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Infertilité et utilisation du WIFI

 

(riirem Centre de Recherche et d’Information Indépendant sur les Rayonnements Electromagnétiques

Centre de Recherche et d’Information Indépendant sur les Rayonnements Electromagnétiques – Association 1901 N° 0723011863 – 19-21 rue Thales de Milet – 72 000 Le Mans

contact@criirem.org – tél : 02 43 21 18 69 – www.criirem.org -

Infertilité et utilisation du Wifi

Des essais récents réalisés par les chercheurs du Centre de reproduction médicale Nascentis à Cordoba (Argentine) ont étudié les effets des rayonnements électromagnétiques des ordinateurs portables connectés au Wifi sur les spermatozoïdes et la capacité de reproduction.

Le Dr Avendano affirme que la vitalité des spermatozoïdes et leurs mobilités ont été examinées lors de l’expérimentation.

Les spermatozoïdes ont été exposés aux rayonnements électromagnétiques pendant environ trois ou quatre heures : ils ne sont pas morts, mais une réduction notable de leurs mobilités (indispensable pour féconder l’ovule) a été constatée. Des signes de dommages des molécules ADN des spermatozoïdes ont été également mis en évidence. La fragmentation ADN des spermatozoïdes implique que les risques de conception naturelle diminues.

Les conséquences sont donc :

- faibles taux de conception,

- altération du développement embryonnaire,

- augmentation du nombre de fausses couches,

- apparition de divers types de morbidité chez les enfants, y compris les cancers.

Conclusion du Dr Avendano :

“Nous pensons que les champs magnétiques électroniques (CEM) générés par le Wifi peuvent diminuer la qualité du sperme in vivo. Les CEM peuvent pénétrer dans les tissus, il est donc possible que ce rayonnement ait également un impact sur les gamètes femelles. Il est nécessaire de faire des études pour le confirmer. »

Source—http://www.tandemnews.com/viewstory.php?storyid=10620

Cette étude conforte les travaux du Dr Pierre LE RUZ qui déjà dans sa thèse en 1980 démontrait expérimentalement les effets néfastes des Hyperfréquences sur la spermatogenèse des rats exposés pendant la période néonatale.

Recommandations du Criirem :

Désactiver le Wifi de l’ordinateur et de la box

Ne pas travailler avec l’ordinateur portable connecté aux réseaux Wifi sur les genoux,

Pas de jouet électronique, consoles, WII, DS, jeux en réseau… pour les enfants.

La connexion filaire est la seule garantie de ne pas exposer l’enfant aux rayonnements électromagnétiques Wifi.

Pour désactiver le système Wifi, utiliser la touche adaptée à cet effet et agir directement sur la box

(voir la rubrique sur le site du Criirem : www.criirem.org)

Le Criirem demande aux fabricants de box de prévoir un interrupteur du rayonnement Wifi qui coupe toute émission.

Dans un communiqué de presse du 29 novembre 2011, le professeur André Aurengo dénonce le caractère « non scientifique » de l’enquête sur l’impact sanitaires des antennes relais menée par les médecins de l’ASEF.

Les médecins de l’ASEF n’ont jamais prétendu faire une étude scientifique mais une enquête sanitaire. Elle a au moins le mérite de mettre en évidence le besoin des médecins d’être objectivement informés sur la nocivité potentielle des antennes relais. Le professeur André Aurengo, ex-membre du conseil scientifique de Bouygues Télécom, de l’AFOM/FFT, parrain scientifique de l’AFIS et de la revue Science et pseudo-sciences, ne peut avoir qu’un avis tout à fait objectif sur la question… !

Enquête ASEF (Association Santé Environnement France)

Une enquête citoyenne, faite par des médecins de l’ ASEF, sur 143 personnes vivant sous des terrasses d’immeubles occupées par des antennes relais suggère que l’effet parapluie n’existe pas.

Chez les riverains d’antennes relais , l’enquête montre une plus forte présence des symptômes suivants :

Troubles du sommeil : 55% des riverains contre 32% pour la population

Acouphènes : 43% des riverains contre 15% pour la population

Problèmes de concentration : 27% des riverains contre 4% pour la population

Conclusion : nécessité de prendre en considération cette enquête pour faire appliquer le principe de précaution et demander la mise en place de normes protectrices des citoyens exposés à des niveaux de champ faible sur une longue durée.

Cette enquête citoyenne conforte les travaux du Pr Roger SANTINI qui dans de nombreuses publications avait démontré les mêmes troubles comportementaux et avait souligné l’importance des lobes secondaires des antennes relais, qui impactaient fortement les riverains surplombés.

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