Que sont les Sensibilités Electriques ou electromagnétiques?

Electrical Sensitivities and the Electrical Environment
Cyril W. Smith, Ph.D.
(Notes écrites pour et en coopération avec
Breakspear Hospital, Hemel Hempstead, HP2 4FD, U.K.)

Beaucoup de personnes souffrent de sensibilités à certains produits alimentaires et à des produits chimiques environnementaux qui leur causent un inconfort, ou même dans des cas extrêmes les empêchent d’agir de façon efficace.Même la moindre exposition à ces substances peut à ces occasions ‘déclencher’ des réactions qui sont spécifiques à chaque individu.

Les avertissements quant aux noix, aux arachides ou au gluten sont généralement affichés sur les produits alimentaires. Quand une réaction de sensibilité se produit, un certain système régulateur dans l’organisme a cessé de fonctionner correctement et donne des signaux d’alarme, appelant à une réaction de panique injustifiée. D’habitude, c’est le système nerveux autonome (SNA) qui est le premier à être touché de cette manière. Ce système contrôle toutes les fonctions involontaires de l’organisme. Ainsi, n’importe quelle partie ou fonction du corps peut être affectée par le même allergène agissant de façon différente. C’est pourquoi de tels effets ne ressortent pas dans les statistiques médicales.

Ceux qui sont déjà atteints de plusieurs hypersensibilités chimiques, ‘larvées’, sont plus susceptibles d’acquérir des sensibilités électriques ou electromagnétiques comme problème supplémentaire. L’alergène « effet déclenchant » peut transférer le déclenchement du une quantité infime d’un certain produit chimique à une fréquence d’un champ électromagnétique présent dans l’environnement, et spécifique à chaque patient. Généralement, ce sont les mêmes symptômes spécifiques à chaque patient qui continuent à être ‘déclenchés’.

C’est la fréquence du champ électromagnétique qui importe, une fois que le seuil d’intensité spécifique à chaque patient ou la puissance duchamp a été dépassé. La gamme de l’ensemble des fréquences « déclanchantes » s’étend d’en dessous de mille secondes par cycle (rythmes circadiens) allant de fréquences audio, radio et micro-ondes à la lumière visible. Tous ces effets sont ‘non-thermiques’ ; la puissance électrique est insuffisante pour produire une quelconque chaleur significative. A nouveau, c’est la fréquence qui importe. Ou en termes techniques, c’est la densité de puissance spectrale ou les watts par cycle de largeur de bande de la radiation qui importe. C’est-à-dire plus la fréquence est précise – moins on a besoin de puissance pour produire un effet.

L’Allemagne a fait adopter la Classification internationale des Maladies du code T78.4 de l’OMS pour ‘le Syndrome de Sensibilité chimique Multiple’, contre laquelle ceci peut être exposé et des statistiques rassemblées. Il n’y a aucune classification électrique équivalente de l’OMS jusqu’à présent, mais ilsemblerait raisonnable que ces cas soient enregistrés comme une complication de sensibilités chimiques multiples. La Suède considère la sensibilité électrique comme un handicap, impliquant que tous les lieux publics doivent être aménagés pour recevoir des personnes souffrant de sensibilités électriques.

L’Environnement Electrique

De tels patients peuvent éprouver des problèmes issus de l’environnement naturel. Des fréquences venant de changements météorologiques, de fronts météorologiques approchant ou d’orages peuvent devenir gênantes. Celles-ci peuvent être des fréquences électriques ou acoustiques. Enfin, il peut y avoir une sensibilité à la lumière du soleil.

L’éclairage fluorescent et les caisses électroniques peuvent rendre le ‘shopping’ pénible, particulièrement si des inhalants tels que des produits chimiques sur des tissus provoquent une sensibilisation chimique initiale. Le patient peut éprouver des problèmes quand il s’approche d’équipements électriques comme des lignes à haute tension, des postes de radio – de télévision – ou des émetteurs de téléphonie mobile, de magnétoscopes ou de graveurs de DVD, d’ordinateurs, de téléphones portables, d’antennes satellites ou en fait n’importe quel dispositif électronique parmi la multitude de ceux de notre environnement moderne. Il n’est pas nécessaire à un dispositif électrique d’être actif, n’importe quel circuit résonant passif peut suffire; cela peut être la fréquence résonante de rails métalliques dans la rue.

Les personnes peuvent prendre conscience d’avoir réellement un problème avec des appareils électriques quand ils les manipulent, ou simplement en les approchant.

La caractéristique des femmes est de tendre à des sensibilités chroniques apparaissant très tôt, qui leur vaudront d’être étiquetées comme « hyper anxieuxes »; la caractéristique des hommes étant aucune réaction jusqu’au choc d’un effondrement soudain et invalidant avec une totale incapacité à fonctionner.

Le risque de sur-exposition chronique aux fréquences électriques est, pour utiliser une analogie de l’homéopathie, celui d’une adaptation à des symptômes probants correspondant à un modèle particulier de fréquences jusqu’à ce qu’on ne puisse plus les distinguer de la forme de la maladie caractéristique de ce remède. Le problème semble surgir quand le modèle de fréquence d’un produit chimique toxique dans l’organisme correspond à celui de l’environnement électrique de la personne. Mais, c’est l’environnement électrique qui fait que le corps pense subir une attaque chimique.

Symptômes Subjectifs Typiques se rapportant aux Sensibilités Électriques

Somnolence, malaises et maux de tête, sautes d’humeur, larmoiements et douleurs oculaires, faible concentration, vertiges et bourdonnements d’oreilles, engourdissements et picotements, nausées et flatulences, convulsions, sensibilité sonore, perte d’appétit, perturbations visuelles, agitation, rougeurs.

Observations Cliniques touchant aux sensibilités Électriques

Modifications de la respiration, changements du rythme cardiaque (l’analyse de variabilité du rythme cardiaque est un bon indicateur du statut du Système Nerveux Autonome), dilatation de la pupille des yeux, transpiration ou manque de transpiration, faiblesse musculaire, perte d’acuité visuelle, difficultés d’élocution ou difficultés d’écriture, perte de conscience, convulsions.

Test pour Sensibilités Électriques

De même que des sensibilités alimentaires et chimiques anormales peuvent être évaluées, les sensibilités électriques peuvent l’être également. Initialement, notre procédure consistait simplement à asseoir le patient dans un environnement contrôlé. En pratique, c’est une pièce exempte de tout produit chimique et de particules, avec des champs électriques négligeables qu’ils soient activés ou non, et éclairée par la lumière du jour. Par rapport au patient, un oscillateur électrique est placé à la distance de visibilité d’un téléviseur ou d’utilisation d’un ordinateur. Cela place le patient dans un champ électromagnétique contrôlé comparable à ce qu’il expérimente généralement. Le patient doit seulement être capable de fonctionner dans l’environnement électrique présent.

La personne effectuant le test règle lentement l’oscillateur sur toutes les fréquences environnementales pouvant provoquer des problèmes. Il est habituel de commencer en-dessous de 1 milliHertz (fréquences du rythme circadien) et passer par 1 Hz (Hz = Hertz = cycles par seconde), qui est autour des fréquences d’ondes cérébrales et du battement du coeur. Il peut être nécessaire de continuer jusqu’aux fréquences allant au-delà de celles des fours à micro-ondes et téléphones mobiles.

Le patient signale tous les symptômes au fur et à mesure et quand il les sent. Le testeur doit essayer de détecter le début des symptômes avant qu’ils ne deviennent trop inconfortables ou dangereux pour le patient. Les symptômes ressentis par le patient sont généralement les mêmes que ceux déclenchés pendant les tests alimentaires et chimiques. Cela doit avoir préalablement été réalisé et les informations doivent être disponibles pour le testeur, qui doit savoir, par exemple, si un malaise cardiaque ou une perte de conscience sont susceptibles de se produire.

Ces fréquences par lesquelles les symptômes sont ‘déclenchés’ et ‘neutralisés’ sont enregistrées. Cette méthode a été utilisée dans des essais en doubles-aveugles pour démontrer l’existence de sensibilités électromagnétiques avec 100 % de succès.(1)

Il y a généralement une ou plusieurs fréquences auxquelles tous les symptômes disparaissent ensemble. Cette amélioration ne sera pas maintenue s’il y a une lourde charge de produits chimiques toxiques dans l’organisme, des stress environnementaux ou nutritionnels. Cependant, les patients ressentent vraiment un grand soulagement quand ils comprennent que les symptômes dont ils ont souffert pendant des années peuvent être provoqués ou stoppés à volonté à partir d’un oscillateur électrique de l’autre côté de la pièce, en aucun cas connecté à eux, et que cela n’est pas ‘ une vue de l’esprit ‘.

Nous avons constaté qu’environ 10 % de tous les patients ayant des sensibilités chimiques, nutritionnelles, ou à des particules, avaient acquis des sensibilités électromagnétiques. Ces tests montrent souvent le stress venant d’une fréquence environnementale commune comme l’alimentation électrique à 50Hz (60 Hz en Amérique du Nord) ou la fréquence d’un four à micro-ondes de 2.45 GHz.

Les fréquences mesurées pour déclencher les réactions, ou les neutraliser, ont couvert une vaste gamme, mais ont montré peu de modèles reconnaissables jusqu’à ce qu’on ait réalisé que le 7.8 Hz apparaissait souvent. Cette fréquence est utilisée dans quelques dispositifs thérapeutiques ou protecteurs pour stimuler le méridien du coeur. Les mesures ont rapidement révélé que chaque méridien d’acupuncture, et aussi les chakras, avaient une fréquence endogène caractéristique et que la plupart des fréquences mesurées chez les patients étaient celles des méridiens d’acupuncture. De telles mesures chez des patients montrent les méridiens d’acupuncture qui sont stressés et ceux qui ont besoin de stimulation.

Les fréquences des patients sur un méridien d’acupuncture étaient très précises. Pour 31 fréquences du méridien ‘trois-réchauffeur’ de 22 patients, la moyenne était 6.0178 kHz (l’écart-type ± 0.20 %) et pour 53 fréquences de méridien du coeur de 38 patients, la moyenne était 7.7877 Hz (l’écart-type ± 0.92 %). Certains patients sont tellement sensibles qu’ils sont incapables de tolérer des fréquences telles que celles trouvées à proximité d’un poste de télévision ou d’un ordinateur, ou même de champs électromagnétiques ou dispositifs électriques à l’intérieur d’un même bâtiment.

 Pour faire face à ces cas, un tube de verre de salin ou d’eau, venant d’une source que l’on sait être tolérée par le patient (certains patients sont intolérants à l’eau), est mis dans la main du patient qui doit le ‘secouer’ en frappant la base du tube de verre contre une surface en bois. Ceci est ensuite testé loin du patient pour trouver les fréquences neutralisantes aux thérapeutiques applicables au patient à ce moment.Ces fréquences sont ‘inscrites’ dans un tube d’eau pour obtenir l’équivalent d’une efficacité homéopathique. Préalablement enveloppée dans du papier d’aluminium, cette eau ‘inscrite’ peut être envoyée par courrier dans une enveloppe capitonnée.

 Avec de nombreuses années d’expérience, étant à la retraite, l’auteur l’utilise maintenant comme la méthode préférée pour tester la plupart des patients et détecter les fréquences auxquelles ils peuvent être sensibles.

Sensibilités alimentaires et chimiques

Des patients sévèrement électro sensibles sont susceptibles d’avoir des réactions aux produits chimiques et à d’autres facteurs sur leur lieu de travail.

Environ 1 personne sur 6 est habituellement considèrée comme ayant des détériorations fonctionnelles dues à une réaction allergique liée à l’environnement ou à la nourriture. L’exposition répétée à une fréquence – alors qu’une personne réagit à un certain autre déclancheur allergique – peut lier ce modèle de sensibilité spécifique avec cette fréquence, faisant que la même réaction est déclenchée à la rencontre soit de la fréquence soit de l’allergène selon l’occasion qui se présente. En général, la réponse type du patient est la même selon que le déclancheur est un produit chimique, biologique, une particule, de la nourriture ou électrique – c’est la caractéristique du patient.

L’exposition aux pesticides ou aux herbicides semble augmenter ou même créer des sensibilités électriques. Le formaldehyde est un très bon sensibilisateur. L’irradiation ionisante (des vols long courrier)représente un facteur de stress supplémentaire. Quelques personnes peuvent devenirhypersensibles à la lumière, certaines à la lumière du soleil, ou à la lumière du spectre de vapeur de mercure, qui est en surimpression sur l’émission de tubes fluorescents.

C’est une caractéristique commune d’hypersensibilité électrique dont ses victimes se plaignent vigoureusement que personne ne fasse rien pour eux, comme de couper une source électrique dont ils savent qu’elle déclenche leurs réactions, alors qu’elle semble n’avoir aucun effet sur quelqu’un d’autre. Quand une hypersensibilité à la lumière du soleil est acquise, la personne réalise la futilité de cette approche, mais peut-être pas avant qu’elle ne soit déjà devenue paranoïaque à propos de ces problèmes.

Les amalgames dentaires peuvent causer des problèmes, dus à des courants électrolytiques entre les types différents d’amalgame dans les dents, entre des remplissages et les tissus environnants ou dus à des fréquences environnementales reçues aux points de contacts métalliques-tissulaires. La fréquence toxique du mercure frappe la branche parasympathique du système nerveux autonome.

Traitement

Une thérapie pour soulager ces réactions est appelée l’immunothérapie à faible dose. Elle a été développée du travail précédemment effectué aux USA par le docteur Joseph Miller, de Mobile, Alabama, puis développée à l’Hôpital Breakspear, Hemel Hempstead, en Angleterre, par son Directeur Médical, le docteur Jean Monro, et au Centre médico-social Environnemental, à Dallas, Texas, par le docteur W. J. Rea qui a démontré la réalité des sensibilités électriques dans des essais en double aveugle.(1) Cette thérapie est basée sur les dilutions en série successives de la substanceayant dans l’ordre les effets de stimuler et/ou d’étouffer les réactions qu’ils produisent. Cette thérapie ne doit pas se substituer à la réduction par la suite de la charge corporelle des substances déclanchantes à un niveau auquel l’individu puisse résister. Ceci se fait en augmentant simultanément le taux de détoxification et en réduisant le taux de toxines consommées, jusqu’à ce que le corps fonctionne normalement, en supposant que les systèmes d’enzymes de détoxification soient intacts.

Cependant, tandis qu’il peut procurer un soulagement plus immédiat des symptômes et de ce fait aider à parvenir à une normalisation définitive, il se peut qu’on ne puisse pas atteindre ce résultat sans opérer un changement dans le style de vie du patient. Ce traitement nécessite un travail intensifier et donc couteux.

Quand les patients ont acquis un haut degré de sensibilité multi-factorielle par les aliments et/ou l’environnement chimique (sensibilités multiples), ils seront plus susceptibles d’avoir développé une sensibilité anormale à leur environnement électrique faisant partie de ce ‘pack’ de symptômes. Il est rare d’avoir des sensibilités électriques sans sensibilités chimiques en cours. Cette sensibilité électrique peut devenir si sévère qu’une personne n’est plus en compatibilité avec la technologie et incapable de fonctionner dans l’environnement moderne. La sensibilité électrique n’est pas mutuellement exclusive d’autres situations cliniques; elle peut coexister avec et déclencher même la maladie physique ou mentale. Des sensibilités électriques rendent le diagnostic et la thérapie plus difficile. Les médicaments peuvent produire des réponses anormales ou des effets secondaires, et même une sensibilisation chronique à l’environnement électrique.

Il y a un traitement efficace pour beaucoup de réponses allergiques aux aliments, aux produits chimiques et aux matières inhalées. Cela inclut le fait de neutraliser les effets des problèmes alimentaires et des produits chimiques, en minimisant l’exposition aux fréquences électromagnétiques et aux produits chimiques nocifs, en rétablissant l’état nutritionnel, surtout des membranes cellulaires, et en supprimant les métaux lourds. Le concept général présenté par le Dr W. J. Rea est de chercher à réduire la totalité de la charge des agents stressant le corps.

Rechercher les facteurs à réduire peut être une question de choix bien que quelques stress soient involontaires. Là où existe déjà un stress chimique, l’exposition à un stress électrique  n’est plus possible.Quand les sensibilités alimentaires et chimiques sont contrôlées et que le corps se désintoxique lui même, les sensibilités électriques généralement disparaissent aussi. Cependant, il faut noter que si une personne travaille ou dort dans une zone de ‘stress géopathique’, qui peut être électrique à l’origine, alors ses problèmes peuvent persister et résister aux thérapies. Les symptômes disparaissent d’habitude dans l’ordre contraire à leur apparition.

Réduction de l’Impact de l’Environnement Electrique .

Il est impossible de se tenir à l’écart de la radiation électromagnétique naturelle du soleil, de l’ionosphère, du temps climatique et du champ géomagnétique. Il est presque impossible de se tenir à l’écart de la radiation électromagnétique fabriquée par l’homme. Les personnes qui trouvent un canyon profond ou qui vont ‘au fin fond d’un pays’ sont toujours exténuées quand un satellite monte sur l’horizon. Les meilleurs indicateurs d’endroits sécurisés sont que les téléphones mobiles ne fonctionnent pas, que la réception de TV est limitée, et qu’il n’y a aucune ligne électrique aérienne.

 La personne sensible est la plus capable de déterminer quel équipement électrique l’affecte. Le facteur qui semble importer est la fréquence. Donc, il est important de découvrir à quelles fréquences une personne est sensible. Il peut être possible d’en éviter l’exposition. S’il y a sensibilité à la fréquence de l’alimentation électrique (50 Hz en Europe, 60 Hz en Amérique du Nord), il est pratiquement impossible de l’éviter.

Beaucoup d’équipements électriques émettent des champs tout à fait puissants et tous les dispositifs électriques devraient être éloignés aussi loin que possible de l’espace où l’on dort. L’horloge sur une cuisinière, une radio ou une bouilloire pour le thé peuvent émettre un champ plus fort que l’ensemble de tous les appareils. Les compteurs électriques émettent d’importants champs et peuvent être installés dans un passage de  l »autre côté du mur contigu à un lit.

Les lignes électriques aériennes tendues par des poteaux qui alimentent une maison peuvent agir comme des antennes pour la radio et comme transmetteurs de micro-ondes et les canaliser dans le câblage de maison. Il est bon d’éteindre tous les circuits électriques non essentiels la nuit.

 Les fréquences électriques peuvent avoir le même effet que la lumière du jour dans l’été arctique et diminuer les niveaux de mélatonine. Des protections à base biologique peuvent être fournies par les pins, les cactus, les plantes à araignées.

Une personne très sensible peut réagir à une composante quantique du champ électromagnétique appelée le potentiel vectoriel magnétique et de cela on ne peut pas se protéger. Il n’existe aucune mesure pratique permettant de se protéger des fréquences de l’alimentation électrique. Des fréquences plus hautes peuvent être arrêtées par des mailles en métal, du tissus métalisé et le papier d’aluminium, bien que ceux-ci puissent agir comme des miroirs à la radiation et la réfléchir ailleurs. Mais ils peuvent rendre cette réaction encore plus mauvaise.

Il est rare de trouver des sensibilités électriques sans sensibilités chimiques précédentes et en cours. Si une personne est sensibilisée chimiquement, la sensibilité électrique peut être augmentée. Par exemple, une personne peut tolérer la radiation électromagnétique d’un poste de télévision s’il est inclus dans une boîte à écran de verre, qui est aérée vers l’extérieur pour éviter de garder les vapeurs du plastique chaud dans la pièce. Les pulsations émises quand un téléphone mobile cherche un numéro peuvent imprimer toutes ses fréquences dans la tête s’il est tenu contre l’oreille, il vaut mieux le garder à la main jusqu’à ce que la composition du numéro soit terminée.

Les ordinateurs ont différentes fréquences d’horloge généralement déterminées selon leur vitesse de fonctionnement. Ces fréquences seront subdivisées dans le processus d’exécution des différentes fonctions informatiques. Il peut être possible de trouver un modèle dont l’équipement est toléré. Les écrans plats émettent vraisemblablement moins de champs électromagnétiques.

L’oeil peut aussi être un passage d’accès dans l’organisme pour des fréquences. Il y a seulement deux ou trois méridiens d’acupuncture qui sont stimulés en voyant une source optique brillant à la fréquence endogène du méridien correspondant; ce sera plus grand que 0.05 Hz et moins de 47 kHz. De forts dessins visuels et des couleurs peuvent aussi affecter.

Le corps dans son entier est sensible aux résonances de son environnement, ainsi les structures en métal ou un équipement électronique même qui n’est pas allumé peuvent provoquer des problèmes. (2) Il y a des claviers informatiques qui ont un long câble ou une liaison optique infrarouge vers l’unité informatique, permettant à cette dernière d’être gardée à distance. Un bâtiment entier peut être équipé avec une liaison Internet sans fil. De nouveau, souvenez-vous que tout ‘équipement électronique émet des exhalaisons chimiques et comme celles-ci peuvent être un déclancheur de réactions elles doivent être aérées. Il y a des logiciels qui permettent de dicter à un ordinateur, pour que le processus de frappe de texte puisse être évité; seules les corrections d’erreurs et les mises en page ont besoind’être faites au clavier.

Références Scientifiques aux Sensibilités Électriques

Les aspects importants de la science impliquée

1 Fréquence: c’est la quantité d’importance primordiale pas l’intensité.

2 Coherence: c’est la précision de la fréquence et de sa phase.

3 Longueur de Cohérence: c’est la distance sur laquelle la cohérence est maintenue – le domaine de cohérence.

4 Effet de Fréquences Multiples : dans le domaine de cohérence le paramètre constant est la longueur de cohérence, ainsi la vitesse avec laquelle la cohérence se déplace devient proportionnelle à sa fréquence. Il peut y avoir plusieurs vitesses et fréquences correspondantes et toutes peuvent inter-réagir. Dans un système cohérent cela rend la fréquence en une quantité fractale. C’est cela qui fait abaisser les fréquences et les effets des réactions chimiques dans l’échelle technologique des fréquences. S’il n’y avait pas de dualité entre la structure chimique et la fréquence, l’analyse spectroscopique serait impossible.

5 Champs Magnetiques: Il y a une composante d’un champ magnétique appelé le potentiel vectoriel magnétique. Il est en direction du courant générant le champ magnétique et on ne peut pas s’en protéger par les méthodes ordinaires. Il peut donner des effets biologiques au niveau quantique en changeant la phase de la fonction de l’onde.

6 Effets Quantiques : Les bio-effets qui peuvent être décrits par la ‘physique classique’ sont ceux de chaleur ou force mécanique : ils ne peuvent pas être pris en compte pour la chimie. Pourtant, c’est le modèle utilisé dans l’évaluation de risque d’EM. Dès qu’il devient nécessaire de considérer les effets de l’énergie entrant dans les paquets ou ‘les quanta’, alors on aboutit à ‘la physique quantique’. En cela, il y a la probabilité d’un seul système étant dans un état particulier. L’auteur a présenté des preuves de systèmes vivants se comportant comme des systèmes quantiques à grande échelle lors d’une conférence au Département de Sciences de Frontière d’Université de Temple à Philadelphie en 1997 (3) les effets ‘Non-locaux’ doivent être attendus de la théorie quantique’, effets tels que la ‘guérison de distance’.

7 Mémoire : La recherche récente montre que la mémoire travaille comme un hologramme, en stockant des informations comme la phase d’une fréquence plutôt que comme dans une mémoire d’ordinateur numérique. Tout une image mentale peut être affichée ou traitée d’un seul coup; elle n’est pas construite comme une image de télévision à partir d’un point mobile. L’aspect ‘quantique’ dans l’holographie signifie qu’au lieu d’espace de mémoire vide ou plein (‘0’ ou‘1’) il y a seulement une propabilité pour que chaque état soit ‘0’ et ‘1’. La mémoire chimique (comme l’ADN) est également sensée travailler ainsi. Il doit y avoir une structure syntaxique comme dans un langage. Il existe des programmes de réécriture informatique qui peuvent créer un langage complet à partir de rien, en utilisant juste deux instructions fondamentales – créer et conserver.

8 Solutions : De même qu’il y a quelques produits chimiques si toxiques qu’ils ne sont jamais synthétisés, il doit y avoir quelques modèles des fréquences qui ne devraient pas être et libérées dans l’environnement. Les solutions aux problèmes de sensibilités exigent la reconnaissance que l’on traite d’un problème de la physique quantique (4) et d’une action coordonnée des pollueurs chimiques et électriques travaillant en coopération.

References

(1) For evidence that electromagnetic field sensitivity actually does exist and can be elicited under environmentaîly controlled double-blind conditions with 100% reactions to an active frequency and 0% to the placebos, see: Rea WJ. Pan Y. Fenyves EJ. Sujisawa I. Suyama H.Samadi N. and Ross GH. “Electromagnetic Field Sensitivity”, Journal of Bioelectricity1O(1&2): 241-256 (1991).

(2) Cardella C, de Magistris L, Florio E and Smith CW. (2001) Permanent Changes in thePhysicoChemical Properties 0f Water Following Exposure to Resonant Circuits. Journal of Scientific Exploration 15(4): 501-518 (2001). Correspondence: 16(2): 256-259 (2002).

(3) Smith C.W. Is a living system a macroscopic quantum system? Fr0ntier Perspectives,7(1), 9-15 (1998), (Temple University, Philadelphia, audio tape 0f 1997 lecture fromFrontier Sciences Department).

(4) Smith CW. (2004) Quanta and Coherence Effects in Water and Living Systems. J AlternComplement Med. 10(1); 69-78.Further ReadingFor more about the whole subject of health and hazard in our modem electrical environment, trythe non-technical parts of the book: “Electromagnetic Man” by Cyril W. Smith and Simon Best; t was published in 1989 & 1990 by J.M. Dent, Ltd., London. at present still out-of-print but there are copies in the U.K. public libraries system.

The paper by CW Smith on ‘Nursing the Electrically Sensitive Patient” in: Complementaîy therapies in nursing & midwifery 3:111-116 (1997) and the Guest Editorial ‘Energy Medicine United” 9:169-175 (2003) might also be useful.

There is: “The Electrical Sensitivity Handbook” Lucinda Grant, Weldon Publishing, Prescott AZ (1995) ISBN 0-9635407-2-6. EM Sensitive Patient Support Groups

There are a few ‘EM Sensitive Patients’ Support Groups’ around, these are often run on a voluntary basis by persons who themselves are highly electromagnetically sensitive. It is usually necessary to contact them by postal mail as they may be unable to use a computer, e:mail or telephone.

‘CIRCUIT’ – Electrical Sensitivity Support Group, PO. Box lUZ, Newcastle-upon-Tyne, NE99 lUZ, England. www.ukindex.info/circuit IERVN, PO. Box 231, Sorting Office, Cork, lreîand.

ADECEM, 55 bd. de Strasbourg, F-75010 Paris, France.

Selbsthilfeverein fùr Elektrosensible e.V. Gesundheitshaus der Stadt Mûnchen, Dachauer Str. 90, D-80335 Mûnchen, Germany.

Arbeitkreis fur Elektrosensibile eV. Aleestrasse 135, D-44798 Bochum, Germany. Selbhilfegruppe Elektrosmog Bayreuth, DipI. lng. Franz Mayerhofer, Ringhau 1, D-95515 Plankenfels, Germany.

EI-og Billedskaermsskadede i Danmark, PO Box 88, 3000 Helsengor, Danmark.

FEB, Box 151 26, 104 65 Stockholm, Sweden.

Information sheets: “Electrical Hypersensitivity”, “Technical Guide for the Eîectrically Sensitive” Association for the Electrical Hypersensitive, c/o Per Hysby, Stubbanv. 2, 7037 Trondheim, Norway.

ERGOTEC, PO Box 9571, Arlington VA 22209, USA.

National EMR Alliance, 410 West 53rd St. Suite #402, New York NY 10019, USA.

Microwave Awareness Group 0f Yelm, PO Box 1384, Yelm WA 98597, USA.

Cellular Phone Taskforce, PO Box 1337, Mendocino CA 95460, USA.

Electromagnetic Research Foundation, c/o Dr. Duane Dahlberg, 1317 Sixth Ave. N., Moorhead MN 56560, USA.

Disability Council 0f the White Mountains, c/o Susan Molloy, PO Box 483, Snowflake AZ 85937, USA.

EMR Network , Janet Newton — President, PO Box 221, Marshfield VT 05658, USA.

Electromagnetic Radiation Task Force Canada, Milt Bowling — Director, 3570 Corsica Way, Vancouver BC, VSS 4J3, Canada.

EMFacts Consultancy, PO Box 96, North Hobart, 7002 Tasmania, AustraliaE:mail: Web: http://www.emfacts.com

Klaus Rudolph – Citizens’ Initiative Omega Newsletter Star. Mail@t-online.de

Useful websites

U.K. – www.em-hazard-therapy.com Newsletter

www.breakspearmedical.com

www.powerwatch.org.uk EMF measurements and equipment hire

www.electrosensitivity.co.uk

USA www.aehf.com  American Environmental Health Foundation –

www.microwavenews.com

Sweden – www.feb.se

www.isy.liu.se

Germany- www.buergerwelle.org

© Cyril W Smith, June 2006 – electrical sensitivities 230109

 Suite aux déclarations de Madame la Ministre Roselyne Bachelot sur l’EHS en 2009 :

«  j’ai souhaité rappeler toute l’importance que j’accorde à la prise en compte des souffrances des personnes hypersensibles aux champs électromagnétiques.

Mais comment prendre en charge ces personnes de façon pertinente sans que les causes de leurs symptômes aient été clairement identifiées ?

Les propositions du rapport rejoignent mes préoccupations. Il me semble en effet essentiel de favoriser la recherche sur ces causes. C’est important pour les patients comme pour les professionnels de santé.

Avec les équipes de Cochin, la direction générale de la santé et l’Institut national de l’environnement industriel et des risques étudieront l’élaboration d’un protocole de prise en charge médicale adapté.« 

 le Pr Dominique Choudat, Chef de l’Unité Pathologies Professionnelles de l’Hôpital Cochin, a été chargé par le Ministère de la Santé de mettre en place un protocole de prise en charge adapté de l’électrohypersensibilité..

Le Pr. CHOUDAT  a  été actif dans le déni de la problématique « amiante », peu ou prou en cheville avec le CPA (Comité Permanent Amiante) de sinistre mémoire. Son rôle ayant été de déconsidérer (déjà) les enquêtes sanitaires et autres sur la nocivité de l’amiante, et visant à la relativiser, si ce n’est à prouver son inocuité avec des mesures d’accompagnement et de contrôles, permettant ainsi la poursuite de son exploitation durant de nombreuses années.

Si l’ouverture de cette consultation semble constituer une occasion pour les EHS de se manifester et de contribuer à la prise de conscience du phénomène par le corps médical et les pouvoirs publics, elle  risque fort d’être un piège destiné à les glisser dans la case Psy et nier ainsi la dangerosité des champs magnétiques sur la santé.

  En effet, le Pouvoir PoliticoEconomique n’a aucun intérêt à reconnaître la pathologie de l’EHS puisque reconnaitre cette sensibilité aux champs magnétiques c’est reconnaitre que ces ondes ont un impact sur la santé donc qu’elles sont dangereuses.

Aussi y a-t-il fort à présumer de risques de manoeuvre :

– conclusion d’un phénomène marginal ou inexistant parce que trop peu, ou aucun EHS ne s’est présenté à cette consultation,

– orientation consultative tendancieusement psychiatrique.

Dans le contexte optimiste d’une importante mobilisation d’EHS vers cette consultation, il est certain que tous les efforts des pouvoirs publics seront déployés pour qualifier le phénomène de « psychologique », ou pour discréditer les malades en les faisant passer pour « fragiles ». Quelques uns d’entre-nous en témoignent déjà.

Il faut savoir qu’aucun de ces médecins ne connait l’EHS et qu’ils ne seront pas à même d’apporter des soins appropriés. Quand ils mentionnent « une prise en charge adpatée » il s’agit bien évidemment de  glisser les EHS dans la case psychiatrie.

 Mais, l’ensemble des EHS consultés s’interroge sur l’impossibilité plus réaliste qu’une grande majorité d’entre eux ne pourront même pas se déplacer vers ces Centres de consultation, situés dans des milieux technico-économiques saturés de WIFI, DECT et autres technologies sans fil, et s’accorde à dénoncer une situation d’exclusion médico-sociale supplémentaire de ces patients.

 A tous les EHS qui souhaitent néanmoins saisir cette initiative gouvernementale dans l’espoir d’une prise en compte, le mouvement EHS_ACTION préconise avant tout déplacement l’envoi d’un courrier précisant :

– l’intérêt porté à cette mise en place d’un protocole de prise en charge adapté de l’électrohypersensibilité,

– le détail de leurs symptômes,

– le contexte d’apparition de ces symptômes,

– le contexte de disparition de ces symptômes,

– les conséquences sociales et économiques de leur nouvelle situation sanitaire,

– la description de leurs nouvelles conditions et mode de vie,

– leur impossibilité physiologique de déplacement et de séjournement même bref dans les lieux baignés de champs électromagnétiques.

– quel est le protocole médical prévu.

 Quant à ceux qui répondraient à une convocation dans l’un de ces Centres, il est conseillé  :

– dans la mesure du possible, de se rendre à la consultation un jour où l’on « se sent bien » pour ne pas apparaître perturbé ;

– de décrire posément ses symptômes et ses douleurs, de façon objective et technique plutôt que « passionnelle » ;

– d’apporter tous les documents médicaux que l’on possède, à la fois ceux qui ne montrent aucune anomalie, et ceux qui suspectent une incohérence (encéphaloscan, formulations sanguines comparatives, etc…)

– de mentionner les médecins déjà rencontrés et qui s’intéressent à l’électrohypersensibilité, afin que les praticiens concernés comprennent que des recherches sont en cours et que des confrères prennent le problème au sérieux ; mentionner ce que l’on sait sur les études réalisées ou en cours ; montrer qu’il y a un « corpus scientifique » sur cette pathologie ;

– d’interroger directement le médecin auscultant sur ses connaissances préalables de la pathologie, sur son opinion, sur les protocoles de soin proposés ; l’obliger à « se dévoiler » ;

– de n’accepter de s’engager que dans ce qui semble sérieux, mais de refuser de subir ce qui pourrait faire du mal ou ce qui ne semble pas conséquent ;

– de demander à obtenir une copie du compte-rendu de la consultation;

– de témoigner, si vous l’acceptez, du déroulement de la consultation sur le site spécialement dédié aux EHS en action : http://ehs-action.org/

 Ceux qui souhaitent écrire et dénoncer le fait que seul l’aspect psychologique est pris en compte et que l’étude n’étant pas encore engagée les résultats sont déjà posés, peuvent se manifester aux coordonnées personnelles suivantes :

Service de Pathologie Professionnelle –

GH COCHIN-SAINT VINCENT DE PAUL

27 rue du faubourg Saint Jacques

75014 PARIS

Tel. : 01 58 41 22 61 ou 01 58 41 22 63

 

En province il existe 19 centres répartis sur le territoire, dont vous avez liste ci-dessous :

 

ALSACE / Strasbourg	Service de Pathologie Professionnelle du Pr. Cantineau	Hôpital civil – 1 place de l’Hôpital 67091 STRASBOURG – Tél : 03 88 11 64 66
AQUITAINE / Bordeaux	Service de Médecine du Travail et Pathologie Professionnelle du Pr. Brochard	CHU de Bordeaux Hôpital Pellegrin – Bâtiment PQR 2 – Place Amélie Raba Léon 33076 BORDEAUX – Tél : 05 56 79 61 65
AUVERGNE / Clermont-Ferrand	Service Santé au Travail du Pr. Chamoux	Faculté de Médecine – Bâtiment Extension – 5ème Etage – 28, Place Henri Dunant 63000 CLERMONT-FERRAND – Tél : 04 73 17 82 69
BASSE-NORMANDIE / Caen	Service de Santé au Travail et Pathologie Professionnelle du Dr Clin-Godard	C.H.U. Caen – Av. Côte de Nacre 14033 CAEN Cedex – Tél : 02 31 06 45 49
BRETAGNE / Brest	Service de santé au travail et maladies liées à l’environnement du Pr. Dewitte	Hôpital Morvan – 2 av. Foch 29609 BREST – Tél : 02 98 22 35 09
BRETAGNE / Rennes	Service de Pathologie Professionnelle, de Toxicologie Industrielle et de Médecine Environnementale du Pr. Verger	Hôtel Dieu – 2 rue de l’hôtel Dieu CS 26419 35064 RENNES – Tél : 02 99 87 35 17
CHAMPAGNE-ARDENNE / Reims	UF de Pathologie Professionnelle et Santé au Travail du Pr. Deschamps	Hôpital Sébastopol – 48 rue de Sébastopol 51092 REIMS Cedex – Tél : 3 26 78 89 33 ou 03 26 78 89 34
HAUTE-NORMANDIE / Montivilliers	Centre de Pathologie Professionnelle et Environnementale du Dr. Gislard	C.H. du Havre – Hôpital Jacques Monod – 29 av. Mendes France 76290 MONTIVILLIERS – Tél : 02 32 73 32 08
HAUTE-NORMANDIE / Rouen	Service de Médecine du Travail et Pathologie Professionnelle du Pr. Gehanno	C.H.U. de Rouen Charles Nicolle – 1 rue de Germont 76038 ROUEN – Tél : 02 32 88 82 69
ILE-DE-FRANCE / Paris	Service de Pathologie Professionnelle du Pr. Choudat	Hôpital Cochin – 27 rue du Faubourg Saint-Jacques 75014 PARIS – Tél : 01 58 41 22 61
ILE-DE-FRANCE / Paris	Consultation de pathologie professionnelle et de l’environnement du Dr. Garnier – Centre Antipoison de Paris	Hôpital Fernand Widal – 200 rue du Faubourg Saint-Denis 75010 PARIS – Tél : 01 40 05 41 92
ILE-DE-FRANCE / Bobigny	Unité de Pathologies Professionnelles et Environnementales du Pr. Guillon	CHU Avicenne – 125 rue de Stalingrad 93009 BOBIGNY – Tél : 01 48 95 51 36
ILE-DE-FRANCE / Créteil	Unité de pathologie professionnelle du Pr. Pairon – Service de pneumologie et pathologie professionnelle	Centre hospitalier intercommunal de Créteil – 40 av. de Verdun 94010 CRETEIL – Tél : 01 57 02 20 90
ILE-DE-FRANCE / Garches	Unité de pathologie professionnelle, de santé au travail et d’insertion du Pr. Ameille	Hôpital Raymond Poincaré – 104 Bd Raymond Poincaré 92380 GARCHES – Tél : 01 47 10 77 54
LORRAINE / Vandoeuvre Les Nancy	Centre de Consultations de Pathologie Professionnelle du Pr. Paris	CHRU Nancy – Batiment Ph Canton – Rue du Morvan 54511 VANDOEUVRE LES NANCY – Tél : 03 83 15 71 69
MIDI-PYRENEES / Toulouse	Service des Maladies Professionnelles et Environnementales du Pr. Soulat	CHU de Toulouse – Hôpital Purpan – Place du Dr. Baylac 31059 TOULOUSE Cedex 9 – Tél : 05 61 77 21 90
NORD-PAS-DE-CALAIS / Lille	Service de Pathologie Professionnelle et Environnement du Pr. Frimat	CHRU de Lille – 1 av. Oscar Lambret 59037 LILLE Cedex – Tél : 03 20 44 57 94
PAYS-DE-LA-LOIRE / Nantes	Consultation de pathologie professionnelle et environnementale du Dr. Dupas	CHU Immeuble Le Tourville – 5 rue du Professeur Boquien 44093 NANTES Cedex – Tél : 02 40 08 36 35
PICARDIE / Amiens	Consultation de Pathologie Professionnelle du Dr. Doutrellot-Philippon	CHU d’Amiens-Picardie – Hôpital sud – Av. René Laënnec Salouël 80054 AMIENS cedex 1 – Tél : 03 22 45 56 92
POITOU-CHARENTES / Poitiers	Service de Pathologie Professionnelle et Environnementale (UCPPE) du Dr. Ben Brik	CHU de Poitiers – Hôpital de la Miletrie – 2 rue de la Miletrie B.P. 577 86021 POITIERS – Tél : 05 49 44 30 34
PROVENCE-ALPES-COTE-D’AZUR / Marseille	UF consultation de Pathologie Professionnelle du Dr. Lehucher-Michel	CHU La Timone – 264 rue Saint Pierre 13385 MARSEILLE CEDEX 5 – Tél : 04 91 38 50 90
RHONE-ALPES / Grenoble	Département de Médecine et Santé au Travail du Pr. De Gaudemaris	CHU Grenoble – Hôpital Albert Michallon – BP 217 – 38043 GRENOBLE Cedex 09 – Tél : 04 76 76 54 42
RHONE-ALPES / Pierre-Bénite	Service des Maladies Professionnelles et de Médecine du Travail du Pr. Bergeret	Centre hospitalier Lyon Sud – Pavillon 4M 69495 PIERRE BENITE Cedex – Tél : 04 78 86 12 05
RHONE-ALPES / Saint-Etienne	Service de Santé au Travail du Pr. Fontana	CHU de Saint-Étienne – Hôpital Nord – 42055 SAINT-ETIENNE Cedex 2 – Tél secrétariat : 04 77 82 73 81 (le mardi et le vendredi)