Témoignages vidéos d’EHS
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  • Déficit de l'attention et dopamine:
    J'adore cette rubrique du Figaro : elle est l'antenne institutionnelle pour conter toutes sortes de bêtises...

A savoir

Les principales sociétés de téléphonie mobile alertent leurs actionnaires sur les risques possibles de cancer liés à leurs appareils.

Les principales sociétés de téléphonie mobile alertent leurs actionnaires sur les risques possibles de cancer liés à leurs appareils.

Les compagnies, dont Blackberry, EE, Nokia et Vodafone ont averti leurs investisseurs qu’ils pourraient devoir faire face à des actions en justice de la part d’usagers du portable s’il s’avérait que des études démontrent un lien entre l’utilisation de leurs produits et le cancer.

Par Grace Macaskill

Actualités
Les principale firmes de téléphonie mobile ont été accusé « d’être sélectives avec la vérité ».

Les plus importantes sociétés de téléphonie mobile alertent les actionnaires sur les risques potentiels des téléphones portables mais en cachant cette information aux consommateurs.
Les compagnies, dont Blackberry, EE, Nokia et Vodafone ont averti leurs investisseurs qu’ils pourraient devoir faire face à des actions en justice de la part d’usagers du portable s’il s’avérait que des études démontrent un lien entre l’utilisation de leurs produits et le cancer.

Jusqu’à maintenant ils ont négligé d’avertir les usagers de tous les risques potentiels aussi bien dans leurs publicités que sur leurs packagings.

British Télécom, qui possède le groupe EE, a informé sans détour ses investisseurs dans son rapport annuel de 2017 : « nous ne pouvons fournir l’assurance absolue que la recherche dans le futur n’établisse pas de liens entre les émissions de radio fréquences et les risques sanitaires. »
Et Nokia affirme ‘Il y a eu un certain nombre d’études scientifiques qui ont montré la possibilité que les ondes électromagnétiques émises par les appareils sans fil et les antennes relais aient des effets néfastes sur la santé, comme par exemple l’augmentation des risques de cancer ».

Monsieur Whitfield précise « si les sociétés avertissent leurs investisseurs d’un risque potentiel ils devraient aussi mettre en garde les gens qui utilisent leurs téléphones et leurs réseaux. Ils ont été sélectifs avec la vérité et ont décidé que ceux qui ont l’argent sont plus importants que le grand public ».

Les firmes impliquées expliquent qu’elles ont le devoir d’informer leurs actionnaires de tous les risques, même s’ils sont peu probables.Un tribunal en Italie a récemment établi un lien entre tumeurs et téléphones portables et l’Agence Internationale de Recherche sur le Cancer affirme qu’ils sont « potentiellement carcinogènes »
En France Orange a du rappeler environ 90 000 mobiles Happi30, du fait de leur trop haut niveau radiatif.

Devra Davis, Président du Syndicat de Santé Environnemental a déclaré : « les menaces financières liées aux litiges augmentent en même temps que les preuves scientifiques reliant les portables aux atteintes sanitaires. »Allant encore plus loin, la décision du tribunal italien précise que toute entreprise qui impose l’utilisation d’un mobile comme une condition de travail s’expose à de lourdes responsabilités.

L’information est tombée lorsque nous avons révélé que Neil Whitfield, un patient de 60 ans atteint d’un cancer du cerveau était le premier britannique à poursuivre un fabriquant de portable et pourrait toucher 1 million de livres sterling de Nokia, s’il gagne son procès.
Un père de famille anglais poursuit Nokia réclamant 1 million de livres sterling affirmant que l’usage du portable est la cause de sa tumeur au cerveau.

Blackberry et Nokia alertent les actionnaires de possibles actions en justice en lien avec la Commission d’échange et de Sécurité américaine.
Nokia explique que malgré l’adhésion à des normes « les inquiétudes concernant des atteintes à la santé…pourraient entraîner des difficultés pour acquérir et conserver des clients ».

Vodafone affirme qu’il n’y a « pas de preuves » de ces dangers mais ajoute « un changement de ce point de vue pourrait avoir…des répercussions ».
Pour Blackberry : « les risques perçus » pourraient affecter les ventes et conduire à des batailles judiciaires. La plupart des études n’ont trouvé aucun lien avec le cancer mais d’autres ont prouvé une augmentation de risque du cancer du cerveau.

Mr Whitfield attribue aux portables Nokia l’apparition d’un neurinome acoustique sur le nerf entre l’oreille interne et le cerveau. Son cas pourrait ouvrir des vannes et il ajoute : « les sociétés de téléphonie mobile se fichent pas mal de notre santé . Je suis à l’automne de ma vie mais je m’inquiète pour les jeunes générations qui passent des heures chaque jour collées à leurs portables. »
Nokia attaque sa plainte et affirme que « la sécurité à toujours été une considération clé » ajoutant : « tous nos produits répondent aux normes et limites mises en place par les autorités de santé publique. »

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projections du film « Ondes de Choc »

Bonjour,

Nous sommes le distributeur français du film documentaire « Ondes de Choc » (Thank You For Calling) réalisé par Klaus Scheidsteger.

Nous nous tenons à disposition pour mettre en place des projections (au cinéma ou hors cinéma) dans tout le pays.
Toute personne, groupe ou association, intéressée pour aider à la diffusion du film dans leur ville, peut nous contacter au

01 53 84 40 90.

Bande-Annonce du film : http://www.jupiter-films.com/film-ondes-de-choc-94.php

Quels risques les téléphones portables font-ils courir à notre santé ?
Depuis l’apparition des mobiles, des scientifiques issus du monde entier, creusent ce sujet. Loin d’être anti-téléphones, eux-mêmes utilisateurs quotidiens, ils ont démontré que les ondes électromagnétiques émises par les portables peuvent causer des dommages irréversibles au cerveau.
Reconnues par la cour de justice américaine, leurs découvertes ont pourtant encore du mal à se faire entendre.
Ce documentaire résolument engagé, humain et émouvant, nous ouvre les yeux et nous invite à une utilisation plus saine de l’ensemble de nos appareils sans fil.

Au plaisir de collaborer,

Belle journée,
Etienne Decré
Jupiter Films
41 rue Claude Terrasse 75016 PARIS

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LINKY a très probablement fait son second mort…

Incendie : le compteur LINKY a très probablement fait son second mort

Après un premier drame mortel le 7 mars en Meurthe-et-Moselle, le compteur Linky vient très probablement de tuer une seconde personne, à Saint-Julien-les-Villas (Aube).

Les Linky causent des incendies graves et parfois mortels.

Combien de morts faudra-t-il pour qu’Enedis et les autorités françaises sortent du déni ?


Polémique :

A-t-on la certitude que c’est bien le Linky qui a tué ?

Les incendies graves et parfois dramatiques objectivement causés par les compteurs Linky se multiplient au fur et à mesure des installations de ces compteurs malfaisants.

Personne ne peut croire que Le Parisien, L’Est éclair, La Dépêche du Midi, l’Est Républicain, France bleu, la Nouvelle République, etc, soient à la solde de prétendus « activistes » anti-Linky. Les médias rendent continuellement compte d’incendies causés par les Linky, souvent posés peu de temps auparavant voire le jour même.

La question n’est plus de savoir si le programme Linky nous met en danger de mort violente par incendie : c’est désormais une certitude.

Mais Enedis et les autorités restent dans le déni et tentent de déconsidérer nos alertes (pourtant totalement justifiées). Mais ces négationnistes se mélangent parfois les pinceaux, comme on a pu la voir dans l’affaire de Laxou

En effet, dans un article de l’Est Républicain du 14 mars, on apprend que, selon l’expert, le compteur concerné serait un compteur ordinaire et non un Linky. Mais dans son communiqué de déni, Enedis prétend que « Le compteur Linky est intact ».

Cette incroyable contradiction suffit largement à mettre en doute toutes les belles dénégations d’Enedis et de la préfecture.

De toute façon, le programme Linky mettant en jeu des intérêts financiers gigantesques, il serait d’une grande naïveté de croire que, lorsqu’un incendie se produit, Enedis reste les bras croisés en espérant que le Linky ne soit pas mis en cause.

Au contraire, ce sont les gens d’Enedis qui sont immédiatement dépêchés et qui, sous prétexte de mettre l’installation en sécurité, nettoient consciencieusement la scène du crime, avant de décréter que « le Linky n’y est pour rien ».

C’est assurément ce qui va encore se produire concernant ce nouveau drame à Saint-Julien-les-Villas. Mais il est évident que c’est bien le Linky qui tue et que, en réalité, il y a probablement déjà bien plus de deux morts causés par les incendies des Linky.

La question reste posée : combien de morts faudra-t-il avant qu’Enedis et les autorités françaises de résolvent à prendre la même décision que la province canadienne du Saskatchewan suite à 8 incendies : désinstaller les compteurs communicants.

Stéphane Lhomme
Conseiller municipal de Saint-Macaire (33)
Animateur du site web http://refus.linky.gazpar.free.f

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Appel de Beauchastel contre l’école numérique

 

Appel de Beauchastel contre l’école numérique

Ma journée d’école commence, la sonnerie vient tout juste de retentir, je rentre dans ma salle de cours et déjà je m’interroge : dois-je accueillir la classe ou me tourner vers mon écran pour effectuer l’appel électronique ?

Collectif Collectif

Ma journée d’école commence, la sonnerie vient tout juste de retentir, je rentre dans ma salle de cours et déjà je m’interroge : dois-je accueillir la classe ou me tourner vers mon écran pour effectuer l’appel électronique ?

Making of
Ce texte a été coécrit par une quinzaine d’enseignants en décembre 2015. Depuis, il circule de la main en la main. C’est une critique de de l’informatisation et du numérique à l’école. Nous vous racontons son histoire dans cet article. Rue89

Dans un souci de « diversification de mes pratiques », dois-je capter le regard des élèves à l’aide de l’écran de mon vidéoprojecteur, vérifier la mise en route de toutes leurs tablettes ou décider de me passer de tout appareillage numérique ?

Alors que la séance se termine, prendrons-nous le temps de noter le travail à effectuer à la maison ou dois-je renvoyer chaque élève devant son écran pour consulter le cahier de textes numérique que je remplirai en fin de journée ?

C’est la pause du repas ; à la cantine, que penser de ce flux d’élèves identifiés par leur main posée sur un écran biométrique et du bip régulier de la machine signalant son aval à leur passage ?

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Ces adolescents dans la cour scrutant sans cesse leur téléphone, ces surveillants et ces professeurs derrière leur ordinateur, tout ce monde se disant parfois à peine bonjour, est-ce cela le progrès ?

En fin de journée, dans la salle des profs, dois-je, toujours face à mon écran, trier mes courriels administratifs et remplir le cahier de textes numérique, ou ai-je encore le temps d’échanger de vive voix avec mes collègues sur le déroulement de cette journée de classe ?

Ecoliers Soueix-Rogalle (Arige), en classe unique d'enfants de 5 11 ans, le 4 septembre 2013

Ecoliers à Soueix-Rogalle (Ariège), en classe unique d’enfants de 5 à 11 ans, le 4 septembre 2013 – PASCAL PAVANI/AFP

Ces questions ne se posent pas en 2084 mais aujourd’hui, dans nos écoles, collèges et lycées. D’ailleurs, le numérique a déjà une emprise telle sur nos vies et celles de nos élèves, que parfois nous ne nous les posons même plus. Et pourtant, si on nous avait dressé un tel tableau il y a quelques années nous l’aurions trouvé outrancier.

Mais les innovations apparaissent progressivement, elles sont déjà dans l’air du temps avant de s’imposer à nous et il n’y a apparemment pas de limite à ce que l’on peut accepter. Accepter, nous nous y sommes maintes fois résignés, et nous sommes bien conscients que l’informatisation de l’enseignement n’est que le point d’orgue de son délitement.

Nous avons déjà cherché à suivre des programmes incohérents, à comprendre l’incompréhensible jargon de l’Education Nationale, à simuler une prétendue évaluation par compétences, à enseigner à des élèves de plus en plus déconcentrés parce que de plus en plus connectés.

Pourquoi ne pas aller plus loin ? Ainsi nous nous apprêtons à renseigner sur chaque élève des données personnelles conservées à vie et bientôt consultables par un employeur grâce au logiciel de notes et d’appréciations et le livret personnel de compétences numérisé.

On nous encourage à scotcher nos élèves aux écrans durant les seuls moments où ils y échappent encore, et cela sous le prétexte de les éduquer aux médias. Et finalement, pourquoi ne pas renoncer à enseigner en feignant de croire qu’une connexion internet suffit pour s’approprier un savoir réel ?

Pour nous, ça suffit. De la part de ceux qui nous enjoignent d’utiliser le numérique dans nos classes (hiérarchie administrative, ministère, inspecteurs et formateurs, ainsi que toute la classe politique), nous n’entendons que des justifications a posteriori de ce qui paraît aller de soi : une transformation implacable de nos gestes quotidiens, de notre langage, de notre rapport aux autres, de notre métier. Ce bouleversement est pourtant décidé par d’autres, politiques et industriels, qui défendent leurs intérêts politiques et économiques, et bénéficient de notre complicité passive.

Or nous savons bien que le numérique n’a rien à voir avec l’éducation. En effet l’informatisation a pour but premier de gonfler le chiffre d’affaires des firmes qui produisent matériels et logiciels. Puis elle réduit la part humaine de chaque activité (pas seulement scolaire) pour la rendre plus conforme aux besoins de l’économie et de la gestion bureaucratique. Tout cela pour doper la croissance par les gains de productivité et les nouveaux marchés qu’elle offre. C’est bien parce qu’Internet ne peut pas améliorer l’enseignement, mais qu’il est conçu pour détourner l’attention, que les ingénieurs de la Silicon Valley en protègent les écoles de leurs enfants.

Nous savons aussi sur quelle gabegie démente des ressources terrestres, y compris les plus rares, les plus coûteuses, les plus dangereuses, repose la mensongère « dématérialisation ». Il faut compter aussi avec la part croissante de consommation d’énergie consacrée à l’informatique.

Pourtant, nous laissons dire que le numérique est la solution à tous les problèmes de l’institution, qui vont du décrochage à l’intégration des élèves en situation de handicap en passant par les problèmes de lecture. Et qu’en plus il serait « écologique » parce qu’il permettrait d’économiser du papier. Quelle vaste plaisanterie !

Pour notre part ce que nous voulons c’est être avec nos élèves, et non servir d’intermédiaires entre eux et les machines car sous couvert d’innovation pédagogique pour répondre aux besoins d’élèves devenus zappeurs, c’est bien ce qui nous guette. Une telle dissociation entre la machine stockant les données personnelles et l’être humain assurant le flux de transmission ne peut être envisagée de façon positive que par des esprits bêtement mécanistes.

Ils réduisent le savoir à de l’information. Ils négligent l’importance de son incarnation chez un individu en imaginant une simple médiation extérieure. Ils oublient tout bonnement que la relation d’apprentissage est avant tout une relation humaine. Par ailleurs, et quoi qu’on en dise, l’administration numérique (appel en ligne, SMS aux parents, etc.) ne renouera pas les liens entre les enfants, leurs parents et l’école.

Au contraire, elle aggrave déjà les problèmes qu’on agite pour l’imposer. L’absentéisme demeure, la défiance et le mensonge se banalisent au sein de l’école et dans les familles. On cherche à tout prix à éviter le conflit et on se fie plus aux ordinateurs qu’aux êtres humains. Et pour masquer ce désolant constat on maquille l’isolement en l’appelant « autonomie ».

Ce que nous voulons également, c’est enseigner, et non exécuter des procédures. L’enseignement numérique n’est pas une « révolution pédagogique » mais la fin du métier d’enseignant. Les matières, c’est- à-dire les savoirs et savoir-faire qui les constituent, se trouvent morcelées en une liste de tâches exécutables, puis regroupées artificiellement en aptitudes générales. On appelle cela le socle de compétences. Dans ce cadre, une leçon, un exercice, peuvent être réduits à un protocole creux, qui peut bien effectivement être « partagé » en ligne, puisqu’il ne nécessite ni connaissances précises ni réflexion pédagogique personnelle pour être reproduit. Un cours construit de cette façon n’apprend pas à penser mais à se comporter de la façon attendue.

Nous pourrions nous réclamer de la liberté pédagogique et demander à ne pas être contraints à l’utilisation de machines dans nos classes. Mais nous savons que c’est impossible, qu’à partir du moment où une technique est introduite, la liberté de l’utiliser ou non devient illusoire car elle s’insère dans un système global qui l’exige. Après un court moment, le choix encore possible cède le pas à l’obligation de fait.

C’est pour cela que nous refusons en bloc notre mise à jour programmée.

Nous n’utiliserons pas le cahier de texte numérique, ni les multiples écrans dont on prétend nous équiper (tablettes, tableaux numériques ou même smartphones).

Nous nous opposerons aux équipements générant d’importants champs électromagnétiques ainsi qu’à la concentration des données personnelles scolaires dans des bases centralisées.

Nous appelons tous les personnels des établissements d’enseignement déjà réticents à faire connaître leurs raisons et à signer cet appel. C’est seulement par de tels gestes d’affirmation que nous pouvons briser notre isolement pour construire une opposition conséquente.

Nous demandons à toute personne qui ressent l’importance des enjeux ici évoqués de relayer largement cet appel, de nous faire connaître ses propres réflexions et initiatives.

Beauchastel, 22 décembre 2015 (complété le 19 mars 2016)

Pour nous contacter ou pour signer le texte,

écrire à Appel de Beauchastel, 27 ter, rue des Terras, 07800, Beauchastel.

Nous encourageons la diffusion de ce texte.

Premiers signataires :  Anne ALBERTS, Collège Les Hauts de Plaine, Laragne (05) Cédric BAUDOIN, Collège Henri Agarande, Kourou (973) Florent BERNON, Lycée La Découverte, Decazeville (12) Marc BRUNET, Lycée Ismaël Dauphin, Cavaillon (84) Armelle BRUNET-GAYET, école maternelle, Beauchastel (07) Christel CALMON, collège Bayle, Pamiers (09) Marina CAVOURIARI, Lycée Bergson, Paris Désir CYPRIA, Lycée des métiers Charles Pointet, Thann (68) Joël DECARSIN, Collège Mignet, Aix-en Provence (13) Régis FAUCHEUR, Collège Armorin, Crest (26) Brigitte FLEYGNAC, Ecole du Sauveur (87) Florent GOUGET, Collège Joseph Durand, Montpezat (07) David GUILLON, Lycée agricole La Peyrouse Coulouniex, Chamiers (24) Raphaël JOSNIN, TZR (44) Bernard LEGROS, Institut Saint-Stanislas, Bruxelles (Belgique) Steven MASSON, Collège Paul Valéry, Valence (26) Pierre MARIEY, Collège Gustave Monod, Montélimar (26) Véronique MAZARD, Collège Marie Curie, Tournon (07) Sylvie MENONI, École de Savournon (05) Marine MOULINS, Lycée Boissy D’Anglas, Annonay (07) Laurent MURATI, Lycée Pyrène, Pamiers, Ariège (09) Éric NOËL, Collège Jacques Monod, Ludres (54) Andrew NORRIS, ISTI, Bruxelles (Belgique) Samuel PELRAS, Lycée du Parc, Lyon (69) Jean-Jacques RIVIÈRE, Collège Champ d’Eymet, Pellegrue (33) François ROUSSEAU, Collège Les Hauts de Plaine, Laragne (05) Élise ROUVEYROL, Collège Marie Curie Tournon (07) Isabella TOMASI, Université Lyon II UMR Triangle ENS, Lyon (69) Joëlle VANDENBULCKE, Collège Jean XXIII, Bruxelles (Belgique) Jean-Marie VIGUIER, Collège privé de Montceau-les-Mines (71).

 

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CREATION D’UNE ZONE BLANCHE

Voir la version en ligne

Durbon : un projet pour tous

Après 7 années de travail, le projet Durbon, soit la création dans les Hautes-Alpes de la première zone expérimentale d’accueil pour personnes EHS et MCS, devrait enfin voir le jour dans les mois à venir. Pour ce faire, l’association « Zones Blanches » dont nous faisons partie s’est associée à un bailleur social.

A présent, le « projet Durbon » a besoin de votre participation active et financière pour continuer.

Dans un premier temps la participation active consiste à remplir un questionnaire. Celui-ci permettra à nos partenaires et nos financeurs de mieux cerner le public susceptible de venir vivre pour un temps plus ou moins long sur le site de Durbon. Y répondre, quelque soit votre sensibilité, est très important pour nous donner la visibilité qui nous manque afin de pouvoir convaincre les différents organismes publics ou privés de la nécessité d’investir plusieurs millions d’euros dans l’accueil de personnes EHS et MCS sur un site aussi isolé.

Votre participation est essentielle. Merci !

Nous avons aussi besoin de votre soutien financier car pour pouvoir obtenir certaines subventions, l’association Zones Blanches doit être capable de financer une partie des investissements sur ses fonds propres. Pour cette participation, il vous suffit d’adhérer et/ou de faire un don à l’association Zones Blanches.

Pourquoi soutenir le projet Durbon ? Durbon sera un lieu d’accueil d’urgence avec la possibilité d’y vivre en permanence ou temporairement le temps de pouvoir reconstruire une nouvelle vie à l’extérieur. Aussi, il sera un lieu de ressourcement et d’échanges ouvert à tous.

Quelque soit votre sensibilité, Durbon sera votre « assurance-vie ». Vous pouvez tous avoir besoin de Durbon un jour. Aujourd’hui, c’est Durbon qui a besoin de vous. Aidez-nous à créer la première zone d’accueil officielle et pérenne.

 Le questionnaire :

En ligne: https://assozonesblanches.typeform.com/to/p9eKuJ:

Télécharger: https://gallery.mailchimp.com/8ba2d7f07b0fc2d51be46e0d0/files/5a05705e-ce43-4c76-8be0-1044bd1259c4/Questionnaire_EHS_Durbon.pdf

Adhésions, dons:

Si vous souhaitez donner un coup de pouce au projet, vous pouvez envoyer un chèque à l’ordre de l’association Zones Blanches ou bien souscrire directement sur cette plateforme : https://www.helloasso.com/associations/association-zones-blanches/

Bulletin d’adhésion et la plaquette de l’association Zones Blanches https://gallery.mailchimp.com/8ba2d7f07b0fc2d51be46e0d0/files/5e84a70a-7f61-4f81-b7a3-8a751df72814/Dépliant_AZB.pdf

Merci,

Philippe Tribaudeau,

Président de l’association « Une Terre Pour Les EHS »

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