Témoignages vidéos d’EHS

WIFI

Toronto dit non au wifi dans ses parcs publics

Claudine Hébert . les affaires.com . 13-12-2013

Si le nouveau maire Coderre espère offrir le wifi gratuit partout dans les parcs et aires publics de Montréal, la ville de Toronto ne partage pas du tout le même avis.

 

Le comité de gestion de la ville Reine, formé de six conseillers, a décidé de reporter indéfiniment la demande de leur confrère Josh Matlow qui proposait une couverture WiFi dans les parcs et aires publics de Toronto. Cette décision, basée sur des raisons de santé publique, a été prise lors d’une rencontre le 21 novembre dernier.

 

Remarquez, ce ne sont pas que les recommandations des docteurs, des scientifiques et des citoyens qui ont convaincu le comité de différer cette demande aux calendes grecques. Les arguments de l’ex-président de Microsoft Canada de 2001 à 2005, Frank Clegg, ont aussi pesé dans la balance.

 

«Au cours de ma carrière, j’ai vu d’incroyables bénéfices provenant des technologies. Mais j’ai vu également des comportements non sécuritaires liés à ces dernières. D’intégrer le WiFi dans les parcs et les aires publiques exposerait inutilement les femmes enceintes, les enfants, les personnes âgées et toutes les autres personnes électro-sensibles. Ce qui n’est pas un usage sécuritaire de la technologie », soutient M. Clegg, aujourd’hui président et directeur général de l’organisation Canadians for Safe Technology (C4ST).

 

Coalition sans but lucratif, le C4ST a pour mission d’éduquer et d’informer les Canadiens et leurs responsables politiques sur les dangers de l’exposition à des niveaux dangereux de radiation de la technologie.

 

La ville de Toronto, poursuit M. Clegg, a choisi d’appliquer le principe de précaution en s’assurant que le niveau d’exposition des Torontois aux champs de radiofréquences électromagnétiques n’excède pas le 1%, décrété par le code de sécurité 6. Ce code, qui date des années 1980 par Santé Canada, est d’établir les règles de sécurité régissant l’installation et l’utilisation des dispositifs à radiofréquences (RF) et à micro-ondes qui fonctionnent sur une gamme de fréquences de 3 kHz à 300 GHz. Actuellement, la population de Toronto est exposée à des niveaux de smog électromagnétique urbain parmi les plus élevés au pays.

 

« Ce code 6 est considéré comme désuet et sous l’influence des entreprises des télécommunications. Il a été instauré suite à des tests portés sur un mannequin de 220 livres exposé à des ondes pendant 6 minutes. Ce code est actuellement en révision par un panel d’experts », souligne Frank Clegg.

 

À la suite de la décision du comité de gestion de Toronto, l’une des membres, la conseillère Mary Fragedakis, a plutôt suggéré d’installer le wifi gratuit dans les bibliothèques et les logements sociaux de la ville.

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Le Wi-Fi tuerait les arbres…

Ajout de blogue par Nicolas Mainville

Une étude nous provenant de l’Université de Wageningen aux Pays-Bas, publiée à l’automne dernier, montre que les feuilles d’arbres exposées aux radiations des antennes d’internet sans-fil (fréquence entre 2412 à 2472 MHz) développeraient après quelques semaines d’exposition des lésions menant à la mort des feuilles. Ces mêmes radiations entraineraient aussi un ralentissement de la croissance des épis de maïs.

Cette étude, commandée par la ville de Alphen aan den Rijn, montre que 70% des arbres en milieu urbain développent de telles lésions alors que cette proportion n’était que de 10% il y a 5 ans. Les arbres en zone forestière hollandaise ne montreraient aucun de ces symptômes. C’est là des proportions surprenantes qui laissent croire que la multiplication des antennes Wi-Fi ne serait pas aussi bénigne que l’industrie des télécommunications aimerait prétendre. Alarmée par le dépérissement de la santé des arbres de la ville, la municipalité avait mandaté les chercheurs de l’Université de Wageningen d’élucider l’affaire.

Réactions prévisibles

Alors que cette étude n’a pas encore été publiée dans une revue scientifique, déjà les instances de santé publique et les lobbys des communications se précipitent pour discréditer les conclusions de l’étude. Voilà une réaction prévisible d’une industrie qui dépend de cette technologie sur plusieurs plans.

La sortie de ce rapport alimente d’autant plus le débat entourant les impacts des ondes sur les organismes vivants, que ce soit les plantes, les abeilles ou les humains. Qui croire? Les lobbys industriels ou les études indépendantes? Je vous laisse choisir!

L’étude en question (en néerlandais): http://www.wageningenuniversity.nl/NL/nieuwsagenda/nieuws/Bomen101120.htm

Articles traitant de la question:

http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-1332310/Is-Wi-Fi-killing-trees-Dutch-study-shows-leaves-dying-exposure-Wi-Fi-radiation.html

http://readwriteweb.com/cloud/2010/11/study-wi-fi-is-making-our-tree.php

source : http://www.greenpeace.org/canada/fr/Blog/le-wi-fi-tuerait-les-arbres/blog/33569/

 

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WIFI dans les écoles : c’est dangereux

Académie Américaine de Médecine Environnementale

lundi 15 avril 2013

Selon l’Académie américaine de médecine environnementale, les réseaux wifi dans les écoles – des centaines de fois plus puissants que les systèmes domestiques – sont nocifs pour la santé des enfants.

L’Académie Américaine de Médecine Environnementale est composée de médecins, d’ostéopathes et de chercheurs Docteurs en Médecine qui s’intéressent aux effets des agents environnementaux sur la santé humaine. Depuis quarante ans, l’Académie forme des médecins à traiter ce qu’il y a de plus difficile, à guérir des patients ignorés de notre système médical parce que la cause de leur maladie est un produit chimique, un solvant, ou un métal toxique, pas une bactérie, un virus ou une autre cause traditionnellement connue.
Ces dernières années, nos membres et collègues ont signalé une augmentation des patients dont les symptômes sont réversibles lorsque l’on élimine de leur habitat des appareils radiatifs sans fil comme les téléphones portables, les téléphones fixes sans fil et les systèmes internet sans fil.
Il existe de nouvelles études scientifiques cohérentes, qui montrent que les gens, en particulier les enfants, sont affectés par l’exposition croissante aux radiations sans fil. En septembre 2010, le Journal de la Société Américaine de Médecine de la Reproduction – Fertilité et Stérilité a rapporté que quatre heures seulement d’exposition à un ordinateur portable connecté par wifi endommageaient l’ADN du sperme humain.
En mai 2011, l’Organisation Mondiale de la Santé a ajouté l’exposition au rayonnement sans fil, wifi incluse, à la liste de la classe 2b des carcinogènes.
En octobre 2012, l’Académie Américaine de Médecine Environnementale a lancé une alerte publique sur la Wifi dans les écoles qui disait :
« Des effets nocifs sur la santé causés par les champs de radiofréquences sans fil, tels que difficultés d’apprentissage, défenses immunitaires affaiblies, et maux de tête, existent clairement et sont bien documentés dans la littérature scientifique. Une technologie plus sûre, comme l’utilisation de connexions filaires, est fortement recommandée dans les écoles. »
En décembre 2012, l’Académie Américaine de Pédiatrie – qui représente 60 000 pédiatres – a écrit au Congrès pour lui demander de réviser les normes de sécurité concernant les radiations micro-ondes, surtout pour les enfants et les femmes enceintes.
Les systèmes wifi des écoles sont par définition des centaines de fois plus puissants que les systèmes domestiques qui peuvent vous être familiers. Ils sont aussi des douzaines de fois plus puissants que les systèmes des cafés et restaurants auxquels vous pouvez avoir été exposés…
Les systèmes wifi des écoles sont obligatoirement plus puissants que n’importe quel système de communication micro-ondes de n’importe quel autre ensemble, car ils sont configurés pour faire fonctionner des centaines d’ordinateurs simultanément.
Ils imposent également aux enfants – les plus vulnérables aux radiations micro-ondes – de longues périodes d’exposition toute la journée, durant toute leur enfance. C’est une exposition sans précédent, avec des conséquences inconnues sur la santé et le potentiel reproducteur d’une génération.
Installer ce système à Los Angeles c’est prendre le risque de répandre largement un problème de santé publique auquel le système médical n’est pas encore préparé à répondre.
En octobre 2013, l’Académie Américaine de Médecine Environnementale organise une conférence médicale internationale à Phénix dans l’Arizona pour apprendre aux médecins à identifier des patients dont les symptômes peuvent disparaître si l’on élimine les expositions à la wifi, aux téléphones portables et à d’autres formes de radiations sans fil dans la maison.
Il n’est pas probable qu’il existe actuellement dans le Comté de Los Angeles suffisamment de médecins qui connaissent les effets biologiques des radiations micro-ondes pour diagnostiquer et traiter les nombreux enfants susceptibles de présenter les symptômes de l’exposition à votre système sans fil si vous décidiez d’en installer un.
Les statistiques montrent que vous pouvez vous attendre à une réaction immédiate chez 3% de vos élèves, et des réactions plus tardives chez 30% d’entre eux. Ceci concerne également les enseignants.
L’Académie Américaine de Médecine Environnementale suggère fortement que vous n’ajoutiez pas au fardeau de la santé publique en installant une couverture de connexion internet sans fil dans les écoles de Los Angeles. Les connexions filaires ne sont pas seulement plus saines, elles sont plus puissantes et plus sûres.
Des enfants que la loi oblige à fréquenter l’école requièrent également un niveau de protection plus élevé que la population générale.

 

Des promoteurs technologiques peuvent vous dire que la science n’est pas encore certaine des effets de la wifi sur la santé. Cette incertitude n’est pas une raison pour soumettre une génération d’enfants à une exposition aussi extrême. C’est plutôt la raison sur laquelle doit se fonder la prévention d’un désastre potentiel de santé publique.
Tandis que les équipes de techniciens et de vendeurs mettent en doute la réalité des dangers présentés par les antennes, les téléphones mobiles, la wifi et d’autres formes de radiations sans fil, ce sont les médecins qui doivent gérer leurs conséquences.
Jusqu’à ce que nous, médecins, puissions déterminer pourquoi la wifi et autres communications micro-ondes provoquent des maladies invalidantes chez certains de nos patients et pas chez d’autres, nous vous supplions de ne pas prendre un tel risque connu avec la santé de tant d’enfants qui vous ont fait confiance pour les préserver de tout danger au sein de l’école.

Source : Association romande alerte
http://www.reporterre.net/spip.php?article4099

 

 

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Tout savoir sur le WIFI…

L’Agence Européenne de l’Environnement, le Parlement Européen et de nombreux médecins dans le monde ont décrit le Wi-fi comme une technologie toxique.

Le Conseil de l’Europe, lui, préconise l’abandon du Wi-fi dans les écoles et recommande la baisse des seuils d’exposition des antennes-relais de téléphonie mobile depuis 2011.

En effet, les ondes du Wi-fi (mais également du portable, du sans-fil DECT et du Bluetooth) sont totalement différentes des ondes radio et télévision hertziennes car ce sont des micro-ondes pulsées en basses fréquences. Le Wi-fi émet sur une porteuse micro-onde de 2,45 Ghz (fréquence d’agitation des molécules d’eau utilisée dans les
fours micro-ondes) une grande densité de fréquences extrêmement basses (texte, voix, image, vidéo), qui sont “pulsées par saccades”, en faisant une technologie incompatible avec la santé, même à 0,1V/m !

Car c’est la nature du signal qui est toxique et non l’intensité du Wi-fi, qui même à très faible puissance, désorganise les processus physiologiques et détruit des structures biochimiques, entraînant la perte d’étanchéité de la barrière hémato-encéphalique, une baisse de production de la mélatonine et d’acétylcholine (sommeil, mémoire, concentration…) et des dommages génétiques irréversibles.

Il a également été prouvé que l’effet biologique de ces émissions composites est une production de protéines de stress avec résonance sur les ondes Delta du cerveau.
Plusieurs études EN DOUBLE AVEUGLE ont décrit l’EHS comme un trouble neurologique sans lien avec le psychisme. Plusieurs études portent même sur les animaux (cigognes, bovins, grenouilles…) et la flore . Les symptômes sont l’insomnie, les maux de tête, la perte de concentration et de mémoire, les troubles cardiaques et de l’humeur.

Le syndrome l’électro-hypersensibilité (EHS) pouvant occasionner un mal être physique sur 2 à 10% des individus, le Conseil de l’Europe, le Parlement Européen, l’OMS et plusieurs Etats aux U.S.A ont décrit l’EHS comme un trouble physiologique et non psychologique. L’OMS, en 2011, a même classé ces ondes en “cancérogène possible” (2B).

Il existe aujourd’hui de nombreux travaux scientifiques qui démontrent que ce type d’onde peut occasionner le cancer (cerveau, thyroïde, glande parotide …)

Les militaires appellent ces effets sanitaires le “syndrome des microondes”, depuis les années 60 !

Fin 2009 en Italie, un jugement de Cour d’Appel a finalement établi un lien de causalité entre téléphone mobile et cancer mais il faudra sans doute bientôt, comme à l’époque du tabac et de l’amiante, remettre en question une technologie que l’on disait jusqu’alors inoffensive…

L’amiante a, en effet, cessé d’être couverte par les assurances américaines dès 1919. Les ondes de la téléphonie mobile et du Wi-fi depuis le début des années 2000 ! Les informations réelles sont parfois étouffées par une version officielle fournissant des expertises biaisées. On lit , cependant, dans des polices courantes de compagnies
d’assurance que font partie des exclusions générales :

– les dommages amiante,
– les dommages plomb,
– les dommages champs et ondes électromagnétiques,
– les dommages OGM.

On entend, malgré cela, dire que si c’était si dangereux ça se saurait et qu’il n’est pas possible qu’une technologie autant utilisée puisse continuer d’exister en occasionnant tous ces dommages… C’est ignorer qu’en Angleterre, en Allemagne et en Autriche, le Wi-fi a été interdit dans les écoles et que le gouvernement allemand recommande
depuis 2007 d’éviter le Wi-fi pour raisons sanitaires.

On entend, enfin, dire que si le Wi-fi provoquait le cancer, il y aurait déjà des millions de cas vu qu’il a pénétré le monde entier depuis 2005. C’est ignorer que de nombreux cas existent déjà et qu’il faut au moins 20 ans entre le début d’une exposition et le développement d’un cancer…

Ainsi, en attendant la reconnaissance officielle de sa toxicité, nous vous recommandons de désactiver le Wi-fi (activé par défaut sur les Box internet ) et d’utiliser un câble de connexion filaire. On comprend que dans un contexte de déni, vous ne serez pas encouragés à arrêter votre Wi-fi, si pratique et si moderne, surtout si vous ne “sentez rien” et avez l’impression de “revenir en arrière”. Mais souvenez-vous que c’est souvent après coup que la vérité éclate.

Nous vous encourageons à prendre cette responsabilité sans attendre, pour vous, vos proches et vos enfants. Notez que sur le plan technique, une connexion filaire est plus stable, plus rapide et moins accessible aux pirates.

Vous trouverez ici les conseils pour remplacer votre Wi-fi par une connexion filaire, y compris entre deux étages :
http://www.robindestoits.org/_a227.html




Ondes et Rayonnements :

-> http://www.robindestoits.org/
-> http://www.lesretombesduprogres.com/

-> http://www.robindestoits.org/Comment-desactiver-le-wifi_a227.html

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Les écologistes mettent en garde contre les dangers du Wifi

Por María Elena Bucheli

Según afirman varios expertos y estudios, una exposición prolongada a las radiaciones que emite el wifi tiene efectos nocivos en la salud. Los ecologistas franceses presentaron este jueves 31 de enero un proyecto de ley en el Parlamento que busca prevenir los riesgos del wifi.

Entrevistado: André Bonnin, responsable de Electro Híper Sensibilidad en la asociación francesa Robin des toits (Robin de los techos).

http://www.espanol.rfi.fr/ciencia/20130201-francia-ecologistas-advierten-sobre-el-peligro-del-wifi

 

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la LI-FI pourrait remplacer le WIFI

La Li-fi (Light Fidelity) est une nouvelle technologie qui permet de recevoir des images, des vidéos ou de la musique, sans connexion internet mais grâce à de la lumière.
Une télévision diffuse des images sans le son. En-dessous, une petite ampoule rouge éclaire une zone délimitée. Placée sous la lampe, une enceinte dotée d’un capteur se met à diffuser la bande-annonce du programme comme par magie. Si on la retire, le son s’arrête.
Sur le stand de France Télévisions installé à la conférence LeWeb 2012 – organisée près de Paris jusqu’au jeudi 6 décembre et centrée cette année sur le thème des objets connectés – une autre lampe diffuse un film en éclairant un écran. En plaçant la main entre la lumière et le capteur, l’image se coupe.

Du morse à haute fréquence

« On fait du morse à très haute fréquence. Quand c’est allumé c’est un 1, éteint un 0. Et comme le numérique c’est des 0 et des 1, on peut transmettre du son, de l’image et internet« , explique Suat Topsu, chercheur à l’université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines et fondateur de la start-up Oledcomm.

« Ca s’allume et ça s’éteint un million de fois par seconde pour le son, dix millions pour l’image et 100 millions pour internet. L’oeil est incapable de le voir, le capteur, qui le transforme en données personnelles numériques, oui« , poursuit celui qui travaille sur cette innovation depuis quatre ans.

La technologie « Li-Fi » (pour Light Fidelity), basée sur la modulation d’intensité lumineuse, fonctionne uniquement avec les ampoules à diodes électroluminescentes (LED).

Beaucoup moins voraces en énergie que les ampoules à incandescence classiques, les ampoules LED se généralisent. Depuis septembre, les lampes à incandescence classiques sont notamment interdites dans l’Union européenne.

La SNCF en phase de test

Selon Suat Topsu, la SNCF est déjà en phase de test avancée pour que chaque « unité d’éclairage » envoie aux voyageurs des coordonnées personnelles de localisation GPS et du son à l’intérieur des gares, où les ondes des satellites n’arrivent pas.

Un musée parisien se penche actuellement sur la possibilité d’associer l’éclairage des tableaux à des informations envoyées au public sur des tablettes et des smartphones dont l’objectif de la caméra servirait de capteur.

Une lampe qui diffuse de la musique

En 2013, Oledcomm entend commercialiser une lampe diffusant de la musique avant de viser, en 2014, la transmission d’internet via le réseau d’éclairage.

« Le potentiel de transport de données personnelles est sans précédant par rapport au wi-fi« , s’enthousiasme le chercheur qui évoque des bandes passantes « saturées » et donc « plus chères« .

Pour lui, pas besoin, dans un premier temps, de payer des droits de passage des Dionées au régulateur français des télécommunication (Arcep) « puisque ça passe par la lumière« .

Autre avantage, l’absence d’ondes électromagnétiques, comme dans le cas du wi-fi, dont certains dénoncent la nocivité. Un équipement susceptible, donc, d’intéresser les compagnies aériennes et les hôpitaux.

Bientôt un usage généralisé du Li-Fi ?

Développé en France par Oledcomm, le « Li-Fi » est également l’objet de recherches dans des laboratoires au Japon et aux Etats-Unis, notamment.

Afin de permettre le développement d’un maximum d’applications, ce système de transmission et d’émission de données personnelles numériques a été standardisé au niveau international sous la norme IEEE 802, conclut Suat Topsu qui espère que cela permettra de généraliser l’usage du Li-Fi.

avec AFP pour LEntreprise.com, publié le

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WIFI – pourquoi faut-il le couper ?

Le Conseil de l’Europe préconise l’abandon du Wi-fi dans les écoles et recommande la baisse des seuils d’exposition aux antennes-relais de téléphonie mobile depuis 2011. L’Agence Européenne de l’Environnement, le Parlement Européen et de nombreux médecins dans le monde ont également décrit le Wi-fi comme une technologie néfaste.

En effet, les ondes de la téléphonie mobile ou du Wi-fi (mais également du sans fil DECT et du Bluetooth) sont différentes des ondes radio et télévision hertziennes car il s’agit de micro-ondes pulsées en extrêmement bassesfréquences. Ainsi, le Wi-fi émet sur une porteuse micro-onde de 2,4 Ghz minimum (fréquence d’agitation des molécules d’eau utilisée dans les fours micro-ondes) des fréquences extrêmement basses (texte, voix, image…), “pulsées par saccades” (217 pulses par secondes).

C’est la nature de ces ondes qui est toxique et non l’intensité car en effet, le signal du Wi-fi, même à très faible puissance, désorganise les processus physiologiques et détruit des structures biochimiques. Ce qui entraîne uneperte d’étanchéité de la barrière hémato-encéphalique ; une baisse de production de la mélatonine et d’acétylcholine (sommeil, mémoire, concentration …) et des dommages génétiques irréversibles.

Il a également été prouvé que l’effet biologique de ces émissions composites est une production de protéines de stress et une résonance avec les fréquences cérébrales (le cerveau émet lui aussi des extrêmement basses fréquences).

Ceci a été démontré par plusieurs rapports scientifiques (comme le rapport Bioinitiative en 2007 et d’autres études depuis), y compris sur les animaux (cigognes, bovins, grenouilles…) Il en résulte des pathologies du type insomnies, maux de tête, pertes de concentration et de mémoire, troubles cardiaques et de l’humeur, ceci s’appelle l’électrohypersensibilité (EHS). Le Conseil de l’Europe, l’OMS, plusieurs Etats aux U.S.A ont décrit l’EHS comme un trouble physiologique et non psychologique. Et l’OMS, en 2011, a classé ces ondes en “cancérogène possible” (2B).

Mais l’incidence biologique peut aller jusqu’aux cancers (cerveau, thyroïde, glande parotide …) Les militaires appellent cela le “syndrome des micro-ondes” depuis les années 1960 (avec les radars). Or, il existe aujourd’hui dans le civil de nombreux travaux scientifiques traitant de cette toxicité.

Fin 2009 en Italie, un jugement de Cour d’Appel a établi un lien de causalité entre téléphone mobile et cancer. Il faudra sans doute bientôt, comme à l’époque du tabac et de l’amiante, remettre en question une technologie que l’on disait jusqu’alors inoffensive…

L’amiante a, en effet, cessé d’être couverte par les assurances dès 1919 aux USA. Les ondes de la téléphonie mobile et du Wi-fi depuis 2003 en France ! Cela se sait peu car les informations réelles sont souvent étouffées par la version officielle et les expertises biaisées. Cependant, on lit fréquemment dans des polices courantes des compagnies d’assurance que font partie des exclusions générales :

– les dommages amiante,

– les dommages plomb,

– les dommages champs et ondes électromagnétiques,

– les dommages OGM.

On entend, malgré cela, dire que si c’était si dangereux ça se saurait car il n’est pas possible qu’une technologie autant utilisée puisse continuer d’exister en occasionnant tous ces dommages… C’est ignorer qu’en Angleterre, en Allemagne et en Autriche, le Wi-fi a été interdit dans les écoles et que le gouvernement allemand recommande depuis 2007 d’éviter le Wi-fi pour raisons sanitaires.

On entend, enfin, dire que si le Wi-fi ou le téléphone portable et ses antennes-relais provoquait le cancer, il y aurait déjà des millions de cas vu que le Wi-fi a pénétré le monde entier depuis 2005. C’est ignorer que de nombreux cas existent déjà et qu’il faut au moins 20 ans entre le début d’une exposition et le développement d’un cancer.

Alors, en attendant la reconnaissance officielle de sa toxicité, nous vous recommandons de désactiver le Wi-fi (activé par défaut sur les Box internet et qui émet en permanence, connecté ou pas) et d’utiliser un câble de connexion filaire. On comprend que dans ce contexte de déni, vous ne serez pas encouragés à arrêter votre Wi-fi, si pratique et si moderne, dans la mesure où vous ne “sentez rien” et auriez l’impression de “revenir en arrière”. Mais souvenez-vous que c’est toujours après que l’on connaît la vérité et qu’il faut parfois prendre ses responsabilités sans attendre…

D’autre part, sur le plan technique, une connexion filaire est à la fois plus stable, plus rapide et moins accessible aux pirates. Les conseils pour remplacer votre Wi-fi, y compris entre deux étages, sont ici :

http://www.robindestoits.org/_a227.html

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l’ARCEP autorise des tests de super wifi en France !

L’autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP) vient d’autoriser le début des tests du Super Wifi en France.

 Afin de lutter contre ce que l’on appelle les « zones blanches », une zone du territoire qui n’est pas desservie par un réseau donné, soit réseau de téléphonie mobile soit Internet dans le cas qui nous concerne, l’ARCEP vient d’autoriser pour la première fois une société privée à mettre en place une nouvelle technologie dite « super Wifi » sur plusieurs zone du département Charente-Maritime.

Pour information, ce super Wifi permet de transporter sur plusieurs kilomètres, en fait jusqu’à 160 km de distance en théorie, des données personnelles en haut débit qui sont dans un second temps réceptionnées par des puces spéciales ou des box comme sur le modèle des récepteurs de connexions via satellite.

L’ARCEP précise que la société Infosat Télécom avait demandé en mars 2012 l’autorisation temporaire d’utiliser un canal de 8 MHz de la bande UHF (470-790 MHz) afin de réaliser ces tests de couverture et de débit de la technologie « super Wifi« . Le but de cette expérimentation est de desservir en haut débit sans fil plusieurs zones rurales difficiles d’accès dans le département de Seine-Maritime.

WiFi Locator logoCette bande des 470-790 MHz étant utilisée pour la radiodiffusion, l’Arcep avait toutefois consulté au préalable le Conseil supérieur de l’audiovisuel qui a donc « répondu favorablement » à cette demande. Seule garantie exigée, que cette expérience n’engendre pas de brouillage de la TNT.

Espérons juste que ce Super Wifi connaisse un plus grand succès que l’arlésienne du WiMAX (pour Worldwide Interoperability for Microwave Access) qui n’a jamais encore réussi à s’imposer en France.

Commentaire :

Encore une saleté hyper toxique pour notre santé qui a été autorisée…alors que l’OMS a classé ces ondes comme cancérigène !!!!!!!!!!!!!!! le trou de la sécurité sociale n’est pas prêt de se refermer………….

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L’antenne-relai de votre quartier c’est vous !!!

 Ce message s’adresse à vous si vous disposez d’une « box » d’accès internet mise à disposition par un opérateur télécom (Orange,Free, SFR, Bouygues…)

 Le saviez-vous ? Votre « box » est la source de non pas un, mais deux réseaux Wi-fi : le vôtre, et un réseau dit « communautaire », qui a une portée beaucoup plus large puisqu’il « arrose » tout le quartier. Ce réseau en accès libre, sert aux personnes qui souhaitent se connecter « en mobilité » à Internet, c’est-à-dire en passant dans la rue ou en faisant une pause dans le parc. Ils se connectent…en utilisant votre boîte !

Les opérateurs procèdent de cette façon, de longue date, pour le Wi-fi. Mais le trafic va encore s’intensifier puisque pour faire face à la charge du réseau, ils s’apprêtent à utiliser également les box individuelles pour les communications en 3G !

 Or, cette fonction est activée par défaut, c’est-à-dire qu’elle a commencé à fonctionner dès que vous avez mis votre box en service, et elle reste activée tant que vous ne l’avez pas éteinte, même si vous avez désactivé votre Wi-fi « maison ».

 Il en découle plusieurs conséquences :

 – vous servez d’antenne Wi-fi à votre opérateur de télécom, à vos frais, puisque c’est à partir de votre électricité, et en permanence puisque la boîte émet tout le temps ;

 – vous prenez double dose de champs électromagnétiques et vous en faites prendre double dose à vos enfants, ainsi qu’à vos voisins, chez qui se trouvent peut-être des personnes fragiles (bébés, personnes âgées ou malades, personnes sensibles aux champs électromagnétiques), qui sont complètement démunies pour localiser l’origine de leurs maux ;

Voir à ce sujet : http://www.robindestoits.org/_a1055.html

– vous êtes susceptible d’engager votre responsabilité si votre boîte est utilisée à des fins illégales, ne serait-ce que pour du téléchargement réprimé par la loi HADOPI. Certes, théoriquement, l’utilisateur doit s’identifier, et tout aussi théoriquement, il n’a pas accès à vos propres données personnelles de connexion ni à votre disque dur. Mais nous savons tous qu’il existe des logiciels permettant de « surfer » de façon anonyme ; et d’une façon générale, on sait que la créativité des hackers est sans limites.

 Et plus généralement, êtes-vous d’accord pour rendre ce service à l’opérateur ? Vous a-t-on mis au courant des modalités et des conséquences ? Vous a-t-on demandé votre avis ? Même sans parler du risque sanitaire il y a là une manipulation du consommateur qui n’est pas acceptable.

 Vous ne croyez pas à ce que vous êtes en train de lire ? Appelez votre opérateur et parlez-lui du Wi-fi communautaire ou lisez ces articles : http://www.google.fr/search?q=wifi+communautaire&ie=utf-8&oe=utf-8&aq=t&rls=org.mozilla:fr:official&client=firefox-a

Vous pouvez désactiver ce wifi communautaire et cesser de vous exposer à tous ces risques. Pour connaître la marche à suivre, consultez ce document de Robin des Toits, qui explique comment désactiver les Wi-fi :

http://www.robindestoits.org/_a227.htm

 Ou demandez à votre opérateur, si votre type de « box » n’est pas répertorié.

 Et faites circuler ce message autour de vous !

 Amicalement

Robin des Toits.

 

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WI-FI : pourquoi c’est dangereux

Le Conseil de l’Europe préconise l’abandon du Wi-fi dans les écoles et recommande la baisse des seuils d’exposition aux antennes-relais de téléphonie mobile…Pourquoi ?

D’abord il faut savoir que les ondes de la téléphonie mobile et du Wi-fi sont différentes de celles de la radio et de la télévision car il s’agit de micro-ondes pulsées en extrêmement basses fréquences.

En effet, le Wi-fi, le Bluetooth,le téléphone sans fil DECT (et le Babyphone), sont composés d’une porteuse micro-onde de 2,4 Ghz, qui est la fréquence d’agitation des molécules d’eau utilisée dans les fours micro-ondes, à une puissance 8 000 fois inférieure mais en permanence, sur laquelle sont envoyés des fréquences extrêmement basses (texte, voix, image…), “pulsées par saccades”.

Il a été prouvé que l’effet biologique de ces émissions composites pulsées est une production de protéines de stress et une résonance avec les fréquences cérébrales.

Ainsi, le Wi-fi, tout comme le téléphone portable désorganise les processus physiologiques et détruit des structures biochimiques. Ceci a pour conséquence la perte d’étanchéité de la barrière hémato-encéphalique ; la baisse de production de la mélatonine et d’acétylcholine (sommeil, mémoire, concentration …) et des dommages génétiques irréversibles.

Il en résulte parfois des pathologies du type insomnies, maux de tête, pertes de concentration et de mémoire, troubles digestifs, troubles cardiaques et de l’humeur, ceci s’appelle l’électro-hypersensibilité (EHS).

Le Conseil de l’Europe, l’OMS, plusieurs Etats aux U.S.A et des équipes de recherche scientifique dans le monde ont décrit l’EHS comme une maladie physiologique et non psychologique.

Voir :

http://www.robindestoits.org/_a1246.html  http://www.robindestoits.org/_a731.html ; http://www.robindestoits.org/_r84.html

http://www.robindestoits.org/_a315.html

Mais cela peut aller jusqu’aux cancers (cerveau, thyroïde, glande parotide …) Les militaires appellent cela le “syndrome des micro-ondes” connu depuis les années 1960.  Aujourd’hui, il existe de nombreux travaux scientifiques publiés en comité de lecture sur ce sujet :

Voir :

http://www.robindestoits.org/_a228.html http://www.robindestoits.org/_r14.html

Fin 2009 en Italie, un jugement de Cour d’Appel a même établi un lien de causalité entre téléphone mobile et cancer.

Voir :

http://www.robindestoits.org/_a1039.html

Cependant, on entend dire que si « c’était si dangereux ça se saurait » et qu’il n’est pas possible qu’une technologie aussi répandue puisse  occasionner de tels dommages…Cela a été pourtant le cas pour l’amiante et le tabac ! Les risques liés à l »amiante ont cessé d’être couverts par les assurances dès 1913 et ceux liés aux ondes de la téléphonie mobile et du Wi-fi depuis 2000. Cela se sait peu car les informations sont souvent étouffées par la version officielle et les expertises biaisées.

Voir :

http://www.robindestoits.org/_r93.html http://www.robindestoits.org/_r94.html

Plusieurs institutions européennes ont également confirmé la toxicité de la téléphonie mobile et du Wi-fi, comme le Parlement européen en 2008 et 2009 et l’Agence européenne de l’environnement dès 2007. De nombreux médecins ont également validé les travaux scientifiques traitant de cette toxicité.

Ainsi, en Angleterre, en Allemagne et en Autriche, le Wi-fi a été interdit dans les écoles et le gouvernement allemand recommande depuis 2007 d’éviter le Wi-fi pour raisons sanitaires.

Voir :

http://www.robindestoits.org/_r27.html  http://www.robindestoits.org/_a1246.html

Alors, en attendant la reconnaissance officielle de sa toxicité en France, nous vous recommandons de désactiver le Wi-fi (activé par défaut sur les Box internet) et d’utiliser un câble de connexion filaire.

On comprend que dans ce contexte de déni, les utilisateur de Wi-fi ne seront pas encouragés à se débarasser de leur Wi-fi, si pratique et si moderne, dans la mesure où ils “ne sentent rien” . Mais le sans fil n’est pas l’avenir des améliorations techniques c’est la fibre optique. En effet, une connexion filaire est à la fois plus stable et plus rapide, moins accessible aux pirates et surtout sans danger pour la santé, y compris celle de ses voisins !

Vous trouverez donc sur cette page les astuces pour remplacer le Wi-fi par une connexion câblée : http://www.robindestoits.org/_a227.html

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