Archive pour octobre 2012
Du poison dans votre smartphone…
DES MÉDECINS ET DES CHERCHEURS AVERTISSENT
«Votre Iphone vous rend malade»
Du poison dans mon smartphone. C’est la conclusion à laquelle sont parvenus des chercheurs américains.
Quand nous utilisons nos téléphones mobiles, nous nous collons au visage un concentré de poisons: plomb, brome, chlore, mercure, cadmium. «Chaque téléphone testé contient au moins un de ces produits toxiques dangereux», constatent les chercheurs de l’Ecologie Centre aux Etats-Unis. Pourtant, les ventes de smartphones explosent et les entreprises se l’arrachent. Ce que 90% des utilisateurs ignorent, est que des risques sanitaires se cachent derrière ce bijou de technologie.
Cette organisation écologiste américaine a publié début octobre, les résultats d’une vaste étude de toxicologie menée sur 36 modèles de téléphones portables mis sur le marché depuis cinq ans par dix constructeurs. Un mobile peut renfermer jusqu’à 40 éléments contenant des métaux lourds et des polluants organiques persistants. Munis de pinces, de ciseaux et de tournevis, les chercheurs de l’Ecology Centre ont intégralement démonté les appareils pour soumettre tous leurs composants, processeurs, circuits imprimés, écrans, touches, batteries, à une analyse par fluorescence de rayons X. Plus de mille échantillons ont été passés au crible à la recherche de 35 éléments ou substances chimiques.
Selon le directeur de recherches à l’Ecology Center, Jeff Gearhart, «la conclusion est que les téléphones mobiles sont toxiques et pleins de produits chimiques à risque» en ajoutant que «même les meilleurs téléphones sont porteurs d’un danger chimique». L’étude tient quant même à rassurer en indiquant que les fabricants tentent de réduire la toxicité de ces composants. Certaines marques tirent leur épingle du jeu. Le trio de tête est formé par Motorola Citrus, l’iPhone 4S d’Apple et le LG Remarq.
L’iPhone 5, dernier-né de la marque à la pomme, est cinquième, tandis que son grand rival, le Samsung Galaxy S III, est en 9e position. Apple enregistre ainsi un net progrès de génération en génération: l’iPhone 2G, premier de la série apparu en 2007, est de loin le plus toxique des 36 modèles, d’après cette étude.
«Les préoccupations des consommateurs amènent les fabricants à dessiner et proposer des produits plus sains», estime Gearhart, qui se complimente aussi du renforcement des réglementations et des vérifications, notamment en Europe et en Asie. L’Afrique est absente de cette étude. Mais ces substances peuvent entraîner des pollutions à chaque étape du cycle de vie du téléphone. Leur extraction suscite des dégradations de l’environnement, parfois des conflits.
Les employés des constructeurs sont exposés aux poisons lors du processus de fabrication. Les éléments polluants des téléphones se retrouvent encore trop souvent dans l’air, les sols et les nappes phréatiques. Une grande partie des téléphones usagés finit dans des décharges ou est exportée vers des sites de recyclage informels en Asie.
L’Ecology Center appelle à un meilleur encadrement national et international de la gestion des déchets électroniques.«Ces produits chimiques, qui entraînent des malformations congénitales, des difficultés d’apprentissage et d’autres graves problèmes de santé, ont été retrouvés dans le sol à des niveaux dix à cent fois supérieurs à la normale sur des sites de recyclage en Chine», rappelle Jeff Gearhart.
Un médecin algérien spécialiste en neurologie livre son verdict. Selon lui, «des études contradictoires se multiplient pour démontrer les dangers des téléphones portables». Il énumère les désagréments causés aux usagers. Il cite les maux de tête, les troubles auditifs, les picotements de la peau, les clignements oculaires, la perte de mémoire, les troubles de la concentration et les bourdonnements d’oreille. «Il est possible, à terme, que l’ADN cellulaire soit lésé, ce qui provoquerait des tumeurs cancéreuses», ajoute-t-il. «Parmi les dangers liés à l’utilisation de la technologie des ondes radio, deux paraîtraient avoir une incidence directe sur notre cerveau. Les effets thermiques sont les plus palpables», selon le spécialiste.
«L’utilisation continue d’un mobile pendant 20 minutes fait augmenter de 1° Celsius la température des tissus en contact. C’est alors le cortex, la partie la plus sensible du cerveau se trouvant à proximité de l’oreille, qui subit cette fluctuation thermique», dit-il.
Le Centre international de la recherche sur le cancer a observé une augmentation du risque de maladie lorsque les individus et surtout les enfants sont exposés à de grandes quantités d’ondes électromagnétiques.
Les chercheurs commencent tout juste à étudier les effets des ondes dégagées par les téléphones portables utilisés massivement.
http://www.lexpressiondz.com/actualite/162378-%C2%ABvotre-iphone-vous-rend-malade%C2%BB.html
Téléphonie mobile et tumeurs au cerveau : lien confirmé par la Cour de Cassation d’Italie
Les téléphones portables, DECT, GSM, 3G, 4G, WIFI, WIMAX, BLUETOOTH, RFID, compteurs communiquants type LINKY, etc.
Porte-Parole national

Tumeur au cerveau et utilisation intensive du mobile sont liées
Tumeur au cerveau: il est temps de reconnaître le danger lié à l’utilisation intensive du mobile et de protéger les usagers
19 oct 2012
(1) Criirem, Centre de Recherche et d’Information Indépendantes sur les Rayonnements Electromagnétiques
(2) Etude publiée dans l’International Journal of Epidemiology daté du 17 mai 2010.
http://www.michele-rivasi.eu/a-la-une/tumeur-au-cerveau-il-est-temps-de-reconnaitre-le-danger-lie-a-lutilisation-intensive-du-mobile-et-de-proteger-les-usagers/

Petit topo d’une EHS – comment je suis allée mieux…..

Appel international des médecins contre les radiations des sans fil
International Doctors´ Appeal 2012 against wireless radiation health hazards.
Over the past decade, the evidence of serious risks has been increasing and accumulating worldwide. As physicians, we observe a clear increase in health symptoms when radio-frequency exposure levels increase with regard to distance and time—especially in the case of heavy cell phone use, and in the vicinity of DECT cordless phones, Wi-Fi, and cell towers
Ten years after the Freiburg Appeal, the Physicians’ Working Group of the Competence Initiative yet again invites all physicians to sign their appeal that calls on governments worldwide to:
- Protect the inviolability of the home by lowering exposure levels from internal and external sources
- Stop the expansion of wireless technologies and drastically lower exposure limits
- Stop the use of continuous wireless transmitters such as cordless phones (DECT), wireless Internet access (Wi-Fi), and wireless meters
- Switch to shielded wired or fiber-optic technologies in homes, preschools, schools, universities, workplaces, hospitals, nursing homes, and public buildings
- Ban the use of cell phones by children below the age of 16
- Attach warning labels on all devices with wireless functions—similar to cigarette packages. Inform the public about the potential risks of wireless technologies and declare radiation on all devices with wireless functions
- Promote biocompatible communication technologies and electricity use
- Identify and clearly mark protected zones for electrohypersensitive people; establish public spaces without wireless access or coverage, especially for public transportation, similar to cigarette smoking
- Provide government funding for industry-independent research that does not dismiss strong scientific and medical indications of potential risks, but rather works to clarify those risks
For more findings and recommendations and to sign see here:
http://freiburger-appell-2012.info/en/home.php?l
Et si on vous parlait autrement des effets des ondes sur la santé ?
Ce film présente la cellule vivante sous un nouvel éclairage. Capable de capter et d’émettre des ondes électromagnétiques artificielles et naturelles, elle se comporte comme un véritable circuit électronique. Dans un monde où les ondes sont omniprésentes, ce film va à la rencontre d’experts et de chercheurs qui nous présentent leurs travaux et nous offrent des clefs de compréhension inédites sur les effets des ondes sur le vivant.
De la part de son réalisateur, Serge FRETTO, voir le film gratuitement

Saint-Cyr-L’Ecole : épidémie de cancers du tronc cérébral
LE FIGARO
28 janvier 2005
Saint Cyr l’Ecole: Onze cas de cancers pédiatriques recensés depuis l’installation d’un pylône de téléphonie mobile sur le toit d’une école primaire (deux antennes relais).
La recrudescence de cancers pédiatriques observée à Saint-Cyr-l’Ecole (Yvelines) durant les années 90 résulterait d’une simple «variation liée au hasard». C’est la surprenante conclusion qu’ont dévoilée hier les experts dépêchés par le ministère de la Santé, il y a deux ans, au chevetde la commune inquiète.
Un point de vue qui, sitôt rendu public, a été contesté par la municipalité et par certains riverains : ceux-ci sont en effet convaincus que le rôle des pylônes de téléphonie mobile installés, après 1992, sur le territoire municipal n’a pas été étudié d’assez près.
La controverse de Saint-Cyr-l’Ecole a débuté après les décès successifs de deux enfants, en 1996 et 1998. Etrangement frappés par un même type de cancer pourtant rare dans cette classe d’âge – une tumeur du tronc cérébral –, ils avaient pour principal point commun d’être élèves à l’école Bizet. Un bâtiment dont le toit abritait alors deux antennes relais installées, en 1992, par des opérateurs de téléphonie mobile.
Courant 2001, des parents d’élèves du groupe scolaire décident de prendre les choses en main et sondent par questionnaire les familles du quartier. Une démarche payante : sur le millier d’exemplaires distribués, une centaine de réponses évoquent avec une troublante récurrence des symptômes légers – migraine, troubles du sommeil, palpitations… –, tandis que 14 cas plus lourds sont déclarés.
Aussitôt, les riverains demandent la mise hors service des antennes, qu’ils ont depuis lors obtenue. Et peu de temps après, le ministère de la Santé confie à l’Institut national de veille sanitaire (INVS) le soin de tirer l’affaire au clair.
De fait, au cours de leurs investigations, les sept experts ont pour ainsi dire exclu l’«hypothèse antennes relais», pour privilégier la recherche de sources polluantes. Or, après avoir sondé la commune, ainsi qu’une zone élargie de deux kilomètres autour, le Dr Dominique Dejour-Salamanca (Cellule interrégionale d’épidémiologie d’Ile-de-France) assure n’avoir trouvé «ni entreprise classée Seveso, ni sites ou sols pollués, ni incident ou accident actuel ou passé».
En l’état actuel des connaissances, elle ne s’explique donc pas l’apparition dans la ville, entre 1991 et 2001, de onze cancers pédiatriques au total dont cinq tumeurs du tronc cérébral et trois leucémies. «Compte tenu de la rareté de ces maladies et de la faible taille de l’échantillon étudié, l’épidémiologie a du mal à apporter une explication claire à ce problème, détaille Dominique Dejour-Salamanca. En effet, le nombre de cancers observés peut aussi bien résulter d’une cause environnementale à ce jour inconnue que de variations statistiques liées au hasard.»
Une réponse qui, on s’en doute, ne satisfait guère les riverains.
«L’incidence décrite est deux fois supérieure à ce qu’on pourrait attendre dans la population normale – et même quatre fois plus importante si l’on ne retient que les cancers du système nerveux central, relève Anne Balavoine, mère de deux enfants scolarisés à l’école Bizet. Cela est-il dû au hasard ?»
«Quoi qu’il en soit, estime Philippe Lavaud, maire (UMP) de Saint-Cyrl’Ecole, nous avons le sentiment que la gravité du problème n’a pas été convenablement évaluée par l’INVS, qui s’est contenté d’études sporadiques, sans se donner les moyens d’enquêter sur les effets de ces antennes – alors que nous proposions d’apporter notre concours à la recherche de la vérité.»
Cyrille Louis

Lettre ouverte à Monsieur François Hollande….
Président de la République Française
« Urgence d’une protection des personnes hypersensibles aux champs électromagnétiques et prise en charge du Syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques »

l’ARCEP autorise des tests de super wifi en France !
L’autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP) vient d’autoriser le début des tests du Super Wifi en France.
Afin de lutter contre ce que l’on appelle les « zones blanches », une zone du territoire qui n’est pas desservie par un réseau donné, soit réseau de téléphonie mobile soit Internet dans le cas qui nous concerne, l’ARCEP vient d’autoriser pour la première fois une société privée à mettre en place une nouvelle technologie dite « super Wifi » sur plusieurs zone du département Charente-Maritime.
Pour information, ce super Wifi permet de transporter sur plusieurs kilomètres, en fait jusqu’à 160 km de distance en théorie, des données personnelles en haut débit qui sont dans un second temps réceptionnées par des puces spéciales ou des box comme sur le modèle des récepteurs de connexions via satellite.
L’ARCEP précise que la société Infosat Télécom avait demandé en mars 2012 l’autorisation temporaire d’utiliser un canal de 8 MHz de la bande UHF (470-790 MHz) afin de réaliser ces tests de couverture et de débit de la technologie « super Wifi« . Le but de cette expérimentation est de desservir en haut débit sans fil plusieurs zones rurales difficiles d’accès dans le département de Seine-Maritime.
Cette bande des 470-790 MHz étant utilisée pour la radiodiffusion, l’Arcep avait toutefois consulté au préalable le Conseil supérieur de l’audiovisuel qui a donc « répondu favorablement » à cette demande. Seule garantie exigée, que cette expérience n’engendre pas de brouillage de la TNT.
Espérons juste que ce Super Wifi connaisse un plus grand succès que l’arlésienne du WiMAX (pour Worldwide Interoperability for Microwave Access) qui n’a jamais encore réussi à s’imposer en France.
Commentaire :
Encore une saleté hyper toxique pour notre santé qui a été autorisée…alors que l’OMS a classé ces ondes comme cancérigène !!!!!!!!!!!!!!! le trou de la sécurité sociale n’est pas prêt de se refermer………….