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Archive pour juin 2011

L’Express: « Cancer: Les portables doivent être interdits aux moins de 12 ans »

lexpress.fr

L’OMS reconnaît que l’utilisation d’un téléphone portable « peut être cancérigène« . Une mise en garde insuffisante pour Dominique Belpomme, président de l’Association pour la recherche thérapeutique anticancéreuse.

Des cancérologues de l’Organisation mondiale de la santé ont estimé que le téléphone portable avait sa ple dans la liste des produits « possiblement cancérigènes« . Que pensez-vous de cette classification?

C’est une décision qui va dans le bon sens, mais il faut aller plus loin. Pour l’instant, le risque est « possible », selon l’OMS. Les ondes électromagnétiques des téléphones portables ont été classées en catégorie 2b alors qu’elles méritent une classification en 2a, puis très rapidement en 1, équivalent à un risque « certain ».

De plus, les spécialistes de l’OMS ne se sont pas entretenus avec des patients: ils ont effectué une compilation des résultats des études précédentes. Or, sur le terrain, on se rend compte que le cancer n’est que la partie émergée de l’iceberg des risques liés à l’usage des téléphones portables.
L’exposition aux mobiles et à leurs ondes est clairement responsable d’autres maladies, dont Alzheimer – comme le soutient l’Artac à travers diverses études. Depuis 18 mois, notre association s’applique à démontrer le lien de cause à effet entre les ondes des téléphones portables et Alzheimer. Ne pas le reconnaître est un manque de respect pour les patients qui souffrent et qui cherchent des réponses.

Pour limiter ces risques, l’OMS a émis des recommandations (utilisation de kits mains libres, envoi de SMS…). Qu’en pensez-vous?

Une fois de plus, elles sont clairement insuffisantes. Oui, il faut encourager les gens à éloigner les combinés de leurs têtes. Utiliser la fonction haut-parleur des appareils est une des solutions possibles.
Mais les kits mains libres ne sont pas inoffensifs: ils peuvent en effet jouer le rôle d’antenne et ainsi servir de récepteur aux champs électromagnétiques. Cette recommandation de l’OMS est comme le filtre d’une cigarette: il retient un peu de fumée mais n’empêche pas les cancers.

"Les portables doivent être interdits aux moins de 12 ans"

L’Organisation mondiale de la santé l’atteste, l’utilisation d’un téléphone portable « peut-être cancérigène ». Une classification qui contient également le plomb ou le café.

© AFP/Archives/Ahmad al-Rubaye

Que préconisez-vous alors?

Il faut appliquer le principe de précaution car on est en présence d’un risque irréversible. Les cancers de type gliome [cancer du cerveau, ndlr] sont très dangereux et difficile à soigner.
Autre préconisation: réglementer strictement l’utilisation des téléphones portables. Ils doivent être interdits aux enfants de moins de 12 ans, les plus exposés au risque de développement de cancers, ainsi qu’aux femmes enceintes.
Pour les autres catégories d’utilisateurs, il faut limiter l’emploi des téléphones à 20 minutes par jour, par séquences de 6 minutes maximum. Ces conseils sont d’ailleurs écrits par certains opérateurs sur les notices de leurs matériels. Quant à la meilleure parade, elle reste encore l’utilisation des téléphones filaires.

Cette mise en garde de l’OMS va quand même plus loin que les études précédentes publiées que la question…

C’est vrai. Pour la première fois, un groupe d’experts français va à l’encontre des décisions et des annonces des agences de sécurité sanitaire gouvernementales. L’Afsset, par exemple, a toujours refusé de reconnaître les conséquences des champs magnétiques sur le fonctionnement du corps humain. Cela va peut-être changé grâce au pas en avant de l’OMS.

Risques

Ce qu’il faut savoir sur les risques du mobile.

Classification

L’OMS a mis en place une classification pour évaluer le risque de cancers attribué à certains produits. Elle comporte cinq niveaux de risques.
1 – cancérogène pour l’homme
2A – probablement cancérogène pour l’homme
2B – peut-être cancérogène pour l’homme
3 – inclassables
4 – probablement pas cancérogène

 

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L’Expansion: « Santé: ce qu’il faut savoir sur les risques du portable »

Après les conclusions du Centre international de recherche sur le cancer, qui admet qu’un risque est possible, le point sur l’état des connaissances et comment appliquer le principe de précaution.

En déclarant l’usage des téléphones mobiles comme « peut-être cancérigène », le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), une agence de l’Organisation mondiale pour la santé (OMS), a apporté sa pierre au débat de longue date sur les risques des ondes radio sur la santé. Selon le CIRC, « les preuves, qui continuent à s’accumuler, sont assez fortes pour justifier » ce classement. L’OMS, c’est l’autorité sanitaire mondiale numéro un. On a donc désormais de vraies raisons d’avoir peur, nous, les 5 milliards d’êtres humains qui possèdent un téléphone portable. Le point sur les connaissances actuelles.

Comment a été établi ce classement ?

Un groupe de 31 chercheurs de 14 pays a analysé toutes les études déjà conduites sur le sujet (aussi bien celles financées par les industriels que les études indépendantes). Le classement retenu est fondé « sur des études épidémiologiques montrant un risque accru de gliome, un type de cancer du cerveau associé avec l’usage du téléphone portable », a-t-il indiqué. Selon la classification officielle de l’OMS, les mobiles sont classé 2B, une catégorie qui regroupe 266 agents (dont les gaz d’échappement des moteurs à essence, le chloroforme, le cobalt, certains contraceptifs, ou encore les fougères arborescentes). Auparavant, ils étaient classés dans la catégorie inférieure, soit « inclassable quant à sa cancérogénicité pour l’homme ».

« Peut-être cancérigène pour l’homme », ça veut dire quoi ?

Cela signifie que le risque n’est pas démontré : les preuves sont « limitées » et « insuffisantes », ou bien elles sont suffisantes seulement sur les animaux. Les preuves en question font notamment état d’une augmentation de 40% du risque de tumeur du cerveau chez les utilisateurs téléphonant en moyenne 30 minutes par jour pendant 10 ans. Une utilisation largement supérieure à la moyenne, puisque selon l’Arcep le trafic mensuel moyen voix des clients mobiles était de 2h20 au quatrième trimestre 2010 (ce chiffre ne prend cependant pas en compte l’utilisation d’un mobile professionnel).

Cela signifie quand même qu’il y a suffisamment de signaux pour que le doute soit permis. D’où un besoin de surveillance accrue. Des recherches complémentaires, guidées par le CIRC, vont donc maintenant être menées sur l’impact à long terme d’une utilisation intensive du téléphone portable sur l’homme. Ce qui ne peut être que positif, car jusqu’à présent on était dans le flou, bien que de nombreux rapports aient alerté sur les risques sous-estimés du portable, et recommandé d’appliquer le principe de précaution.

Comment se protéger ?

La bonne nouvelle, c’est que contrairement à d’autres agents de la même catégorie auxquels nous sommes tous exposés (comme les gaz d’échappement), l’utilisation du portable est un comportement actif et non passif. A chacun de voir comment il gère le principe de précaution. Les conseils donnés sont de limiter l’utilisation du téléphone pour la voix (privilégier les SMS), de ne pas téléphoner dans les zones où la réception est mauvaise, et d’utiliser un kit mains libre, qui réduit de 10 fois l’exposition aux ondes et que l’on peut aussi utiliser au volant pour faire d’une pierre deux coups. Il est également recommandé de limiter l’usage du portable par les enfants, plus fragiles. Enfin, depuis le 15 avril, l’affichage du « DAS » (débit d’absorption spécifique), correspondant aux ondes émises, est obligatoire en magasin pour tous les téléphones. On peut donc choisir son modèle en fonction de son niveau d’émissions. Un guide de l’INPES est disponible sur internet, pour tout savoir sur l’usage « safe » du téléphone.

Comment les ondes radio agissent sur le cerveau ?

Ce qui se passe quand on téléphone, c’est que l’activité des zones du cerveau proches de l’antenne est augmentée, et les cellules s’échauffent. Cela peut altérer les neurotransmetteurs et modifier le débit sanguin cérébral. Au-delà de ces constatations, les mécanismes qui pourraient être nocifs ne sont pas démontrés.

Plus le téléphone est proche de la tête, plus le risque est important (d’où la recommandation de privilégier les oreillettes). En revanche, il diminue très vite si on l’éloigne du corps. Les ondes sont émises lorsque le téléphone se connecte à l’antenne relais, ce qui survient régulièrement pendant un appel, surtout en situation de déplacement. L’émission la plus importante a lieu dans les premières secondes de la communication. En outre, plus la couverture réseau est mauvaise, plus le téléphone émet des ondes.

2G, 3G, 4G, WiFi, Bluetooth… ça change quelque chose ?

« Les téléphones modernes ont une émission beaucoup plus basse que les anciens », a souligné un chercheur du CIRC. Pour ce qui est des « expositions environnementales » (WiFi, antennes relais…), elles n’ont pas fait l’objet de conclusions de la part du CIRC. Dominique Gombert, directeur de l’évaluation des risques à l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire), explique que l’exposition aux ondes électromagnétiques est plus faible dans le cas du WiFi et des antennes relais, mais qu’elle a lieu sur des durées beaucoup plus longues. Par principe de précaution, le Conseil de l’Europe a quand même proposé d’interdire le WiFi dans les écoles.

Quelle est la position des opérateurs ?

Ils se retranchent derrière l’absence de preuve formelle pour minimiser les risques, et sont souvent accusés de brider la recherche en ne finançant que les études qui leur sont favorables. Interrogé par un blog de France Télévisions sur la question de la dangerosité du portable, le patron de France Télécom Stéphane Richard expliquait récemment qu’il ne fallait pas « fuir le débat ». « La grande difficulté, dit-il, c’est qu’il faut arriver à faire la part de ce qui est quand même assez irrationnel, et resituer sur un plan scientifique ce qui est la réalité de ces sujets. A ce jour, les études qui ont été faites n’ont jamais été en mesure de conclure à l’existence d’un risque avéré, en tout cas certainement pas à un risque lié à l’antenne ».

Les travaux de recherche vont de toute façon continuer. En France, l’Anses dispose d’un crédit de 2 millions d’euros par an pour la recherche sur les effets des ondes électromagnétiques sur la santé.

 

Source: l’Expansion ( http://lexpansion.lexpress.fr/high-tech/sante-ce-qu-il-faut-savoir-sur-les-risques-du-portable_256507.html )

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WI-FI : c’est toxique pour vous et votre voisinage

 
 Votre installation peut être considérée comme Trouble Anormal de Voisinage.

Le groupe technologique Téléphonie Mobile [GSM – UMTS ou 3G – WIFI – WIMAX – DECT – BLUETOOTH – RFID] est toxique pour la santé.

C’est la structure physique de composition triple spécifique [Hyperfréquence/Modulation en ELF/Pulsations] qui induit l’attaque physiologique aux niveaux moléculaire et cellulaire.

La TNT, pour des raisons voisines, est également toxique pour la santé.

Un grand nombre de travaux scientifiques internationaux, plusieurs centaines, exposent les diverses formes de la toxicité.

Une liste des principaux travaux, ou bibliographie, peut être consultée sur le site web du CRIIREM :

http://www.criirem.org/index.php

En Europe, le 16/12/2009, la Justice a pris position en reconnaissant un lien de causalité entre tumeur maligne et l’exposition professionnelle à des champs électromagnétiques :

http://www.robindestoits.org/_a1039.html

Depuis plusieurs années, les principales Compagnies mondiales de ré-assurance ne couvrent plus la téléphonie mobile. Voir la liste d’exclusions de vos propres polices.

Les ondes du groupe technologique Téléphonie Mobile attaquent les êtres vivants de par leur structure spécifique pulsée, c’est-à-dire émises par saccades très brèves des centièmes de seconde. Elles ne peuvent de ce fait aucunement être comparées, par exemple, aux émissions des ondes de la radio et de la télévision analogique, émises en continu.

 

Des perturbations physiologiques primaires ont pour effet de déclancher des pathologies de 2 niveaux :

Niveaux Lourds :

 
Cancers du cerveau, du sang, du système lymphatique, en particulier du pancréas et de la thyroïde, épilepsie, interruptions de grossesse et malformations, maladies auto-immunes, un ensemble de dysfonctionnements connu globalement comme EHS (ElectroHypersenSibilité) qui comporte fréquemment des douleurs intenses et dont les niveaux aigus conduisent à une exclusion sociale parfois presque totale par impossibilité de résidence dans des lieux électrifiés.
 
 

Niveaux Moyens :

Maux de têtes, perte d’appétit, dépression, irritabilité, troubles du sommeil, vertiges et chutes, pertes de concentration, troubles cardiaques et de tension, maladie de peau, troubles des rythmes du cerveau, pertubations du système immunitaire avec multiplications des lymphocites, altérations de la peau, perturbations de l’EEG, atteintes au structures de yeux, des oreilles et du nez.

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