Témoignages vidéos d’EHS
  • Les abeilles électrosensibles ?:
      https://www.ouest-france.fr/bretagne/lorient-56100/du-faouet-vers-rennes-le-convoi-mortuaire-de-300-apiculteurs-bretons-5733656 et si les abeilles étaient, elles aussi, EHS électro-hypersensibles ? La combinaison des ondes prédatrices et de...

  • Déficit de l'attention et dopamine:
    J'adore cette rubrique du Figaro : elle est l'antenne institutionnelle pour conter toutes sortes de bêtises...

Témoignages

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Béziers : geek et électrosensible, il se soigne de nature

L’activité professionnelle d’Antoine dépend du monde numérique.
PIERRE SALIBA

Handicapé par une trop longue exposition aux ondes, le graphiste 3D a dû changer de vie. Et veut aujourd’hui témoigner.

Electrosensible, Antoine (prénom d’emprunt) ne souhaite pas davantage d’exposition médiatique qu’aux ondes électromagnétiques. Mais il accepte de témoigner. Il donne rendez-vous dans un restaurant de Villeneuve-lès-Béziers qui vante pourtant son installation Wi-Fi. « Je vais mieux aujourd’hui, je peux supporter une exposition de deux heures, après il faut que je me décharge de ces rayonnements », lâche le trentenaire qui affirme avoir fait une overdose d’ondes.

« Je me réveillais en pleine nuit avec les bras paralysés »

Jusqu’en 2014, il habite à Suresnes dans un immeuble de 12 étages sur lequel sont implantés trois relais 3G, des antennes UMTS, très puissantes, précise-t-il. « Il m’a fallu quatre ans pour développer une électrosensibilité. À ce moment-là, j’étais tendu comme une corde de piano. Une fatigue chronique s’est installée, je suis devenu irritable, j’avais des problèmes de concentration. Je me réveillais en pleine nuit avec les bras paralysés. Quand je téléphonais, j’avais rapidement mal à la tête… »

Il subit alors une batterie de tests à l’aveugle, menés par le professeur Belpomme, qui confirment à 90 % son électrosensibilité. « Rapidement, j’ai enlevé tout rayonnement chez moi, Wi-Fi, Courant porteur de ligne, mais le malaise persistait, j’en ai déduit qu’il provenait des antennes. »Geek et électrosensible
Une volonté de témoigner

Alors qu’un projet de passage en 4G sur le toit de son immeuble est annoncé, il travaille comme graphiste 3D pour des jeux vidéo mais s’exile volontairement dans le sud : « Ce n’est pas une question de philosophie, mais de rejet physiologique. Je suis toujours un geek, c’est bien la preuve que ce n’est pas une phobie », assume-t-il, pas réfractaire au progrès.

Il poursuit, propose aujourd’hui des perspectives 3D pour des architectes ou des paysagistes depuis un bureau d’où il a chassé les ondes parasites. Il émane de sa personne une impression de “spleen basse tension”. Son visage s’éclaire : « Je suis simplement posé. Je vous ménage. Sourit-il. Si je subis tout ça, c’est que j’ai quelque chose à en faire : témoigner, CQFD », rassure le militant de Robin des Toits.

« L’idéal, c’est de marcher pieds nus dans l’herbe ou sur la plage »

Mais il se connecte le plus souvent possible sur la nature, l’idéal, pour se ressourcer après une « exposition à des fréquences qui provoquent comme une lente électrocution. » Au risque de paraître un peu “original” il explique ses techniques pour se libérer : « Je vais faire un tour dans la nature, j’évacue. L’idéal, mais c’est compliqué l’hiver, c’est de marcher pieds nus dans l’herbe ou sur la plage, ça fonctionne d’autant mieux avec le sel… »

Antoine préconise aussi d’autres techniques. Mais son “handicap” ne le réduit à l’ermitage. « Les électrohypersensibles sont condamnés à la désociabilisation, à une vie des cavernes. Pas moi. Je continue de voir des amis. Les personnes respectueuses sont attentives à éteindre leur Wi-Fi ou éloigner leur téléphone. » Pour les employeurs, dans son domaine, la chose se complique : « Je ne dis jamais que je suis électrosensible, ça ne ferait pas sérieux, je n’ai pas envie de passer pour un emmerdeur. »

Le 10/04/2016 16:20, karim c a écrit :

( si quelqu’un le récupère ) …

http://www.midilibre.fr/2016/04/09/geek-et-electrosensible-il-se-soigne-de-nature,1314297.php

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L’EHS – l’enfer en trois lettres

LA PROVENCE

ActualitésSanté
Jeudi 03/03/2016
Château-Arnoux-Saint-Auban

Ann-Charlotte souffre d’electro-hypersensibilité.

La Parisienne, réfugiée à Saint-Auban témoigne

Santé - EHS : l'électro-hypersensibilité, l'enfer en trois lettres - 1
Le nombre de sujets diagnostiqués « électro-hypersensibles » ne cesse de croître. PHOTO A.MT.

L’électro-hypersensibilité (EHS), découverte il y a une vingtaine d’années concernait un nombre infime de personnes. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Et si les évaluations scientifiques ne sont pas terminées, un peu partout, l’apparition de nouveaux cas, de nouvelles formes de réactions aux ondes électromagnétiques pulsées, incitent les États à légiférer, au nom du principe de précaution.

L’association pionnière Robin des Toits, l’Anses, l’OMS, la Crirem… Tous ont préconisé de limiter la prolifération, l’intensité de ces émissions, et de limiter l’usage du téléphone pour les enfants. L’évolution des technologies inquiète les malades qui souffrent d’EHS. Les territoires vierges de toutes pollutions électromagnétiques se réduisant de jour en jour.

Le colloque organisé à l’Assemblée Nationale le jeudi 11 février, en vue de la reconnaissance de l’électro-hypersensibilité, donne un peu d’espoir. Il a permis à des experts réputés de préciser les risques et les urgences.

Pierre Le Ruz, président de la Commission de recherche et d’information indépendantes sur les rayonnements électromagnétiques, Dominique Belpomme, cancérologue et président de l’Association pour la recherche thérapeutique anti-cancéreuse,  Pierre Biboulet, médecin expert, les médecins Béatrice Milbert, Alain Collomb, Catherine Neyrand, et Maître François Lafforgue sont unanimes : « Les impacts sur la santé des ondes électromagnétiques « pulsées » sont indéniables. Avec le déploiement actuel des objets connectés, les expérimentations de la 5G pour la téléphonie mobile, le fixe sans fil, toujours plus de WiFi dans les lieux publics, nous sommes plus que jamais entourés d’un brouillard d’ondes« .


« Les bébés et les enfants sont en danger »

Bibliothécaire et documentaliste dans un établissement parisien, elle exerce également comme traductrice en milieu associatif. Ann-Charlotte, 32 ans, souffre d’EHS depuis l’adolescence. C’est le professeur Belpomme qui a diagnostiqué chez elle la maladie. Le 20 janvier dernier, foudroyée par une crise inflammatoire qui affectait la plupart de ses organes, elle a dû se soustraire à la pollution électromagnétique citadine, direction Saint-Auban pour se « réfugier » provisoirement, chez sa grand-mère. « Nous avons l’impression d’être abandonnés de tous et que nos hommes politiques ne prennent pas la mesure du problème. Nos voisins vivent très mal nos exigences si on leur demande, par exemple, d’éteindre leur Wi Fi  quand ils ne l’utilisent pas. Parfois on nous regarde comme si on était des malades mentaux ! » Les travaux du professeur Belpomme publiés récemment démontrent qu’il existe désormais des critères cliniques et des marqueurs biologiques permettant de diagnostiquer une électrosensibilité. « Nous avons besoin d’une vraie reconnaissance de notre maladie. Il est indispensable de créer des zones « blanches » – d’appliquer, comme en Autriche, en Espagne, en Angleterre ou en Suède, le principe de précaution avec limite de l’intensité. Nous sommes en danger, les bébés, les enfants sont en danger. Des détériorations cérébrales et cardiaques sévères sont à craindre à moyen ou à long terme ».

 

http://www.laprovence.com/article/actualites/3827019/ehs-lelectro-hypersensibilite-lenfer-en-trois-lettres.html

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Cinq années de galère….

Cinq années de galère… Fin 99, j’ai déménagé dans une nouvelle maison à la campagne. Un boulot passionnant, une femme adorable, des jumeaux de 2 ½ ans, le rêve allait commencer…

Le rêve ?… Par la suite, mon état de santé n’a cessé de se dégrader. Au départ, insomnies du dimanche soir. Je me disais que c’était dû à la reprise du boulot le lendemain. Ensuite, nervosités, tensions, manque de concentration, aucune résistance au stress, manque de motivation, troubles de panique, oppression thoracique, vertiges, intolérance aux déodorants,… le sentiment de n’être jamais heureux, alors que tous les éléments étaient là pour concourir à mon bonheur. En plus, cela ne correspondait pas du tout à ma personnalité. Je n’y comprenais rien.

L’année 2004 fut catastrophique. Il m’était devenu impossible de dormir correctement. Je n’étais plus capable de faire un jogging. La descente aux enfers avait commencé. Mon état se dégradait irrémédiablement. Je me voyais plonger vers une SFC (Syndrome de Fatigue Chronique) ou Fibromyalgie.

Premier congé de maladie, visites chez de nombreux médecins, test du sommeil… Rien, aucun résultat, excepté le diagnostic d’un très mauvais sommeil. Les médecins et psychologues m’ont fait croire que le problème était psychosomatique.

Je restais convaincu que mon problème était ailleurs et était dû à une cause inconnue.

Un jour, je me suis rendu compte que mon ordinateur m’énerve. Dès que je l’approchais, que j’y travaillais pour mon boulot ou pour mon plaisir, j’avais envie de le jeter au loin.

Je venais d’installer un réseau Wifi à la maison.

A partir de ce moment, j’ai appris à reconnaître les symptômes du stress électromagnétique.

J’ai entamé des recherches sur Internet, et découvert les nombreuses sources de pollution électromagnétique – téléphone DECT, détecteurs de mouvements de l’alarme anti-intrusion. J’en étais équipé depuis mon déménagement il y avait un peu plus de cinq ans. Je les ai supprimés.

Mon état s’est légèrement amélioré, mais j’étais encore loin de la guérison. J’ai décidé d’aller dormir ailleurs, à une autre adresse. De suite, mes nuits ont été meilleures. Mes insomnies étaient moins fréquentes. Elles étaient surtout beaucoup plus calmes. A la maison, après un endormissement normal, je me réveillais brutalement atteint par des troubles de panique, des vertiges. Je devenais fou et je ne savais plus où me mettre. Il m’était par ailleurs impossible de me rendormir. Ailleurs, je me mettais en relaxation et j’arrivais à me rendormir.

A la maison, il restait une source d’ondes électromagnétiques que je ne pouvais pas supprimer.

Depuis fin 2003, un opérateur Mobile avait installé une antenne relais à 250 mètres de mon domicile. Pour me protéger et suite au succès de mes nuits passées en dehors de chez moi, j’ai décidé de construire une cage de Faraday et d’y installer mon lit. Pendant la journée, je portais une casquette de protection contre les ondes.

L’histoire de la casquette de protection est incroyable. A la maison et au pire de ma maladie, je restais dans un fauteuil. J’étais incapable de faire quoi que ce soit. Chaque fois que je prenais l’air à l’extérieur, lorsque je rentrais chez moi, j’éprouvais des vertiges, maux de tête. Je devais m’asseoir ou me coucher, ne rien faire et attendre que cela passe. Un jour, en n’y croyant pas, je me couvre la tête de papier aluminium et je mets une casquette par-dessus. Un quart d’heure après, je me sentais mieux. Les résultats étaient incroyables. C’est alors que j’ai commandé une vraie casquette de protection sur Internet. Depuis, à la maison, je ne la quittais plus.

J’ai même osé porter la casquette au boulot. Tous les débuts d’après-midi, j’éprouvais un manque de concentration flagrant. Je devais relire dix fois la même phrase pour la comprendre. Je mettais la casquette et cinq minutes après je retrouvais ma concentration.

Depuis ce moment et petit à petit, j’étais arrivé à gérer mon exposition aux ondes. J’avais retrouvé une motivation et une concentration normale. Mes nuits étaient devenues nettement meilleures et j’ai eu moins d’insomnies. Les insomnies apparaissaient encore dans certaines situations – travail intellectuel intensif durant la journée, – exposition à des fumées (cigares, cigarettes, barbecue,…), lorsque je nettoyais ma voiture au karcher (cela paraît absurde mais c’est la réalité!) – stress imprévu, – utilisation d’une pommade contre les irritations de la peau, – changement de dentifrice … . Mais je restais calme et elles étaient gérables par la relaxation.

L’IBPT est venu mesurer la puissance des ondes électromagnétique à mon domicile. La puissance maximale mesurée dans les pièces les plus exposées dont ma chambre à coucher, est de 0,17 V/m. Il a également mesuré ma cage de Faraday. Il y avait une diminution de 25 dB, soit une diminution d’un facteur 100.

Ce résultat m’a quelque peu rassuré. Mais n’apportait aucune solution à mon problème de santé. La question me hantait. Pourquoi ne suis-je pas capable de supporter de si faible puissance.

Avant de me protéger contre les ondes, j’avais essayé de nombreux traitements, anti-dépresseurs, somnifères, neuroleptiques, mélatonine, … . Mais celui qui donnait le meilleur résultat était à base d’antioxydants (Chlorella ou Chlorelle).

Finalement, un médecin spécialisé en médecine environnementale m’a prescrit différentes analyses. Deux analyses (test Melisa sur différents métaux et test des Porphyrines urinaires) ont diagnostiqué deux anomalies. La première a décelé une intolérance au dioxyde de titane (colorant alimentaire : E171). La seconde a conclu à une intoxication au mercure, plomb ou autres toxiques organiques. Une autre analyse a corroboré la thèse de l’intoxication (analyse des neurotransmetteurs – excès au niveau Dopaminergique et déficit au niveau Sérotonique).

Une contre analyse faite au Luxembourg a rejeté la piste d’une intoxication au mercure. Une autre a rejeté l’intoxication au plomb. D’autres analyses complémentaires n’ont pas pu identifier la véritable origine de mon intoxication.

Selon mon médecin, cette intoxication perturbe le fonctionnement du foie et nuit à la détoxification de mon organisme. Elle perturbe la réaction de méthylation. Ce mauvais fonctionnement empêche la fabrication d’antioxydants naturels et surcharge mon organisme en radicaux libres.

De plus, lorsque le dioxyde de Titane a la taille d’une nanoparticule il pourrait être également une autre source de radicaux libres. Il pourrait également jouer un rôle au niveau biologique et chimique[1].

Le dioxyde de Titane est étudié comme revêtement de surface pour ses propriétés dépolluantes. « Le TiO2 absorbe l’énergie des photons issus du rayonnement UV, et les restitue aux molécules d’eau présentes dans l’air pour permettre la création de radicaux libres. Ces radicaux extrêmement réactifs sont des oxydants très puissants qui agissent sur les particules polluantes absorbées »[2].

Est-ce que le Dioxyde de Titane ingéré est aussi inerte que ce que l’on prétend ? Quelle peut-être sa réactivité face aux ondes électromagnétiques qui nous environnent ? Quelle est son influence sur le stress oxydatif de l’homme ? Beaucoup de témoignages d’électrosensibles mentionnent des implants en métal. Souvent ces implants sont en Titane. Est-ce qu’un implant en Titane peut s’oxyder et produire du Dioxyde de Titane ?

L’étude qui a servi à son approbation dans la chaîne alimentaire semble bien désuète. Seul le foie, les reins et les muscles d’une population de rats ont été analysés après ingestion[3]. De plus une différence importante apparaît dans les mesures d’excrétion du Dioxyde de Titane. Les femelles ne rejettent en moyenne qu’une quantité de 1,1 à 1,3 mg alors que les mâles excrètent de 1,1 à 2,2. Aucune analyse n’a été faite sur le cerveau et sur une influence potentielle sur le stress oxydatif.

J’ai commencé un traitement pour éliminer les métaux lourds et pour drainer le foie et les reins.

Après cinq mois de traitement, mon état général était bon. J’avais retrouvé mon humour, ma motivation, mon bien-être. J’étais redevenu tout simplement heureux de vivre. Je n’étais plus sensible aux ondes. Je pouvais rester à coté d’un téléphone DECT sans ressentir les symptômes. Mieux, je suis informaticien et je suis souvent envoyé en mission chez des clients. Chez un de ces clients équipé de réseaux Wifi, une année auparavant il m’était pénible de rester pour y travailler. J’y suis retourné pour une courte mission. J’ai pu y effectuer mon travail normalement sans ressentir de symptômes. A de rares moments d’engouement ou de travail plus intensif, je les ressentais à nouveau mais je ne souffrais plus d’insomnies après une journée de travail.

Après sept mois, je me sentais vraiment en confiance. Je ne ressentais les symptômes qu’a de rares occasions. Deux semaines auparavant j’avais abandonné ma cage de Faraday et mon sommeil était resté de bonne qualité.

J’avais décidé peu de temps avant le traitement d’arrêter toute consommation de café. Le café étant un excitant, j’avais préféré l’éliminer.

Un jour j’ai repris un café avec mes collègues. La nuit qui a suivi a été terrible. Je me voyais revenir six mois en arrière, insomnie totale, vertige, crise de panique. Je me demandais vraiment ce qui en était la cause. Durant cette fameuse nuit, je pensais remonter ma cage de Faraday. C’est à ce moment que j’ai pensé reporter ma casquette de protection. Aussi absurde que cela puisse paraître, je me suis de suite calmer et j’ai pu m’endormir.

Mon médecin n’était pas vraiment surpris. Pour lui, mon organisme élimine mal certaines toxines ou déchets. Il est plausible que mon organisme ne supporte pas la caféine et la digère très mal.

Il est apparemment reconnu que les nano particules de type Dioxyde de Titane passe la barrière hémato encéphalique et qu’ils peuvent être source de radicaux libres. Les fumées de cigares (j’étais un amateur occasionnel) sont également sources de radicaux libres. Toute activité physique entraîne une augmentation du stress oxydatif. Par conséquent, le moindre excès sature mon organisme en radicaux libres. A mon avis, les ondes électromagnétiques jouent certainement un rôle au niveau de mon stress oxydatif.

Il y a une corrélation directe entre mon exposition aux ondes et mon bien-être. Par deux fois, j’ai essayé de dormir en dehors de ma cage de Faraday. A chaque fois, les problèmes recommençaient au bout de deux semaines. A chaque fois également, une augmentation de la dose d’antioxydant me permettait de résoudre en partie le problème, de même qu’une protection encéphalique. Après un mois en dehors de la cage, la protection encéphalique n’était plus suffisante et un retour à la cage de Faraday devenait obligatoire. Je suis persuadé qu’il existe une certaine inertie à l’exposition aux ondes. Il faut parfois beaucoup de temps avant d’en ressentir les effets. Après quelques mois, un repos d’une nuit à l’abri des ondes semble être suffisant pour supporter une exposition diurne.

Il ne me reste plus qu’un symptôme physique. Je sens une gêne au niveau du cœur. Cette gêne est plus ou moins forte par moments. Je n’ai pas encore trouvé de logique à cette variation. Néanmoins, la gêne augmente quand j’interromps mon traitement à base d’antioxydants.

Mon envie de témoigner a été motivée par les graves conclusions que l’on peut en tirer et les tragédies que pareilles maladies peut entraîner. Ne pas témoigner lorsque votre bien-être a été dégradé à un point tel que votre vie était menacée est de la non-assistance à personne en danger.

Un de mes anciens collègues de travail était également électrosensible. Il est venu à la maison pour voir ma cage de Faraday. On s’est échangé quelques emails, je comptais le contacter à nouveau pour lui expliquer mon amélioration. Il ne m’en a pas laissé le temps. Dernièrement, j’ai appris qu’il avait mis fin à ses jours. Aujourd’hui, je m’en veux. J’aurais du le contacter plus tôt…

Cet ex-collègue avait été diagnostiqué atteint par une SFC (Syndrome de Fatigue Chronique). Il m’avait fait part de son expérience et des solutions qu’il avait trouvées. Après un voyage en Inde, il se disait guéri. Là-bas, il avait suivi des séances d’acupuncture. Depuis son retour, son état se dégradait irrémédiablement.

Aujourd’hui, je me dois de réagir tant les coïncidences sont évidentes. Aujourd’hui, une étude tend à prouver que l’acupuncture peut soulager temporairement les fibromyalgies et SFC[4]. Il est urgent que les pouvoirs en place prennent sérieusement en compte les plaintes des patients disant souffrir des ondes et de l’environnement en général.

Le problème est complexe. Il est souvent déconsidéré par les médecins. Je peux vous affirmer qu’il y a quelque chose. Il est vrai que vivre avec du papier aluminium sur la tête et dormir dans une cage de Faraday peut sembler ridicule et à la limite de la folie. Mais, sans cela, je ne m’en serais pas sorti.

J’espère sincèrement que ce témoignage pourra aider d’autres malades à y voir plus clair et à leur redonner courage.

Cette maladie est insupportable pour deux raisons. Votre état de santé ne cesse de se détériorer malgré vous. Vous n’y comprenez rien.

Je comprend les gens qui en arrivent à mettre fin à leurs jours tant cette maladie est insupportable. Vous n’avez plus le goût à vivre.

Cette maladie est également insupportable à cause de certains médecins que vous consultez. Vous n’avez aucune considération de leur part. Pire, ils critiquent les analyses médicales qui prouvent une anomalie … C’est toujours très facile de critiquer… Mais ils n’ont rien à proposer si ce n’est un diagnostic peu convaincant de Fibromyalgie ou de SFC.

Je me suis entouré de médecins spécialisés (neuropsychiatres, psychologues, Psycho-Neuro-endocrinologues, hépatologues, neurologues…). Je croyais qu’ils étaient capables de faire un diagnostique valable ou, au moins, d’étudier mon cas, de comprendre, de rechercher… Rien de tout cela. Si vous ne rentrez pas dans leur bibliothèque de cas et de symptômes, vous n’avez aucune chance. Ils ne recherchent rien tant ils sont convaincus que votre problème est psychosomatique. Ils ne se basent que sur les publications scientifiques. Votre souffrance ne les intéresse pas. Pire, un neuro-psychiatre m’a remis une publicité sur les antidépresseurs. Ce folio était édité par une firme pharmaceutique ventant les mérites de leurs antidépresseurs (opacifié au dioxyde de Titane) !

Depuis le début, j’ai essayé de trouver un médecin « chercheur ». Je voulais travailler avec lui en « partenariat ». Avant de trouver un médecin spécialisé en médecine environnementale, j’ai été obligé de tout décoder moi-même et de trouver une logique à mon problème. Je passais pour un farfelu. Mais je sais aujourd’hui combien j’ai eu raison de m’écouter et de persévérer dans mon analyse. Sans cela, je serais aujourd’hui certainement sans boulot, sans femme et enfants et entouré de psychiatres me diagnostiquant une SFC ou fibromyalgie. J’en serais peut-être venu à la pire des solutions si je n’avais été supporté par ma famille.

Certains médecins ont une responsabilité dans certains suicides. Ils devraient faire preuve de beaucoup plus d’humilité et d’impuissance. On les comprendrait mieux.

Ce témoignage met aussi en lumière toute l’aberration et l’absurdité de notre monde mercantile. Il illustre également que les ondes électromagnétiques ne sont pas les seules responsables.

Imaginez-vous dans votre cuisine. Imaginez-vous en train de mettre des métaux lourds (de la peinture) dans votre dessert, juste pour le rendre plus appétissant… Jamais vous n’oseriez… Les fabricants, eux, le font sans aucun scrupule et sont couverts par les réglementations en vigueur. J’étais un gros consommateur de chewing-gum contenant du colorant E171. Ces chewing-gums sont recouverts de dioxyde de titane pour leur donner un aspect blanc nacré.

Imaginez-vous dans votre salle de bain. Oseriez vous vous mettre du pétrole sur la figure pour vous soigner… Sans le savoir vous le faites. Pire, vous êtes même convaincu que c’est bon pour votre peau…

Personne ne peut affirmer que la première génération de téléphonie mobile est sans aucun danger pour la santé. La deuxième génération est déjà déployée ou en passe de l’être. Wifi, WiMax, téléphone DECT, Bluetooth se développent à une vitesse vertigineuse et tout semble permis aux firmes et fabricants.

Chaque année, des centaines de nouvelles molécules sont inventées. Elles sont utilisées sans recul suffisant prouvant leurs innocuités. Pire, après avoir comblé les investissements consentis, elles montrent soudainement leurs dangerosités et sont retirées du marché.

Aujourd’hui il y a urgence. Des gens perdent leurs boulots et sombrent dans de réelles dépressions. Des gens se suicident parce qu’ils ne comprennent pas ce qui leur arrive et n’ont aucun soutien.

Que font les pouvoirs publics face aux nombreux témoignages ? Comment les considèrent-ils ? Quels sont leurs plans d’action ? Leur responsabilité est énorme.

Que font les organismes de la santé et les mutuelles ?

Pourquoi les psychologues, neuropsychiatres, médecins, … ont-ils autant de difficultés à considérer de nouvelles approches et à ne pas englober la problématique environnementale dans leurs diagnostics ? Pourquoi la médecine est-elle si cloisonnée ? A quand une médecine non influencée par les firmes pharmaceutiques ?

A quand une médecine de diagnostics et non de prescriptions ?

Ce témoignage est sincère. Mais comme tout témoignage il ne compte pas. La médecine ne se base que sur des études en double aveugle et respectant des protocoles très stricts. Je les comprends. Mais j’espère que ce témoignage pourra éveiller la conscience des médecins et des pouvoirs politiques à une plus grande ouverture d’esprit et leur donner des idées quant à l’organisation de nouvelles études. Trois pistes sont obligatoires et ils doivent en tenir compte :

L’inertie d’une exposition aux ondes : il faut effectuer des tests qui se déroulent sur une longue période. Une exposition d’une heure ou une journée ne suffit pas à détecter d’éventuels problèmes. La plupart des gens y sont exposés 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.

• Le stress oxydatif et les ondes : pour moi, il est la clé du problème. Mon bien-être est directement corrélé à la prise d’antioxydant et à des protections physiques (cage de Faraday ou protection encéphalique) lorsque je suis exposé à des champs électromagnétiques.

• Le dioxyde de titane : Aujourd’hui on compte utiliser le dioxyde de titane comme nanotechnologie pour pénétrer à l’intérieur du cerveau. Il est utilisé comme dépolluant grâce à ses propriétés chimiques. Il n’est peut-être pas aussi inerte que ce que l’on pouvait croire. Des recherches complémentaires sont obligatoires afin de confirmer ou d’infirmer son innocuité. Ces recherches doivent inclure la problématique du Dioxyde de Titane en combinaison d’une exposition aux ondes.

Faites pression auprès des pouvoirs politiques et médecins. Des gens se suicident.

Cette maladie doit être reconnue de la même façon que la Suède[5] et la Grande-Bretagne la reconnaissent.

Lisez la suite de ce témoignage, malheureusement le combat est encore loin d’être gagné !

Je vous invite maintenant à découvrir les autres pages de ce blog en cliquant sur les liens ci-dessous ou en utilisant les liens repris dans la colonne de gauche sous la rubrique « Catégories » :

[1] Voir : http://www.senat.fr/rap/r03-293/r03-29317.html ou obtenir le document complet à : http://www.ineris.fr/index.php?module=doc&action=getF…. Dont extrait :

… / si les nanoparticules pouvaient avoir un réel intérêt thérapeutique en permettant la pénétration cérébrale de nombreux médicaments, il ne fallait pas négliger certaines récentes études montrant que des particules inertes de TiO2 (dioxyde de titane) peuvent devenir à des tailles nano-métriques biologiquement et chimiquement actives selon l’auteur. /…

… / Ces contacts, sources de radicaux, sont responsables, au moins en partie, de la toxicité des poussières qui possèdent un potentiel inflammatoire important, et ce également pour des poussières que l’on pensait être « inertes » (dioxyde de titane, silice amorphe…). /…

[2] http://www.webzinemaker.com/admi/m6/page.php3?num_web=648…

[3] www. efsa .eu.int/science/afc/afc_opinions/819/opini…

The EFSA Journal (2004) 163:1-12

Opinion of the Scientific Panel on Food Additives, Flavourings, Processing Aids and materials in Contact with Food on a request from the Commission related to the safety in use of rutile titanium dioxide as an alternative to the presently permitted anatase form. Question N° EFSA-Q-2004-103 Adopted on 7 December 2004

[4] http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fic…

[5] http://www.timesonline.co.uk/article/0,,2087-1774586,00.h… (Journal anglais le Times du 11 Septembre 2005)

Dont extrait :

« Although most European countries do not recognise the condition, Britain will follow Sweden where electrosensitivity was recognised as a physical impairment in 2000. About 300,000 Swedish men and

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Journal d’une électrosensible…

Journal d’une électrosensible : l’incompréhension de l’entourage et même d’environnementalistes !

Hélène Vadeboncoeur | 27 octobre 2015 |

Ouf ! 8h30 du matin : il est parti ! Cet ami à qui j’avais demandé d’éteindre son cellulaire à son arrivée chez moi hier soir, et qui m’avait entendue au cours de la dernière année décrire à quelques reprises l’électrosensibilité qui m’afflige. Qui avait peut-être vu l’icône ‘pas de cellulaire’ sur la porte d’entrée, ou lu sur la porte de mon bureau la pancarte qui demande aux visiteurs d’éteindre tout équipement émetteur de radiofréquences. Cet ami à qui j’avais demandé, pas plus tard qu’avant-hier, d’éteindre son cellulaire puisque nous allions passer plusieurs heures ensemble. Mais… que j’avais vu recevoir des textos quelque temps après.

Eh bien, hier soir, le message n’a pas passé non plus. Je me suis réveillée à 2 h du matin[1], aux prises avec un mal de tête, des palpitations et la sensation de manquer d’air. Mon visiteur dormait dans la chambre à côté. Je suis allée chercher mon acoustimètre[2] (appareil sonore qui mesure les radiofréquences), afin de comprendre ce qui se passait. Quelle ne fut pas ma surprise de voir le niveau de volts par mètre grimper une vingtaine de fois plus haut que ce que je retrouve habituellement dans mon domicile (0,45 volt par mètre, un niveau auquel, selon le fabricant EMFields, la plupart des hypersensibles éprouvent des réactions, vs 0,02 V/m en temps normal), et les voyants rouges signaler le dépassement de la zone sécuritaire en clignotant et sonnant presque sans arrêt.

Comme je suis civilisée et que je respecte le sommeil de mes invités, j’ai décidé de ne pas aller réveiller mon ami. J’ai passé les deux heures suivantes à essayer de me rendormir. Ce matin, il repartait chez lui, et mon conjoint s’est levé. Je ne me suis pas levée. Non seulement j’étais fatiguée mais je n’aurais pas pu faire semblant et ne rien dire. Peut-être avait-il laissé son cellulaire allumé. Peut-être la fonction du Wi-Fi du cellulaire était-elle activée. Peut-être avait-il un iPad ouvert. Je ne sais pas, je ne suis pas allée voir. Mais ce qui est certain, c’est qu’un appareil émettait des micro-ondesdans cette chambre une bonne partie de la nuit! En tout cas, dès qu’il a franchi le seuil de la porte, il n’y avait plus trace d’ondes sur l’acoustimètre.

Ce n’est pas la première fois que l’incompréhension de l’entourage se manifeste face à mes besoins. Une amie à qui je rendais visite et à qui j’avais demandé d’éteindre son Wi-Fi — elle était au courant de ma condition et avait déjà accepté de coopérer antérieurement — a alors levé les yeux au ciel. Lors d’une rencontre familiale, tout le monde a accepté d’éteindre son cellulaire, mais une demi-heure après, j’en voyais un qui pitonnait sur le sien, et ensuite un autre, puis un autre… Un autre ami, médecin, à qui je faisais la même demande en allant dormir chez lui, a suggéré que je souffrais plutôt d’un syndrome d’anxiété. Même mon conjoint a mis du temps à reconnaître ma condition.

Heureusement, au travers de tout cela, il y a des proches qui manifestent de l’empathie et qui éteignent leur appareil (cellulaire, iPad), ou désactivent la fonction Wi-Fi de leur ordinateur[3] en ma présence. À commencer par mes enfants, d’une génération pourtant non habituée à se passer de cette technologie. Et ces membres de ma belle-famille venus récemment passer dix jours à la maison. Ils ont même accepté de ne pas utiliser leur moniteur pour bébé ! Ou encore les membres de ma chorale, à qui je dis un gros merci !

L’incompréhension d’écologistes, d’environnementalistes

Il n’y a pas que l’entourage mal informé ou sceptique qui ne comprenne pas. Étonnamment, c’est aussi le cas de gens qui se disent préoccupés par l’environnement ou l’écologie. C’est ainsi que deux années de suite, lors d’un évènement axé sur l’environnement, ma demande (écrite, faite à l’avance) de faire éteindre les cellulaires dans l’assistance[4] durant les conférences a été « oubliée », m’a-t-on expliqué. Et il y avait au programme ces deux années-là des conférences sur l’électrosmog ! Je ne suis pas sûre d’y retourner l’an prochain…

Pourquoi ces comportements ? Le manque d’information ou la désinformation, oui, mais aussi la difficulté de changer ses habitudes, acquises très rapidement avec cette technologie sans fil si attirante, qui permet d’être joignable 24 heures sur 24 ! Et je dirais, surtout, la dépendance à ses équipements. « Voyons, je ne peux pas m’en passer quelques heures, et si quelqu’un essayait de me contacter ? » On appelle cela le FoMO (Fear of Missing Out), soit la peur de manquer quelque chose[5].  Quelqu’un peut-il m’expliquer comment l’humanité a pu survivre jusqu’à l’invention du cellulaire?

Comprenez-moi bien, je ne suis pas ‘contre’ la technologie sans fil. J’ai un cellulaire. Il est généralement éteint, reste dans la voiture et sert surtout lors de mes courses en ville, quand j’ai oublié ma liste d’épicerie! Ou bien à prévenir des proches de mon arrivée imminente, en cours de route[6]. Cet appareil,  partagé entre mon conjoint et moi, n’est pas dernier cri, mais il fonctionne. Et je vous écris à partir de mon ordinateur portatif, sans Internet Wi-fi, câblé comme « dans le bon vieux temps » ! Cet ordinateur est posé sur un tapis mis à la terre, qui diminue le champ électromagnétique qu’il dégage. Pour certains, je suis sûrement très handicapée parce que je ne possède pas de tablette style iPad, ni de liseuse.  Ce n’est pas que je n’aimerais pas en avoir, mais sans connexion Wi-Fi, cela servirait à quoi ? Je n’ai jamais aimé lire de longs textes sur l’écran, de toute façon.

Qu’en pensez-vous ? Vous êtes-vous butés à des attitudes semblables ? Avez-vous développé des ‘trucs’ pour ce genre de situation ? Vous pouvez me répondre dans la boîte de commentaires au bas de cette page. Au plaisir d’échanger avec vous.


[1] Pour une raison que j’ignore – mais, croyez-moi, je vais explorer la question – mes symptômes neurologiques ou cardiaques se manifestent environ 4 heures après le début de mon exposition aux radiofréquences.

[2] Un équipement très utile pour quiconque souhaite savoir quel niveau de radiofréquences pénètre son environnement. Plusieurs compagnies en vendent. Le mien, fabriqué par EMFields, est un RF Meter, modèle AM-10, qui mesure les fréquences entre 200 mégahertz et 8 gigahertz.

[3] Voir mon autre texte : L’activation constante du Wi-Fi : fonction nocive de votre ordinateur – https://maisonsaine.ca/sante-et-securite/electrosmog/l-activation-du-wi-fi-fonction-oubliee-nuisible-de-votre-ordinateur.html

[4] Plus il y a de cellulaires allumés dans une pièce, plus c’est difficile pour une personne électrohypersensible.

[5] Dossey L, MD, FOMO, Digital Dementia, and Our Dangerous Experiment. http://www.explorejournal.com/article/S1550-8307(13)00347-9/abstract

[6] Malheureusement, certaines personnes électrohypersensibles ne peuvent même pas se servir d’un cellulaire, ne serait-ce que très brièvement. Saviez-vous qu’une des rares personnalités à avoir révélé son électrohypersensibilité est Gro Harlem Brundtland, en mars 2002, alors qu’elle était directrice générale de l’Organisation mondiale de la santé?  En 1987, ce médecin et ancienne première ministre de la Norvège a signé le fameux rapport Brundtland sur le développement durable (intitulé Notre avenir à tous), de la Commission mondiale sur l’environnement et le développement des Nations unies. Elle a raconté son intolérance aux ondes en Ontario en 2012 :  http://www.magdahavas.com/gro-harlem-brundtland-talks-at-the-university-of-waterloo/

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Mots-clé: comportement, électrohypersensibilité, incompréhension de l’entourage, sans fil, sensibilisation

Catégorie: Électrosmog, Hypersensibilités environnementales

À propos de l’auteur (Profil de l’auteur)

Chercheure indépendante en périnatalité, Hélène est pionnière dans plusieurs domaines. Elle fit connaître l’accouchement vaginal après césarienne (AVAC) en écrivant le seul ouvrage en langue française sur le sujet (FIDES, 3e éd., 2012), publié aussi en anglais (Fresh Heart, 2011) et en brésilien (mBooks, 2015). Elle fut parmi les premières consultantes engagées par le ministère de la Santé et des services sociaux du Québec pour la légalisation de la pratique de sage-femme au Québec. Ces dernières années, elle a contribué à la reconnaissance internationale des mauvais traitements dont sont victimes trop de femmes enceintes qui accouchent, participant à la création et traduction de la charte Le respect dans les soins de maternité : les droits universels des femmes pendant la période périnatale (White Ribbon Alliance for Safe Motherhood). Elle oeuvre actuellement à l’implantation d’une initiative prometteuse, l’Initiative internationale pour la naissance MèrEnfant (IMBCI). Depuis 2014, elle s’intéresse à la question de l’impact des micro-ondes sur la santé.

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