Témoignages vidéos d’EHS

Archive pour avril 2013

Mesures CQFD

 

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Qui sommes-nous ?

L’histoire associative de Mesures_CQFDMesures_CQFD, organisme associatif, non agréé COFRAC, appliquant le protocole réglementaire européen CENELEC NFEN50492 optimisé concentré sur la réalité de l’exposition des populations, issu de l’expérience sur le terrain depuis une dizaine d’années et de la participation de ses membres fondateurs au sein du Grenelle des Ondes et du COMOP / COPIC.Dans le cadre de l’expérimentation gouvernementale d’abaissement du seuil à 0,6 V/m dans les 17 Villes pilotes, c’est cette équipe qui accompagnait les organismes « accrédités COFRAC » pour effectuer les mesures dites de « confortation » afin de veiller à la bonne application du protocole réglementaire défini par le COMOP (devenu COPIC entre temps) en partenariat avec les associations de défense de la population pour cette expérimentation.Pourquoi faire appel à Mesures_CQFD ?Les laboratoires agréés COFRAC appliquent le protocole de l’ANFR qui a pour objectif la vérification du respect des normes établies par l’ICNIRP (International Commission on Non-Ionizing Radiation Protection).
Ces normes sont tellement élevées (61 V/m) qu’il est quasiment impossible de les dépasser.A notre connaissance, jamais aucun laboratoire COFRAC n’a mis un opérateur en difficulté pour non respect de ces normes.Les résultats des mesures effectuées par ces laboratoires sont basés sur des calculs statistiques qui permettent d’obtenir un niveau « maximum théorique ».

Au vu de cette situation, Mesures_CQFD a mis au point un protocole qui tente de montrer au plus juste l’exposition réelle au moment de la mesure, en prenant garde de ne pas « théoriser » la réalité.

Les coefficients d’incertitude sont appliqués conformément à la législation et donnent une « fourchette » dans laquelle se situe le résultat des relevés et figurent dans le rapport de mesures.

Le rapport de mesures est édité de manière à être compréhensible par tous.

Les recommandations actuelles (Résolution 1815 du Conseil de l’Europe – Mai 2011) préconisent des niveaux inférieurs à 0,6 V/m immédiatement, et 0,2 V/m dans un second temps. Tenant compte de ces recommandations, Mesures_CQFD est attentif même aux niveaux supposés « faibles ».

 

 

 

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WIFI dans les écoles : c’est dangereux

Académie Américaine de Médecine Environnementale

lundi 15 avril 2013

Selon l’Académie américaine de médecine environnementale, les réseaux wifi dans les écoles – des centaines de fois plus puissants que les systèmes domestiques – sont nocifs pour la santé des enfants.

L’Académie Américaine de Médecine Environnementale est composée de médecins, d’ostéopathes et de chercheurs Docteurs en Médecine qui s’intéressent aux effets des agents environnementaux sur la santé humaine. Depuis quarante ans, l’Académie forme des médecins à traiter ce qu’il y a de plus difficile, à guérir des patients ignorés de notre système médical parce que la cause de leur maladie est un produit chimique, un solvant, ou un métal toxique, pas une bactérie, un virus ou une autre cause traditionnellement connue.
Ces dernières années, nos membres et collègues ont signalé une augmentation des patients dont les symptômes sont réversibles lorsque l’on élimine de leur habitat des appareils radiatifs sans fil comme les téléphones portables, les téléphones fixes sans fil et les systèmes internet sans fil.
Il existe de nouvelles études scientifiques cohérentes, qui montrent que les gens, en particulier les enfants, sont affectés par l’exposition croissante aux radiations sans fil. En septembre 2010, le Journal de la Société Américaine de Médecine de la Reproduction – Fertilité et Stérilité a rapporté que quatre heures seulement d’exposition à un ordinateur portable connecté par wifi endommageaient l’ADN du sperme humain.
En mai 2011, l’Organisation Mondiale de la Santé a ajouté l’exposition au rayonnement sans fil, wifi incluse, à la liste de la classe 2b des carcinogènes.
En octobre 2012, l’Académie Américaine de Médecine Environnementale a lancé une alerte publique sur la Wifi dans les écoles qui disait :
« Des effets nocifs sur la santé causés par les champs de radiofréquences sans fil, tels que difficultés d’apprentissage, défenses immunitaires affaiblies, et maux de tête, existent clairement et sont bien documentés dans la littérature scientifique. Une technologie plus sûre, comme l’utilisation de connexions filaires, est fortement recommandée dans les écoles. »
En décembre 2012, l’Académie Américaine de Pédiatrie – qui représente 60 000 pédiatres – a écrit au Congrès pour lui demander de réviser les normes de sécurité concernant les radiations micro-ondes, surtout pour les enfants et les femmes enceintes.
Les systèmes wifi des écoles sont par définition des centaines de fois plus puissants que les systèmes domestiques qui peuvent vous être familiers. Ils sont aussi des douzaines de fois plus puissants que les systèmes des cafés et restaurants auxquels vous pouvez avoir été exposés…
Les systèmes wifi des écoles sont obligatoirement plus puissants que n’importe quel système de communication micro-ondes de n’importe quel autre ensemble, car ils sont configurés pour faire fonctionner des centaines d’ordinateurs simultanément.
Ils imposent également aux enfants – les plus vulnérables aux radiations micro-ondes – de longues périodes d’exposition toute la journée, durant toute leur enfance. C’est une exposition sans précédent, avec des conséquences inconnues sur la santé et le potentiel reproducteur d’une génération.
Installer ce système à Los Angeles c’est prendre le risque de répandre largement un problème de santé publique auquel le système médical n’est pas encore préparé à répondre.
En octobre 2013, l’Académie Américaine de Médecine Environnementale organise une conférence médicale internationale à Phénix dans l’Arizona pour apprendre aux médecins à identifier des patients dont les symptômes peuvent disparaître si l’on élimine les expositions à la wifi, aux téléphones portables et à d’autres formes de radiations sans fil dans la maison.
Il n’est pas probable qu’il existe actuellement dans le Comté de Los Angeles suffisamment de médecins qui connaissent les effets biologiques des radiations micro-ondes pour diagnostiquer et traiter les nombreux enfants susceptibles de présenter les symptômes de l’exposition à votre système sans fil si vous décidiez d’en installer un.
Les statistiques montrent que vous pouvez vous attendre à une réaction immédiate chez 3% de vos élèves, et des réactions plus tardives chez 30% d’entre eux. Ceci concerne également les enseignants.
L’Académie Américaine de Médecine Environnementale suggère fortement que vous n’ajoutiez pas au fardeau de la santé publique en installant une couverture de connexion internet sans fil dans les écoles de Los Angeles. Les connexions filaires ne sont pas seulement plus saines, elles sont plus puissantes et plus sûres.
Des enfants que la loi oblige à fréquenter l’école requièrent également un niveau de protection plus élevé que la population générale.

 

Des promoteurs technologiques peuvent vous dire que la science n’est pas encore certaine des effets de la wifi sur la santé. Cette incertitude n’est pas une raison pour soumettre une génération d’enfants à une exposition aussi extrême. C’est plutôt la raison sur laquelle doit se fonder la prévention d’un désastre potentiel de santé publique.
Tandis que les équipes de techniciens et de vendeurs mettent en doute la réalité des dangers présentés par les antennes, les téléphones mobiles, la wifi et d’autres formes de radiations sans fil, ce sont les médecins qui doivent gérer leurs conséquences.
Jusqu’à ce que nous, médecins, puissions déterminer pourquoi la wifi et autres communications micro-ondes provoquent des maladies invalidantes chez certains de nos patients et pas chez d’autres, nous vous supplions de ne pas prendre un tel risque connu avec la santé de tant d’enfants qui vous ont fait confiance pour les préserver de tout danger au sein de l’école.

Source : Association romande alerte
http://www.reporterre.net/spip.php?article4099

 

 

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Tout à commencé par des troubles du sommeil

 

Le 3 avril, une étude de l’Institut national de l’environnement industriel et des risques (Ineris) révélait que des rats exposés aux ondes électromagnétiques avaient le sommeil altérer et, notamment, le sommeil « paradoxal » fractionné. Un effet tout à fait plausible, selon Sophie, 43 ans, électrosensible depuis deux ans.

Par
Brigitte
Bègue

[05-04-2013]

sophie pelletier© DR

«Les résultats de l’étude de l’Inéris sur les rats sont tout à fait cohérents avec ce que vivent les électrosensibles. On a tous le sommeil plus fragile. C’est d’ailleurs par des troubles du sommeil que tout a commencé pour moi.

En septembre 2010, je me suis mise à me réveiller brutalement toutes les nuits entre 2 h et 4 h du matin, souvent à heure fixe et dans un état d’hypervigilance. J’étais mieux réveillée qu’en plein jour. Un peu comme l’état « d’alerte » décrit dans l’étude sur les rats. Après, c’était très difficile de me rendormir. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. Je rentrais de vacances, je n’avais aucun stress particulier. C’est arrivé du jour au lendemain. Au bout de 1,5 à 2 mois, j’étais lessivée.

J’ai consulté mon médecin qui m’a prescrit du magnésium. Mais mes troubles se sont aggravés. Quand quelqu’un téléphonait avec son portable à côté de moi, je ressentais comme une pointe au coeur, des douleurs dans la nuque et parfois dans la mâchoire.

Un jour, j’étais en train de somnoler sur mon canapé et tout d’un coup j’ai senti comme un flux électrique qui me traversait le corps de la tête au pied, un peu comme quand on est à la plage et que l’on sent les rayons du soleil nous pénétrer, sauf que là c’était une sensation très désagréable. J’ai demandé à mon mari ce qu’il faisait, en fait, il était en train d’initialiser son nouveau mobile. J’ai compris ce qui m’arrivait à ce moment là, j’étais devenu intolérante aux ondes. Pourtant, à la maison, je n’y étais pas spécialement exposée, en revanche, sur mon lieu de travail à Montparnasse à Paris, c’était l’horreur. Dans mon bureau en étage, entre les antennes-relais du quartier, les rayonnements émis par la Tour Eiffel et de ceux de la gare, l’exposition était maximum.

Selon le Pr Jean-Pierre Libert qui a participé à l’étude de l’Ineris, il pourrait y avoir une mémoire de l’exposition qui fragiliserait l’organisme et se ferait sentir la nuit, ce qui expliquerait les troubles du sommeil. Cinq mois après mes premiers symptômes, j’étais devenue une vraie zombie. J’étais tellement épuisée que j’avais l’impression d’avoir 80 ans, de perdre la mémoire comme si j’étais Alzheimer, j’avais des problèmes de tachycardie, des douleurs thoraciques sont apparues. Le médecin m’a arrêté trois semaines. Je suis ingénieur en environnement. Après quatre tentatives de reprise, j’ai été contrainte à l’arrêt de travail depuis août 2011 faute d’aménagement de mon poste de travail.

Au moment où j’étais le plus sensible, j’arrivais même à sentir les avions voler au-dessus de moi. C’était surréaliste. Quand je raconte tout ça, les gens ont du mal à me croire, c’est tout juste si je ne passe pas pour une folle. Le corps médical aussi est dubitatif. Heureusement, je rencontre de plus en plus de personnes qui se sentent concernées ou interpellées. Des chercheurs et des médecins commencent à se dire qu’il faut chercher à comprendre ce qui se passe pour soigner et prévenir cette maladie, très éprouvante physiquement et moralement »

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Antennes-relais : une étude montre des effets concrets sur la santé de jeunes rats – France Info – 04/04/2013

Antennes-relais : une étude montre des effets concrets sur la santé de jeunes rats - France Info - 04/04/2013

L’Institut national de l’Environnement industriel et des risques a mené une étude, conjointement à l’Université de Picardie Jules-Verne, qui montre notamment que le sommeil des jeunes rats était perturbé par le rayonnement électromagnétique produit, par exemple, par les antennes-relais. De quoi se poser des questions quant aux effets sur les humains.

Les antennes-relais de téléphonie mobile sont une nouvelle fois pointées du doigt. Et cette fois, ce sont des analyses scientifiques qui viennent jeter un certain trouble.

 

Antennes-relais : une étude montre des effets concrets sur la santé de jeunes rats - France Info - 04/04/2013

Les scientifiques de l’Institut national de l’environnement industriel et des risques (INERIS), en collaboration avec l’Université de Picardie Jules-Verne, ont mené des expériences sur de jeunes rats, dont certains étaient exposés à des rayonnements électromagnétiques d’un volt par mètre, soit la puissance que l’on peut ressentir quand on habite ou que l’on se promène près d’une antenne-relais. Les rats exposés ont développé plusieurs affections : une moins bonne régulation thermique, un plus grand appétit, et un sommeil paradoxal (celui des rêves) plus morcelé.

Le plus étonnant, c’est que, à ces niveaux d’intensité qui sont très faibles, on puisse observer des effets qui sont très nets » (René de Seze, directeur de recherche à l’INERIS)

Même si ce fractionnement du sommeil paradoxal a forcément un effet, les scientifiques doivent poursuivre leurs expériences pour déterminer lequel. Une certitude : l’exposition à ces champs électromagnétiques perturbe le corps des rats, et par extension, celui des hommes.


Source : http://www.franceinfo.fr/environnement/antennes-relais-une-etude-montre-des-effets-concrets-sur-la-sante-de-jeunes-939875-2013-04-04

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Tout savoir sur le WIFI…

L’Agence Européenne de l’Environnement, le Parlement Européen et de nombreux médecins dans le monde ont décrit le Wi-fi comme une technologie toxique.

Le Conseil de l’Europe, lui, préconise l’abandon du Wi-fi dans les écoles et recommande la baisse des seuils d’exposition des antennes-relais de téléphonie mobile depuis 2011.

En effet, les ondes du Wi-fi (mais également du portable, du sans-fil DECT et du Bluetooth) sont totalement différentes des ondes radio et télévision hertziennes car ce sont des micro-ondes pulsées en basses fréquences. Le Wi-fi émet sur une porteuse micro-onde de 2,45 Ghz (fréquence d’agitation des molécules d’eau utilisée dans les
fours micro-ondes) une grande densité de fréquences extrêmement basses (texte, voix, image, vidéo), qui sont “pulsées par saccades”, en faisant une technologie incompatible avec la santé, même à 0,1V/m !

Car c’est la nature du signal qui est toxique et non l’intensité du Wi-fi, qui même à très faible puissance, désorganise les processus physiologiques et détruit des structures biochimiques, entraînant la perte d’étanchéité de la barrière hémato-encéphalique, une baisse de production de la mélatonine et d’acétylcholine (sommeil, mémoire, concentration…) et des dommages génétiques irréversibles.

Il a également été prouvé que l’effet biologique de ces émissions composites est une production de protéines de stress avec résonance sur les ondes Delta du cerveau.
Plusieurs études EN DOUBLE AVEUGLE ont décrit l’EHS comme un trouble neurologique sans lien avec le psychisme. Plusieurs études portent même sur les animaux (cigognes, bovins, grenouilles…) et la flore . Les symptômes sont l’insomnie, les maux de tête, la perte de concentration et de mémoire, les troubles cardiaques et de l’humeur.

Le syndrome l’électro-hypersensibilité (EHS) pouvant occasionner un mal être physique sur 2 à 10% des individus, le Conseil de l’Europe, le Parlement Européen, l’OMS et plusieurs Etats aux U.S.A ont décrit l’EHS comme un trouble physiologique et non psychologique. L’OMS, en 2011, a même classé ces ondes en “cancérogène possible” (2B).

Il existe aujourd’hui de nombreux travaux scientifiques qui démontrent que ce type d’onde peut occasionner le cancer (cerveau, thyroïde, glande parotide …)

Les militaires appellent ces effets sanitaires le “syndrome des microondes”, depuis les années 60 !

Fin 2009 en Italie, un jugement de Cour d’Appel a finalement établi un lien de causalité entre téléphone mobile et cancer mais il faudra sans doute bientôt, comme à l’époque du tabac et de l’amiante, remettre en question une technologie que l’on disait jusqu’alors inoffensive…

L’amiante a, en effet, cessé d’être couverte par les assurances américaines dès 1919. Les ondes de la téléphonie mobile et du Wi-fi depuis le début des années 2000 ! Les informations réelles sont parfois étouffées par une version officielle fournissant des expertises biaisées. On lit , cependant, dans des polices courantes de compagnies
d’assurance que font partie des exclusions générales :

– les dommages amiante,
– les dommages plomb,
– les dommages champs et ondes électromagnétiques,
– les dommages OGM.

On entend, malgré cela, dire que si c’était si dangereux ça se saurait et qu’il n’est pas possible qu’une technologie autant utilisée puisse continuer d’exister en occasionnant tous ces dommages… C’est ignorer qu’en Angleterre, en Allemagne et en Autriche, le Wi-fi a été interdit dans les écoles et que le gouvernement allemand recommande
depuis 2007 d’éviter le Wi-fi pour raisons sanitaires.

On entend, enfin, dire que si le Wi-fi provoquait le cancer, il y aurait déjà des millions de cas vu qu’il a pénétré le monde entier depuis 2005. C’est ignorer que de nombreux cas existent déjà et qu’il faut au moins 20 ans entre le début d’une exposition et le développement d’un cancer…

Ainsi, en attendant la reconnaissance officielle de sa toxicité, nous vous recommandons de désactiver le Wi-fi (activé par défaut sur les Box internet ) et d’utiliser un câble de connexion filaire. On comprend que dans un contexte de déni, vous ne serez pas encouragés à arrêter votre Wi-fi, si pratique et si moderne, surtout si vous ne “sentez rien” et avez l’impression de “revenir en arrière”. Mais souvenez-vous que c’est souvent après coup que la vérité éclate.

Nous vous encourageons à prendre cette responsabilité sans attendre, pour vous, vos proches et vos enfants. Notez que sur le plan technique, une connexion filaire est plus stable, plus rapide et moins accessible aux pirates.

Vous trouverez ici les conseils pour remplacer votre Wi-fi par une connexion filaire, y compris entre deux étages :
http://www.robindestoits.org/_a227.html




Ondes et Rayonnements :

-> http://www.robindestoits.org/
-> http://www.lesretombesduprogres.com/

-> http://www.robindestoits.org/Comment-desactiver-le-wifi_a227.html

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is technology killing us ?

Is modern life making us ill? Yes, say those who suffer from electrosensitivity. Are they cranks, or should we all be throwing away our mobile phones? More images from photographer, Thomas Ball’s on-going project on electrosensitivity

Electrosensitivity: Tim Hallam

 

Tim Hallam, Leamington Spa
Tim is a science and history of art graduate from Cambridge University. He has insulated his bedroom and has fitted foil on the walls, under the floor and on the ceiling. He sleeps in a custom-made silver-coated sleeping bag every night, which helps block out electromagnetic fields. Tim can’t work in an office environment and the condition has severely impacted his career aspirations. He currently drives a supermarket delivery van. ‘Where I’m living now, it’s not a great situation,’ he says. ‘I’m lucky that the shielding worked to a large degree. But I would love to live somewhere I didn’t have to live in a metal box and sleep in a bag, where I could go to a cafe and see my friends, go to the cinema – all those things that people take for granted.’

 

Electrosensitivity: Damian May

 

Damian May, Reading
Damian is a cabinet maker and runs a property-maintenance business. He discovered he suffered from electrosensitivity after buying a Nintendo Wii for his family for Christmas. It triggered severe headaches and body pains. His electrosensitivity has made it very difficult for him to run his company, because he finds it painful to work in areas with Wi-Fi or mobile phones. He has turned off everything wireless in his home, has insulated his office and is campaigning to have Wi-Fi removed from his son’s school

 

Electrosensitivity: Eileen O’Connor

 

Eileen O’Connor, Merseyside
Eileen lived 100m from a mobile phone mast for many years in Wishaw. She experienced many symptoms typical of electrosensitivity, but could not work out the cause. When she was diagnosed with breast cancer aged 38 and discovered that a number of her neighbours had similar symptoms and cancers, she became part of a very public campaign to have the mast removed. She is a director for The Radiation Research Trust charity and works with the International EMF Alliance. ‘It’s heartbreaking to see people who are not getting support at the family,’ she says. ‘It’s awful. It’s a double insult, really – not only are you suffering with this terrible condition, but then you’ve got people who think you’re going crazy at the same time.’

 

Electrosensitivity: Chris McKenzie

 

Chris McKenzie, Cumbria
In 2008, when Chris moved into his own flat, he quickly became ill and suffered headaches, body pains and insomnia. He attributed this to exposure to Wi-Fi, which he had never lived with before. His family found it hard to understand the condition, especially when he wore a tin foil hat at home and stopped work as a stone mason. His mother sent him to a psychologist for help, and he was placed on heavy medication and sent to a psychiatric ward against his will. ‘There were questions coming everywhere, they were putting words into my mouth. They were saying, « You know this isn’t real, don’t you? » I got dragged away to a psychiatric ward with people who have serious mental conditions.’ He sought help from the charity Electrosensitivity UK and was later released. He now lives on his own and has made various attempts to shield his home from electromagnetic fields with carbon paint and aluminium foil.

 

Electrosensitivity: Dr Erica Mallery-Blythe

Dr Erica Mallery-Blythe, Lincolnshire
Erica worked as an emergency medical doctor for 12 years in trauma rooms across the UK and abroad. In 2008 she became interested in radiation research and is now a medical advisor for the charity Electrosensitivity UK. She advises EHS sufferers on how to improve their health, and in serious cases has given refuge at her rural home to people needing to escape their home environments. ‘It’s very uncharted territory in terms of what exactly EHS is, and how many people it’s affected. My own personal instinct is just like with so many other things we see in life, it’s a bit of a bell-shaped curve. You’ve got some people who show almost no reaction whatsoever to an EMF challenge, and others you would say have EHS, who are at the other side of that curve, and their life is utterly turned upside down by it, given the modern world. Most people will probably fall somewhere in between.’

 

Electrosensitivity: Clare Woodward

Clare Woodward, Devon
Clare worked as a computer programmer for nine years and then retrained as a complementary therapist. When her family moved into a new house in Devon, she began suffering from insomnia and heart palpitations, which she attributed to a mobile phone and Tetra* mast very close by. They have since insulated their home at great expense with carbon paint and specialist windows.
* Tetra – Terrestrial Trunked Radio – is a powerful two-way radio system primarily used by the emergency services

 

Electrosensitivity: Hannah Metcalfe

 

Hannah Metcalfe, Kent
Hannah suffered from psoriasis as a child and started sun bed treatment at the age of nine to help clear up her skin. In her late 20s, she started developing severe migraines and fatigue when working in offices with fluorescent lights. She always felt discomfort when using a mobile phone. The severity of her symptoms got worse when she later discovered a sensitivity to Wi-Fi. She gave up her job as a trainee criminal solicitor in 2010 and now lives with her husband and two children on a farm in Kent. ‘When I realised that Wi-Fi was making me ill, I also turned off the digital phone, so [there] was nothing wireless in the house. I went from feeling like this sluggish person to feeling so vibrant and alive, with so much energy. It’s just amazing to feel well.’

Electrosensitivity: Freda Thornhill

 

Freda Thornhill, retired teacher; photographed in Westbury-on-Severn, Gloucesterhsire
Freda’s first symptoms of electrosensitivity began in 1999 while using computers and CRT monitors at school. The condition became so severe that she had to give up her job. She is now also affected by mobile phones and Wi-Fi, and spends extended periods of time away in her ‘lifeboat van’ so she can escape the electromagnetic fields at home

 

Electrosensitivity: Dr James Rubin

 

Dr James Rubin, Department of Psychological Medicine, King’s College London
James has carried out provocation studies on people who report to suffer from electrosensitivity. ‘There was no evidence that it was the electromagnetic field per se that was causing the symptoms. Instead, it was something to do with believing that you were being exposed that was responsible for the symptoms’

 

Electrosensitivity: Jenny Layton

 

Jenny Layton, Devon
When she developed unexplained headaches, tinnitus, heart palpitations and insomnia, she and her GPs were at a loss as to the cause. After months of research, she finally attributed her symptoms to a new neighbour who had set up Wi-Fi next door

 

Electrosensitivity: Michelle Berriedale-Johnson

 

Michelle Berriedale-Johnson, London
Michelle has run a series of magazines and websites for 20 years, covering issues related to food allergy and intolerance. Her electrosensitivity began after heavy use of mobile phones and CRT computer monitors for work. She is now also affected by Wi-Fi and has insulated much of her home. She is photographed wearing a jacket made from a silver-coated material that reduces the strength of electromagnetic fields

 

Electrosensitivity: Prof Olle Johansson

 

Prof Olle Johansson, department of neuroscience, Karolinska Institute, Sweden
‘From the very beginning, it was said that this was just a post-menopausal problem in women. Then men started to report electro hypersensitivity, and the self-proclaimed experts said it’s actually only elderly [people], because they are afraid of new technology. We then started to get children and teenagers and young people, and they rolled out a new explanation, which was that it’s actually people with higher education. And it went on like this. But today you can see that any political colour, any income class, both sexes, all age groups, are affected’

 

Electrosensitivity: Raphael Cuesto

 

Raphael Cuesto, London
In 2004, while working for a telecommunications company in Kuala Lumpur, Raphael noticed that he was developing pains in his arms and hands every time he worked on his laptop. His symptoms got worse and he began getting headaches and heart palpitations when using his mobile for only a few minutes, and this progressed to almost immediate pain when he brought the phone near his head. He decided to stop using his mobile altogether and left his job. He is now a teacher. ‘When you spend a minute on the phone and get palpitations, you know you have to do something about it. I remember one day turning [over] a piece of paper and writing in the middle of the page, « Jobs without a mobile phone. » I had to change everything’

 

Electrosensitivity: Ray Parsons

 

Ray Parsons, Weston-Super-Mare, retired joiner
When Ray started developing severe fatigue and body pains in his late 40s, he initially thought he had developed ME. After eight years of analysing his symptoms, he concluded that he was, in fact, suffering from electrosensitivity. He is photographed in his sitting room, where he has fitted a silver-coated netting over the window that reduces the strength of electromagnetic fields

 

Electrosensitivity: Steve Miller

Steve Miller, Cornwall
Steve is a successful record producer. His electrosensitivity to Wi-Fi and mobile phones has forced him radically to change his lifestyle and to give up touring almost entirely. ‘I went to see a friend in Falmouth and he’s surrounded by student flats and Wi-Fi coming in from all directions. I put up with it for a while because I thought, ‘I’m being rude, there’s something other than this, something’s wrong with me’. By the time I actually managed to leave, I staggered out of the building, couldn’t drive for an hour – I didn’t feel safe to drive – and then felt rotten for next two days. It was at that point I spoke to a GP about it and he said you’re probably electrosensitive to pulsed microwave radiation, which is, wireless, phone masts, mobile phones, cordless phones’

 

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