos concitoyens sont en danger de mort – je pèse mes mots –, et vous implorer de leur venir en aide.
 
M’étant adressée en mon nom propre et en tant que responsable associative à toutes les autorités compétentes sans résultat (Ministère de la Santé, Direction Générale de la Santé, Préfectures, Députés, Sénateurs, Députés Européens, Conseils Régionaux, Conseils Généraux, Municipalités…) je ne vois plus d’autre recours que d’en appeler directement à vous.
 
Monsieur le Président, des milliers de personnes en France sont porteuses d’une hypersensibilité électromagnétique (aussi appelée électrohypersensibilité, EHS). Dans le contexte actuel de développement irraisonné des technologies sans fil, si cette particularité biologique de certains individus n’est pas repérée à temps et si les personne qui en sont porteuses ne peuvent se mettre à l’abri des micro-ondes, elle dégénère en syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques artificiels (SICEM), aussi appelé syndrome des micro-ondes par l’armée depuis les années 60.
Les atteintes à la santé que ce syndrome induit sont sévères. Dysfonctionnements cardiaques, neurologiques, céphalées violentes, désorientation spatiale, diminution des capacités cognitives, pertes de conscience, perte de la mémoire de fixation, développement de maladies psychiatriques, maladies neurodégénératives, cancers… Tout cela est attesté par des tests sanguins et cardiaques et par imagerie cérébrale (protocole du Pr Belpomme par exemple) ainsi que par plusieurs études récentes publiées dans des revues à comité de lecture.
 
Dans des tentatives de survie désespérées, les personnes touchées quittent tout pour se réfugier dans des forêts, des grottes, des fonds de gorges glacials, des caves. En raison de la non-reconnaissance de leur pathologie, on les traite d’hypocondriaques, elles perdent souvent leurs proches, leur travail, leur logement et survivent tant bien que mal complètement désocialisées et sans ressources dans l’isolement le plus complet, quand elles ne succombent pas à une pathologie induite par leur syndrome ou qu’elles ne mettent pas fin à leurs jours.
A l’heure actuelle, et en dépit de toutes les démarches des associations et collectifs (Une terre pour les EHS, collectif des électrosensibles de France, PRIARTEM, Robin des Toits, CRIIREM, Réseau Environnement Santé…), accompagnées par de nombreux élus, des chercheurs de renommée internationale et des médecins, aucune mesure de protection des personnes électrosensibles n’a été prise.
 
Monsieur le Président, il s’agit là de non-assistance à personnes en danger. Il ne fait aucun
doute que l’Etat et ses représentants auront dans l’avenir à rendre des comptes et que l’inaction des pouvoirs publics, si elle se prolonge, apparaîtra bientôt scandaleuse à l’opinion publique.
C’est en connaissance de cause que les représentants de l’Etat laissent se développer des technologies sans fil dont l’immense majorité de la littérature scientifique internationale indépendante montre la toxicité. Ce laisser-faire bafoue le plus élémentaire principe de précaution.
 
Monsieur le Président, savez-vous que de plus en plus d’enfants sont atteints par le syndrome des micro-ondes ? Leurs parents n’ont d’autre recours que de les retirer de l’école. Et c’est enfermés dans des caves qu’ils apprennent à lire, inscrits à des cours par correspondance. (Je peux vous en présenter.) Cette discrimination n’est-elle pas indigne ?
 
Quel avenir la France réserve-t-elle à ces enfants ?
Un avenir qui ressemble à la vie de Corinne ? Après un hiver glacial dans une caravane au fond d’une vallée de montagne encore préservée des ondes, elle avait fini par trouver une maison à l’abri des champs électromagnétiques. A bout de forces, sans ressources, elle a demandé à son frère de l’acquérir. Ce monsieur s’est largement endetté pour rendre la survie de sa sœur possible. Mais voilà qu’après quelques mois, la puissance des antennes-relais a augmenté. Corinne ne parvient plus à vivre dans sa maison, et le seul endroit où elle est à l’abri, c’est un réduit de moins de deux mètres carrés sans lumière logé sous l’escalier. Elle y a installé un tout petit matelas, et c’est là qu’elle passe le plus clair de son temps, éclairée à la bougie.
Un avenir qui ressemble à la vie de Chantal ? Voilà plusieurs années que cette dame survit péniblement dans une chambre blindée, dans l’obscurité totale. Car, sa pathologie n’ayant pas été prise à temps, elle a développé une intolérance aux produits chimiques et à la lumière, en sus de l’intolérance aux champs électromagnétiques.
Un avenir qui ressemble à ma vie ? Alors que je menais une existence épanouie et que mon travail d’auteur dramatique commençait à trouver une certaine reconnaissance, j’ai dû tout quitter du jour au lendemain pour me réfugier dans une roulotte sur un terrain que des amis ont eu la gentillesse de mettre à ma disposition. Un espace vital de huit mètres carrés. J’ai dû vendre mon appartement pour financer ma survie. Aujourd’hui, je suis réfugiée dans la montagne, dans une grange sans électricité et sans téléphone, accessible à pied, où je dois tronçonner moi-même des arbres si je veux me chauffer. (Faut-il préciser que je suis une femme d’un mètre soixante affaiblie par la maladie ?). Je suis loin des gens que j’aime et à la merci d’une augmentation de puissance des antennes-relais du secteur. J’ai dépensé toutes mes économies en soins, non-remboursés évidemment. Et je n’ai plus aucune ressource hormis le RSA, qui ne couvre même pas la moitié du coût de mes soins.
 
Ce ne sont que quelques exemples. Mais à titre indicatif, le professeur Belpomme a déjà diagnostiqué plusieurs centaines de patients. Et, quand nous avons créé l’association Une terre pour les EHS, en quelques semaines, nous avons recueilli plus de six cents adhésions. De plus, il faut bien comprendre que dans leur situation de dénuement extrême et dans l’impossibilité d’accéder aux moyens de communication modernes où elles sont, les personnes électrosensibles ne peuvent pas se faire entendre dans l’espace public.
 
Monsieur le Président, j’en appelle à votre conscience et à votre humanité. Laisser dépérir dans l’indigence et le mépris des milliers de vos concitoyens n’est pas à la hauteur des aspirations d’un pays comme la France. Il me semble que la Constitution de notre pays met fièrement en avant l’égalité de tous et le droit de vivre dignement pour chacun.
Une fois informé, vous ne pouvez que vous indigner d’une situation pareille et prendre des mesures.
 
Pour avoir entendu le témoignage de centaines de personnes et être moi-même atteinte du SICEM, voici les mesures qu’il me semble impératif de prendre immédiatement.
– la première, dont l’urgence est vitale pour les cas désespérés (j’en connais personnellement au moins une dizaine) est la création de zones protégées, garanties sans micro-ondes, où mettre à l’abri ces personnes, en attendant des mesures plus élaborées.
– la deuxième est la reconnaissance du Syndrome d’Intolérance aux Champs Electromagnétiques Artificiels (SICEM), afin que les malades puissent être pris en charge par le système de santé.
– la troisième est la reconnaissance de l’hypersensibilité électromagnétique en tant que handicap fonctionnel, comme c’est le cas en Suède. Je rappelle que la notion de handicap exclut que la cause de la souffrance soit inhérente à la personne (ce n’est pas une maladie) mais bien qu’il s’agit d’un problème social : c’est la société qui n’est pas (ou plus) adaptées à ces personnes ayant une caractéristique particulière non-prise en compte par elle. C’est cette situation qui rend impossible à ces personnes une vie normale et qui les expose à développer le SICEM.
 
En parallèle, il me semble important de réévaluer les seuils de protection de la population générale, qui, selon le Professeur Franz Adlkofer, qui a dirigé l’étude européenne REFLEX, ne sont pas du tout adaptés à la réalité biologique des êtres vivants.
 
Monsieur le Président, vous ne pouvez pas en conscience prolonger la situation dramatique que le gouvernement précédent a laissé s’installer.
Je vous supplie de nous aider. 
Marine Richard
 
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l’ARCEP autorise des tests de super wifi en France !

L’autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP) vient d’autoriser le début des tests du Super Wifi en France.

 Afin de lutter contre ce que l’on appelle les « zones blanches », une zone du territoire qui n’est pas desservie par un réseau donné, soit réseau de téléphonie mobile soit Internet dans le cas qui nous concerne, l’ARCEP vient d’autoriser pour la première fois une société privée à mettre en place une nouvelle technologie dite « super Wifi » sur plusieurs zone du département Charente-Maritime.

Pour information, ce super Wifi permet de transporter sur plusieurs kilomètres, en fait jusqu’à 160 km de distance en théorie, des données personnelles en haut débit qui sont dans un second temps réceptionnées par des puces spéciales ou des box comme sur le modèle des récepteurs de connexions via satellite.

L’ARCEP précise que la société Infosat Télécom avait demandé en mars 2012 l’autorisation temporaire d’utiliser un canal de 8 MHz de la bande UHF (470-790 MHz) afin de réaliser ces tests de couverture et de débit de la technologie « super Wifi« . Le but de cette expérimentation est de desservir en haut débit sans fil plusieurs zones rurales difficiles d’accès dans le département de Seine-Maritime.

WiFi Locator logoCette bande des 470-790 MHz étant utilisée pour la radiodiffusion, l’Arcep avait toutefois consulté au préalable le Conseil supérieur de l’audiovisuel qui a donc « répondu favorablement » à cette demande. Seule garantie exigée, que cette expérience n’engendre pas de brouillage de la TNT.

Espérons juste que ce Super Wifi connaisse un plus grand succès que l’arlésienne du WiMAX (pour Worldwide Interoperability for Microwave Access) qui n’a jamais encore réussi à s’imposer en France.

Commentaire :

Encore une saleté hyper toxique pour notre santé qui a été autorisée…alors que l’OMS a classé ces ondes comme cancérigène !!!!!!!!!!!!!!! le trou de la sécurité sociale n’est pas prêt de se refermer………….

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